| Moi 12 ans et mes doutes (4)Miroir aux solitudes de la nuit. (POÉSIE de DSJL) 1973.
Je posais ma main sur ce miroir aux regrets, Là où défile ma vie extérieurement. Lui qui dispose tant de toute cette solitude, Caché dans son sein des pénombres. Je suis là étalé sur mon lit à fuir l’habitude, Là dans cette pièce devenue si sombre. Le suppliant de ne plus m’envoyer un reflet, Ou bien cette image intérieurement.
Regard fixé vers le fond à faire l’attitude, À se dire que tout va bien dans l’ombre. Alors que je me vois dessiner sur ce plafond, Comme une feuille de copiste. Des coups de crayon sans aucun sens profond, Comme sur du papier idéaliste. Quand tu as un cœur meurtri d’habitude, Tu seras sans un départ qui dénombre.
Mais voilà que tout recommence… ? Je ne sais plus. Un jour ! J’ai mes yeux et mes mains perdus. Je me suis perdu.
Mes pleures redessinaient mon visage blêmi, En des traces rouges de douleur. Mes larmes coulent, glissantes suspendues, Perdues sur mes joues creusées. Glissent sur mes cheveux comme la vie émue, Elles glissent sans servir à sevrer. Je laissais échapper un cri, un profond cri, Il me signifie la fin d’un bonheur.
Je compris que c’est terminé j’allais souffrir, Que jamais plus je ne te reverrais ! Je n’ai plus que le choix d’attendre de mourir, Ou attendre à mettre retrouvé ! Pourquoi ! Pourquoi ce vide était à me nourrir, L’immense peur s’est engouffrée… Pour quoi es-tu parti en me laissant se souvenir, Pourquoi suis-je toujours torturé.
Tous mes espoirs se sont envolés. Mais comment ça met arrivé… ? Je ne sais pas ou plus. Un jour ! J’ai mes yeux et mes mains perdus. Je me suis dans la nuit perdu.
Chacun de mes regards croise le contenant, Sans toi, je me sens mal et perdu. Pourquoi je te vois encore rire de bons mots, Comme de mes petites mimiques. Pourtant tu n'es plus là à te moquer d’idéaux, Ou de mes innocences cyniques. Tu ne veux pas partir de mon souvenir vivant, Et ainsi t’effacer comme tu aurais dû.
Un amour qui m’offre un sourire en support. De me savoir-vivre à trop en jouir. En passant la porte des faucheurs d’accords, Fichue porte qui me rappelle l’effroi. Mourir des erreurs du temps avec cette mort, C’est elle qui avait craché sur l’émoi. Certaines choses ne s’expliquent pas encore, Pourtant moi, je me sentais mourir.
La mort qui ne connaît pas l’amour se déguise, Elle ma prise ma vie en te prenant. Depuis ce soir de mésentente où elle fut grise, En fabriquant du noir dans tes yeux. Je sais son vice elle reste à moi de son emprise, Cet amour pour lequel je suis malheureux. Toi qui plus jamais ne serras dans ma devise, Plus aucun des jours de mon vivant.
Tous mes espoirs se sont envolés. Mais, comment ça met arrivé… ? Je ne sais pas ou plus. Un jour ! J’ai mes yeux et mes mains perdus. Je me suis dans ta nuit perdu.
Copyright interdit 1973. A61 _________________________________________________________________________
La solitude dans le cœur. (Poésie de DSJL) 1973
On me dit d’expliquer pourquoi je suis triste négatif. C’est un état dans l’esprit sur l’expérience passée. C’est au temps qui pas très simples m’a détruit blessé. Je ne sais pas comment l’expliquer à mon être actif.
Je ne pense pas être intelligent ou gentil, ou parfait. Je pense, que certaines blessures ne partent jamais. J’ai un univers d’émotions et des choses que j’aimais. Comme des mots tendres que je posais sur du papier
Avez-vous vu les étoiles ou les rayons vous fuirent ? D’entre les volets les rais du soleil glissent à mourir. Comme cette impression de ne plus exister, ni servir. Avez-vous pleuré par peur du jour sans un avenir ?
Avez-vous déjà ressenti la solitude vraie monumentale. Avez-vous déjà eu peur de votre prochain lendemain. Avez-vous déjà cessé d'y croire à pleurer de chagrin. Cessé d’y croire aux points ou même sourire fait mal. Et d’avoir cette peur de vous réveiller le matin
Avez-vous déjà ressenti ça ancré dés votre éveil. Comme un sentiment qui vous murmure à l’oreille ! Ça ne sert à rien, mais arrête donc d’espérer. Puisant dans votre mémoire un goût de regrets.
Comme ce que vous n'auriez préféré jamais voir ? Avec ce goût de poison qui empoisonne votre vie Tout ces pourquoi, qui vous ôtent vos envies. Avez-vous déjà vu en vous des choses trop noires.
Avez-vous déjà trouvé la réponse à ça ? Ce pour quoi vous ressentez tout ça. Pourquoi tout était si triste en soi ? Emmené à faire de cet état un droit.
Je ne sais toujours pas vraiment aujourd'hui. J’en ai trop dit ! Ou bien pas assez mes mots. Ou peut-être trop fait de tous ces maux. Ce qui ma versée, perdu dans ce désert maudit.
Copyright interdit 1973. A62 _________________________________________________________________________
Triste dimanche. (POÉSIE de DSJL) 1973.
On se promène aux Tuileries sur l’allée tranquille. Le printemps de sa flamme discrète était à passer. Quand un peu de soleil vint enfin nous surexposer. Éclairant l’arbre noir aux feuillages verts futiles.
Il me parla de ce beau jour qui commencé à se lever. L’amour était de sa constance, lui qui me tenait la main. Ces yeux avaient pénétré plus profondément mon sein. Ce dimanche fut un plaisir quand mon âme eut vibré.
Je vois mes beaux jours s'envoler, un mal qui me fait tord. Ce baiser sur mes lèvres déposées là comme celui des anges. La tristesse me dévore, mes larmes te paraissent étranges. Il en ceinturé mon corps de ses bras dont je frémis encore.
Ses mains caressent mon visage, inondé dans mon chagrin. Moi qui aime tes yeux à la lumière verdâtre, douce beauté. Larmes d’amour, larmes de diamant comme d’une âme brisée. Elles s’en vont à coulés sur tes frêles épaules, toi concubin.
Comme un poids jeter sur mon cœur ! Je sens ta souffrance. L’hiver est entré dans mon être, chaleur d’un enfer polaire. Toi née de l’amour et de ma gloire, toi mon être de lumière. Ce que le monde est d’un cruel de toujours tué l'espérance.
Adieu âme pure, vive clarté d’étés trop courts qui consume. Et mon amour pour lui seul m'est resté d’être mon sublime. Mon esprit fut semblable à la tour succombant dans l’abîme. Bientôt je plongerai, dans les froides ténèbres d’amertume.
J'avais l’espoir, ayant cru la rigueur de son départ incliné. Mais de ce temps voulu, qu'infructueusement se prolonge. Le souffle, de toutes mes espérances a fui tel un songe. Ce que l'on sent du rentrant, à la découverte d’une vérité.
Copyright interdit 1973. A63 _________________________________________________________________________
Romance d’un soir. (POÉSIE de DSJL) 1973.
Les yeux baissés confus, au droit de l'envie qu'il montre... Au tournant d’une rue, brûlant d’une passion ensanglantée. J’étais devenu celui que je suivais, à l’envie de bête brisée. Je sifflais la main en poche quand ce mâle me vint contre.
Toi l'homme de mémoire de jeunesse pas du tout établie. Les principes de beauté ne sont pas toujours bien placés, De ceux qui pensent que plus âgée n’est pas une inutilité. Amoureuse conséquence d’un esprit qui se voyait proscrit,
Tel le jour qui meurt un soir, et le matin à sa renaissance. Si tu n’es pas l’amour unique, si tu ne fus pas mon aimée. Sur quel chemin me suis-je égaré, vainement à te trouver. À toi qui chantes ma romance, je savais ta ressemblance.
Il se désolait une façade grise à des feux sur ces frontons. Adossé au mur une vague clarté de lumière ôtée le diurne. La canaille à qui maintenant je ressemblais un soir de lune. En me trouvant entre les maisons, je suivis ce beau garçon.
Toi qui tues ma romance, l'amour de ton semblant est hormonal. Il me mate telle une putain d’un regard humain qui veut de l’aide. Sa main déjà fouillée l’entre jambes, saisissant ce cylindre raide. De ce sursis d’amour me caresse m’empale telle la gazelle mâle.
Livrant nos puissances viriles héritées fut-il d’hommes femelles ? Ce soir, les cœurs perdus vont vivre sauvagement dans la ruelle. Je rendis la pareille comme un feu d’amour cherchant l’éternelle. Moment nu de fausseté, où l’amour d’une femme lui ressemble tel.
Quand la lune décacheta un nuage sombre comme une dentelle. Je le regardais s’éloignait à grands pas vers le quai de Grenelle. J’avais l’âme embastillée, même si mon corps s’était fait la belle. Je repartais en sifflant la romance qui fit semblance d’irréelle.
Copyright interdit 1973. A64 _________________________________________________________________________
Parle-moi, parle-moi. (POÉSIE de DSJL) 1974.
Ne pas chanceler à te dire ! Amour à ce qu’il veut entendre. Qui ne pourrait accepter de son entité à naître l’être aimé. La souffrance est de ne pouvoir donner un mot qui en serait. Qu’il soit seul à en dire, une des belles vérités à surprendre.
Mon rêve a des secrets, sans pouvoir oser vaincre ma douleur. J'irai ! Oui, j'irai porter à ce long temps mon âme agenouillée. Au jardin de haine, où périssent les fleurs d’une vie effeuillée. Ils me regarderont ! Oui, regardez donc ce qui fut si ravageur.
Parle-moi ! Oui, parle-moi de nous. Oui, parle-moi ! Parle-moi de l’amour.
Quand on eut peur, du vent d’amours et d’un cœur a tempêté. Ô démence ! Ô douleur ! Ô prison du cœur ! Ô. Prière d'athée. J’aimerais vous obtenir d’un déjà puisque je suis désespéré. La terre manque-t-elle à vos pas égarés, chères âmes désolées ?
Vous me maudirez de vos amants infidèles, mais moi j’y naîtrais. Ma prière était de ma douce passion, à elle seule j'y répondrai. Toi qui n’es pas au partage devais-tu punir ce cœur et le blessé ? Je t’ai vu rejeter ma fleur d’âme, à qui tu en éloignes ta beauté.
Oui, parle-moi ! Parle-moi de l’amour. Parle-moi ! Oui, parle-moi de nous.
Elle te dit clairement ce que tu n’entends pas au don bien perçu. Voici mon cœur ! Entrez, vous ressentirez tout ce que j'ai perdu. Oui, toi qui devances les hontes, mon cœur tu ne me la pas rendu. Chère âme, je ne suis pieu, alors n’en soi pas plus à ma vue émue.
L’ange ne passe plus, je lui suis indifférent à cette prédestinée. Tu restes toujours en sommeil, toi qui es d’une amère destinée. Voici votre raison de n'avoir rien aimé, aussi d'avoir peu donné. Je suis plus que poussière devant le feu de mes saisons ardées.
Parle-moi ! Oui, parle-moi de nous.
Et vole, s’envole l’espoir d’amoureux aux images de couleurs. L’ardente méprise donnée a ma vie qui me coûte des pleurs. C’était ton divin enfant à d’illustres prétentieux qui meure. Me parleras-tu de ce qui rend fiévreux pour deux cœurs.
Parlez-moi, oui parlez-moi de nous ! Quand sera-t-il de l’amour ? Oui, parlez-moi, parlez-moi d’amour ! Comme de bienheureux jours.
Copyright interdit 1974. A65 _________________________________________________________________________
Je suis dingue de l’instant. (Poésie de DSJL) 1974.
Je sais ce que veux dire t’aimer. Mon amour, crois-moi, je le sais. La fusion de nos deux âmes ne faisant qu’un. Le partage de douleurs aux bonheurs mutins.
Quand de t’aimer les autres m’était invisibles. Je n’arrive pas à te percevoir un défaut visible. Si jamais cela en était un obligatoirement il est mien. Tu as cette qualité au regard des autres sans liens.
Séparée de toi devient une douleur morale et physique. Les heures aux minutes des secondes me son cynique. Te retrouvant le soir d’une journée sans un regard. Ce jour m’a semblé trop long de son retard.
Tes chagrins sont les miens. Quand tu souris, je souris. Quand tu pleures, je pleure. Si tu souffres, je suis malheureux. Ton regard est la lumière de ton âme. Tes hormones un parfum de charme. Tu es pour moi une seconde peau unie. Toute à faire la continuité de notre vie.
Un mal et un apaisement de mes pensées réelles. Nos nuits sont charnelles, fusionnelles intemporel. Je suis toi et tu es moi dans cette chaude nuit. Je suis à ceux qui te regardent envieux maudit.
Comme à punir ceux qui te touchent mal. Aveuglé ceux qui osent ce regard de mâle. Ceux qui ne sont pas toi ne sont pas nous. Ceux qui ne sont pas moi ne sont pas nous.
Copyright interdit 1974. A66 _________________________________________________________________________
La substance demeure. (POÉSIE de DSJL) 1974.
Je me souviens de mes vertes saisons d’un abandon. Ce dernier exécutait vivant mon rêve abstrait et divin. J’étais adolescent, toujours joyeux, jamais mesquin. La malice animait mes faits, plus que l’amour de raison.
J’avais réuni ainsi dans un trait d’ardeur nos deux moitiés. Il venait me proposer l’éternelle de ses yeux espiègles. La substance demeure, ma fine silhouette sur lui se règle. M’échappait-il ainsi qu’une belle illusion à encore m’aimer ?
Quant à sa lèvre entr’ouverte, ce beau fou me dit, je t’aime. Ce bel éploré ne pouvait parvenir à cacher toute cette haine. Il fut plus gai quand de mes yeux enchantés je vu sa peine. Ce mot vint à faire ma corde sensible vibrée de joie extrême.
De mon amour, je viens de faire vibrer sa superbe anatomie. Bûcheron de ton corps, je suis de mon vit à l’appui de jouir. Ne vois-tu pas le sang d’opale qui s’égoutte de ton plaisir ? Je buvais à longs flots la liqueur de cette volupté de bannie.
Il avait perdu de belles choses en songeant à mes charmes. Sous cette douce écorce juvénile, je fus à toi l’ami envieux. Le clair de lune en admirait encore nos gestes si précieux. J’avais servi sa vie à faire succéder un sourire à ses larmes.
Je tempérais la magnificence de son corps de damoiseaux. Qu’il était beau, non pas plus beau qu’être son autre espoir. Ces yeux pleins de charmes qui vivaient de ses perles à choir. Mais ce matin son image sa voie tourmentait mes assauts.
J’ai trouvé en même temps, les vers comptines de ses envies. Mais comment expliquer sa vie en de frustes pâles débats ? Depuis hier nous deux dans mes draps, il explose à nos ébats. De quatre éléments nous sommes ne pouvant désunir nos vies.
Copyright interdit 1974. A67 _________________________________________________________________________
Notre reflet. (POÉSIE de DSJL) 1974.
Son geste intime, ami de toutes les transgressions. L’église garde une grande rancune du péché d’Ève. Elle la tient responsable de cette tentation brève. Si Adam fut le péché ! Qu’elle en serait sa position.
Trouble reflet de leur piètre d’histoire.
Incarnant pour elle ce dieu, qui est aussi ce diable ? Croquer la pomme n’est-elle pas à toute une position ? Il supporte le mensonge du bien au mal, à la création. En donnant autant pour l’amour, qu’une haine durable.
Trouble reflet d’une histoire devenue fatale.
L’histoire humaine semble avoir gagné tous les sommets. Grand artiste, grand maître en beauté des années. Si belle et si touchante, qu’elle s’y endort volontiers. L’humain croit la terre accomplie par des croyances pipées.
Sanctuaire des pourfendeurs de la vérité nous aveuglant. Drapé dans sa dignité de la vie, et de la mort sans heurts. Voici la touche suprême, qui désarme pourfend le cœur. Le mensonge mandaté à une prétention d’être le temps.
Reflet troublé de notre sainte histoire.
D’aucune tendresse ici ne fit le débat des compassions. Homme et femme sur terre, créée d’un acte passion. Quelles que soient votre couleur, vos pensées, vos unions, Vos tendresses vos destructions vous en faites façon.
Est un reflet historique aux troubles de la vie sur terre. Pour nous, notre terre nourricière reste parfaite. Mais le sommes-nous vers elle qui regrette ? La terre ne fut née d’aucune de nos pensées guerrières.
Copyright interdit 1974. A68 _________________________________________________________________________
Fond de l’abîme. (POÉSIE de DSJL) 1974.
Je n’avais de poursuite restée sur le chemin de l’obscure. Ces pensées qui sont mes songent, ceux de mes pleures. Elles qui sont venant de mon existence faite de malheurs. Sur un abîme qui au plus profond de moi-même perdure.
Après avoir survécu de mon passé, sans avoir pu l’abolir. De ces milliers d’heures, tant de choses me sont arrivées. Tout me revient de là où je n’eus que du pire à absorber. Attendre un avenir, sans avoir celui d’un présent à subir.
Errant dans ma plus sombre pensée faite de souvenirs. Je suis dans un paysage au néant de fleurs et couleurs. Ou tout mon monde semble n’avoir que de grandes peurs. La vie se fit impossible à vivre sans avoir à en souffrir.
Ils m’ont construit un monde ou je l’entrevoyais sans âme. Là où mes milliers de pensées me paraissaient trop clairs. Je m’en souvenais si bien, que j'en avais haï toute la terre. Elle qui me fut édifiée, dans les ombres sur des flammes
Tout ce qui parvenait de ma plus sombre enfance fixée. Vouloir vivre d’une indifférence comme tout adolescent. J’avais tant mal, je ne savais si l'espoir existé vraiment. Puis j’essayais d'oublier ce qui revenait sur mon passé.
Où est le chemin qui me mènera vers d’autres lumières. Mes souvenirs s'envolaient le jour en me berçant moins. Où sont mes rêves d’enfant de ce monde fait si lointain. Ils voyageaient quelque part, ou je ne sais qui m’éclaire.
Là où mes milliers de mes pensées naissent à parfaire. Mon silence fut le cri d'un espoir qui fait semblance. Chaque jour rendra ma vie moins noire que l’enfance. À me réveiller sans ombres et dans les rayons solaires.
Je m’en souviens un peu moins, que j'en aimais la terre. Elle semble si étrange, elle existe tant elle m’exagère. Elle m’avait construit un monde, dont j’avais vu l’enfer.
Copyright interdit 1974. A69 _________________________________________________________________________
Fantôme de mémoire. (POÉSIE de DSJL) 1974.
Ma misère reste l’inquiétude à mon esprit de passion, Conçue de la faiblesse qui décèle toutes mes raisons. Je découvrais l’insuffisance de ma nature d’omission, Elle mettait d’une soumission à revivre nos actions.
Le trouble de mon cœur était là dans ma profondeur, Il est là sauvegardant tout le sérieux de mon acteur. Ton visage se dessiné dans la clarté de mes tiédeurs, Mes mots reviennent sous ma plume dans la douceur.
Le souvenir de ta présence restait mon seul moteur, Cette ardeur toujours dans mon essence qui attend. Je ressens tes cheveux noir corbeau et leur douceur, Comme ton corps aussi velouté que des soies d’orient.
Tes yeux verts jade qui étincelaient dans ma parade, Comme un merveilleux miroir d’océan devenu calme. Ta silhouette fluette d’homme femme dans ma rade, Tu engageais ton aura sur mon quai qui fit ce charme.
Perdu du côté déchirant d'événement en spectateur, Implicite retour vers l’esprit d’une scène du cœur. Ma liberté de ta lumière était le chemin des mœurs, Ce matin ma conscience ouvre le sentier de douleurs.
Ce jour du Souvenir au temps cruel de ta disparition, Toi qui na jamais quitté mon rêve en prise au sommeil, Devenu le fantôme de mes nuits des songes en veille. Ma mémoire me redonne cette souffrance d’union.
Je me revoyais entre tes bras de mes quinze années, On m’a pris ta vie en ta dix-neuvième année tant aimée. Je n’arrive pas à oublier celui qui fut mon âme damnée. Damnation encouragée dont je serais à recommencer.
Je n’ai jamais retrouvé qui pu être un sosie mémorial, Si mon vœu s’exaucer j’aimerais revoir ton hommage. Entretenir ce qui fut notre présage notre destin sage. J’en viens à haïr cette mémoire, car elle me fait mal.
Copyright interdit 1974. A70 _________________________________________________________________________ Ou étais-je avant. (POÉSIE de DSJL) 1975.
Qui est-il cet ami qui se distingue mirifique, Avec ce doux regard des anges ? Cet être cher en qui je confonds sa clarté, Avec celle d’être ma propre lumière. Futilité impérieuse d’une différence figée, Qui devint un point de surenchère. M’invitant à explorer le sentiment gothique, Au fait de mon univers qui change.
Esprit des éléments des lieux des anges, Serait-il l’esprit d’un homme né. Un sourire rassemblera notre affection, Sous les effleurements endormis. Confiant sur l’épopée d’où s’iriser l’union, Les convergences d’un cœur transi. Déchirante attente de cet ami à ressentir, Comme les prières de vanité.
J’en tremble intérieurement en t’évoquant, De ce nom qui met si privilégié. Un peu plus d’avenir pour s’y abandonner, À notre énamourée insouciance. Ne reste-t-il pas trop d’espace entre nous, Et ce pour un peu moins de silence ? Il y aura d’autres paroles et d’autres nous, Des instants paisibles particuliers.
J’entends à nouveau la pluie tombée morose, Frêle voile translucide à cacher ma vie. Comme la pluie d’été qui attend d’être stable, Tu seras l’astre blond venu à minuit. Mon cœur est à cette longue attente idéale, Celui d’être enfin reconquis et repris. La rosée du matin est sur l’émail des choses, Elle aide les souvenirs de cette nuit.
Copyright interdit 1975. A71 _________________________________________________________________________
Recherche une transition. (POÉSIE de DSJL) 1975.
En la déserte arène de ma vie, et mes désirs semés trop tôt. Esclave de mon douloureux servage de mon esprit souciant. Pleurants amèrement, combien déçus d’allonger le tourment ! Tristes pensées de mon cœur ! Douloureux regrets de maux.
Cachant l'ombre d’une vie, image d’un mort gravée à l’infini. Mon talion na de cesse, l’amer apaisé na plus de fondement. Souffrant de l'horreur du moment d’amour se mandatant. Furieux remords de ce qu’une perte est un chagrin maudit.
Toi le médecin de mon corps, le tourment de mon bel esprit. Inconsolable je le suis à me lamenter de ce départ soudain. Le cœur comblé d'amertume, j'éprouve un espoir bien vain. Frêle fondement de mon bien futur ce que mon corps établi.
Il me faut une prière du ciel ce qui me serait un plaisir facile. Je trouve mes amis qui sont d’amitié d’un inconstant partage. D’un visage transi, je cherche vainement l'esprit qui soulage. Le fruit chéri de ton attente est une perte sur ma vie gracile.
D'alliance mélancolique d'un renfrogné ennui, peine adversité. Mon malheur le voyant croître en infini, je l'éprouve peu utile. N'éprouvant qu’un céleste élève désir de mes pensées futiles. Il me faut plus qu’un salut, ne dire qu’en rien ma cendre espérée.
Mes yeux convertis en fontaine balbutient la peine que fut vie. J'aspire du désir que bientôt de te suive me rendra heureux. Mes armes d’une douce mort, l’ennui aux yeux finira ce mieux. Amour aimé ! Je suis las d’être divisé demeurer veuf de ta vie.
Copyright interdit 1975. A72 _________________________________________________________________________
Tromperie et mensonge. (POÉSIE de DSJL) 1975.
Moi, qui avais simplement besoin d’avoir ton avenir. Je t’ai vu avec un autre, ne me donnant aucune dilogie. Ma déception envers toi est intense, je me sens trahi. Me laisseras-tu l’exprimer, sans nier mes dires ?
Toi qui me laisses pour aller rire et t’amuser longtemps. Sous ma colère, sous ma peur ! L’amour d’être confiant. Toi seul vraiment sais, tout ce que j’ai vécu bien avant. Me laissant clos en écrin, tu ne me choisis pas souvent.
Toi, qui me dis que je n’aie aucune vaine raison. Celles qui sont à percevoir d’étranges émotions. Je me sens terriblement seul, écrasant mes simples désirs. Soupir que tu m’emmènes m’égayer me faire dérider à loisir.
C’est moi qui suis de tout temps à attirer ton attention. Sans être avec toi, je supporte bien mal mon chagrin. J’ai peur que l’on me laisse choir à nouveau un matin. Cela m’a assurément détruit, bien plus que de raison.
Tu as ressenti mon malaise, sans rien faire de succinct. Moi qui ai tellement besoin de toi, toi qui m'as exclu. Pourtant, tu dis m’aimer, en me donnant que ton superflu. Seul toi pus assimiler ce que depuis longtemps je crains.
Probable que tu ne veux pas changer ce rapport avec moi. Cesse de t’écouter, considèrent mon doux désir mon émoi. Réalises-tu que tu es à anéantir tous nos espoirs ? Toi qui n’as sur les autres vraiment aucun pouvoir.
Tu es fort pour mentir, ça fonctionne parfois seulement. Tu ne m’écoutes plus et le malaise va en grandissant. Mon âme coule de mes yeux, me vois-tu larmoyant. Comme ce jour met triste, tu vas encore à l’isolement.
Étouffé sous tes croyances, tu sers aux autres. Et bien voilà, je suis las de ne pas être ton hôte. Laisse-moi te dire que tu fais pâtir mon âme mon être. Toi qui avais le pouvoir de m’aimer, de me connaître !
Pourquoi ! Oui, dis-moi pourquoi Pour la dernière fois, je vais te supplier. S’il te plaisait à revenir me choyer, me réaliser, nous œuvrer. J’ai mal, si cela te fait mal, je t’en conjure, reste à m’aimer. Je t’ai prié de ne plus jamais, plus jamais me laisser tomber.
Vaines paroles données, à un cœur devenu sourd d’amour. Mais non ! Pour toi je suis le jouet de tes envies du jour.
Copyright interdit 1975. A73 _________________________________________________________________________
Plus d’espoir sur terre. (POÉSIE de DSJL) 1975.
Moi l'oiseau du temps, perdu sur un univers devenu austère. Fatigué au non cesse de mes vols, je cherche la paix entière. Nul repos au risque d'une erre autoritaire ne peut se faire. Je vole sur cette sphère à la recherche d’une âme sincère.
Trouverais-je sur mon chemin un cœur d’amour inhabituel. Après avoir franchi la voûte, celle d'un bleu tendre pastel. Je m'évade à croire encore aux rêves à comprendre le réel. Je manifeste et interpelle pour que le bonheur se rebelle.
Je m'avance à la pointe de lumières nues, parmi mes pères. L’envie de démesure avaient reconstruit les haines la mort. Les rameaux d’olivier sont aux fronts des démons retors. Mes ailes ne portent plus sur les airs corrompus d’impairs.
La colombe est tombée aujourd'hui du côté de catacombes. Blessure faite de mésentente sur leurs chants de guerre. Mes plumes blanches sont maculées de mon sang pubère. Je vole dans ce ciel triste, qui est devenu d’un gris sombre.
Directement du pandémonium de Satan refuge des démons. Cohorte d’enfer venue abattre le corps de mes compagnons. La blanche colombe percée de mythiques flèches de légions. Ce fut dans le silence qu’elle s’envola rechercher un monde.
J’avais flirté dans des espaces devenus bien plus sombres. J’ai chassé de mon âme la noirceur de corbeaux chafouins. Pour faire de mes voyages la paix à se voir portés aux loin. J'essaye de sortir la lumière d'endroit fait de pénombres.
Quand ma pensée fut de pouvoir toujours être l’âme fière. Mais, trop tard, leurs plumes jonchaient un sol de pierre. Je croyais pouvoir déconseiller la haine, œuvré en frère. Comme ce qui encore d’hier surveillait notre belle terre.
Vos prières sont inutiles, vos croyances faites de guerre Hier encore je soupirais ! Sommes-nous damnés ici-bas ? Les hommes détruisent l’univers qui serait de non-trépas. Compagnon des démonistes vous êtes créateurs d’enfer.
La colombe ne se posera pas sur cette terre sans paix. Elle ira plus loin où le monde est plus humain de son fait.
Copyright interdit 1975. A74 |