| 2e livre/ 4 une enfance aux conséquences dévastatrices.**Une fois de plus, je ne dormais pas seul, Lucky était venu sur les coups de deux heures du matin dans ma chambre, il s'était glissé dans mon lit en commençant par me sucer, ce qui m’offrait un réveille des plus agréablement. Puis ce fut à moi de m’occuper de ce superbe corps androgyne, que ce fut avec mes lèvres mes mains que je baladais sur sa jolie silhouette c'était un vrai plaisir. Ce mignon était aussi chaud qu’un volcan, sa peau très douce et sentant le pain d’épice, avec un corps pareil je ne pouvais que le faire jouir ! Il allait quand même bien falloir que je me décide à en parler à parrain de nos étreintes, malgré le fait que j’avais peur. Les jours suivants j'apprenais par Lucky qu'un mec fut trouver dans la seine la gorge tranchée, avec pour seul vêtement une chemise de soie, une veste jean Raymond, et des Weston au pied. Et bien ça ne rigole pas chez les Corses quand tu leur fous la merde, tant soit peu qu'évidemment cela viennent d'eux. Cette petite bande avait l'air d'avoir pas mal d'ennemis de ce qu'il se disait du côté de la gare du Nord. Trois jours plus tard, je déposais une demande de congé à ma patronne en lui disant que je devais aller voir un oncle éloigné très malade dans ma famille corse, et me voilà voguant sur le bateau via Ajaccio première escale. P91
**En arrivant je fus pris en charge par Freddy, en voiture on allait rejoindre la baie de st Florent et ce qui durant le trajet mon frère corse par alliance, allait plusieurs fois me dire qu’il était hyper heureux que je sois venu. Puis il me dit qu'en fin de compte en ayant bien réfléchi de notre premier ébat, il avait compris qu'il avait aimé nos mélanges. Puis il en vient à me dire qu'il voudrait bien que l'on se revoie ! Je l’écoutais ! Et pour couper court, je lui disais que je n’étais pas venu pour des parties de jambes en l'air, que j’étais en corse que pour une quinzaine. Voilà pourquoi je suis sur cette ile de beauté. J’avais toute foi des nuits à combler avec Freddy qui n'en démordait pas à vouloir faire de son corps, un territoire fait pour mon sexe. Passé ces quinze jours de vacances à faire de la bronzette m’avait redonné un peu plus de moral, et un teint hâlé. Et en rentrant de ce pèlerinage, j'avais repris mon travail avec plaisir, ainsi que mes visites à parrain et Lucky, en qui je m'attachais malgré tout. Cela faisait un mois que j'étais à bosser, mes journées ressemblées à tant d'autres, je le supposais, vu que je ne me mêlais pas trop à mes collègues de resto. J'avais à cette occasion fait connaissance d'un homme qui travaillait au restaurant la carpe d'or en tant que chef de rang. P92
**Nous avions sympathisé et plusieurs fois dans le mois, nous étions allées sur Pigalle faire les bars de nuit. Il était connu sans savoir que moi aussi, plusieurs fois je dus en catimini demander à des barmaids de faire semblant de ne pas me reconnaitre. Puis un soir trois mecs sont venus vers moi, en m'interpellant par mon nom des bas fonds, hé salut Sergio de Corsica, comment tu vas, cela fait un moment que je n'ai pas vu ton parrain Fiorini. Je n’avais pas eu le temps de leur dire de ne pas m’appeler comme cela ! Bien entendu, mon pote loulou fut surpris, car il avait déjà eu des échos de mon parrain et de mon moi, vu que je trainais allégrement et souvent dans cet arrondissement. Mais ces personnes dont il avait entendu parler sur Pigalle et arrondissements plus proches, il ne les connaissait pas et là devant lui s’en trouver d’en voir un, pas un puissant cela va s’en dire, mais il en fut étonné et je vus qu’il sans trouvé fier de me connaître. En fin de compte j’étais content qu’il le sache, je savais qu’il ne le dirait a personne, il était aussi taciturne que moi et fêtard. Nous avons fini la soirée à faire tous les bars de la rue Pigalle, je n’avais encore jamais été aussi bourré que depuis ma première fois, chez mon pote Xavier. P93
Livraison et luxure.
**Je l’avais certainement ou furtivement espéré, me revoilà plonger plus ou moins profondément dans le milieu, je me trouvais l’esprit occupé par des mouvements continus sur Paris avec plein de rendez-vous dans des endroits de Paname qui m’était jusqu’à présent inconnu. Ce soir, je suis avec Freddy, Domi et Francky, justement il faut que l’ont se dépêchent, les parrains doivent nous briffer, vu que dans certains quartiers de Paris sous la coupe du clan Corse sa chauffe. Nous ne sommes plus très loin du Bar l’Ajaccien, lieu du dit rendez-vous. Quand on poussa la porte du bistrot, une épaisse fumée et une odeur de tabac froid nous agressaient yeux et poumons. Puis en passant devant le bar nos narines se trouvèrent assaillies par de forts relents de pastis. Le bar était plein à craquer et des discutions qui fusées on ressentait qu’une tension planée dans l'air, presque palpable. On essaya de se faufiler sans trop se faire voir à travers cette foule plutôt mécontente, ils y en avaient certains qui nous reconnaissaient. Ils nous donnaient de petites tapes dans le dos, ou nous interpellaient de nos surnoms et en cela jusqu'à ce que nous arrivions au fond de la salle du côté des chambres jamais loué. P94
**Maurice Fiorini était au bas de l'escalier avec son air de mauvais jours, avec en bouche son cigare de havane importé de Cuba. Il nous fit monter à l'étage et sur la droite, nous pénétrons dans une des chambres. Nous entrons dans la piaule, et là sur le lit une valise marron attend un preneur. Il y avait un grand mec planté devant, je ne le connaissais pas encore, Maurice lui dit alors de nous expliquer ce que l’on devait en faire, et sortit rejoindre le brouhaha qui s’était amplifié depuis notre arrivée. Pour le moment je ne me sentais pas très fier ne comprenant rien à cette embrouille. Freddy, Francky et Domi écoutaient les directives de Jeannot, moi je l'écoutais mais sans vraiment m’intéressais, je n'avais rien à faire là, mais ça ne déranger personne ou pas plus que ça. Bon ben a priori, la valise contient du pognon pour le paiement d'un service, il fallait que l'on dépose cette valise à St-Germain à Lay. Je me disais que sa tombé bien nous avions quelques connaissances filles dans le centre, pas très loin du restaurant le Soubise. Nous avions trois heures pour faire la livraison ! Nous voilà partis. Métro et train, il y en avait pour pas moins de 1 h30mn de trajet, ce qui nous laissait de la marge si jamais l’on se planter, ce fut Freddy qui tenait la valise, et nous faisions office de garde du corps et on se la jouer Rocco et cie. P95
**Quand nous arrivons à destination, il était déjà 20 h, sans une embrouille, nous déposons l'objet rue du château chez un certain M. Paul, on avait tous les quatre l'estomac dans les talons, l'esprit libéré de cette valise. Mais en premier lieu, notre priorité était de téléphoner à Jeannot pour lui signifier que le colis était livré. Ce fut Freddy qui s'y colla et sitôt fait, nous partons en direction du Soubise pour bouffer. Les filles ce sera pour plus tard, mais en entrant dans la salle on n’a pas besoin de chercher bien loin, à une des tables il y a cinq gonzesses qui ne font que de nous mater depuis notre entré dans ce lieu. On nous plaçait à une table juste à côté de la leur, Francky et Domi les plus dragueurs engageaient la conversation. Il leur demanda si elles voulaient dîner avec nous, et les nanas furent d’accord, Freddy demandait au garçon de salle de bien vouloir nous réunir à une même table. La chose se fit et nous voilà à discuter avec ces demoiselles, je me retrouvais coincé entre deux filles, au début tout allait bien. Les filles picolaient comme des trous vu que c’était l'anniversaire de l'une d'elles. J’étais aussi timide qu’avant et avec un peu d'alcool je finissais par me décongeler devenant plus entreprenant, mais pas assez pour l'une d'elles, puisqu'elle me prit la main avec autorité tout en la posant entre ses cuisses brûlantes. P96
**L’autre fille à côté de moi était encore pire vu qu’elle n'arrête pas de foutre sa main dans mon pantalon et comme je ne portais toujours pas de slip, mon phallus devint vite prêt à l'emploi étant dehors constamment entre ses mains chaudes. Francky qui avait vu les adroites manipulations de la donzelle se marrait et moi je n'en pouvais plus du fait que sa copine à ma gauche décidait de me caresser les cuisses et le sexe en même temps que celle de droite. Domi m'apprend qu'elles sont sœur, putain vivement que l'on se tire de là car j'avais chaud et le serveur nous regardait déjà avec un drôle d'air ! Style envieux réprobateur. Ces demoiselles avaient réussi de nous voire repérer dans ce restaurant chic, le dîner fut écourté pas de dessert et tout le monde ressort surchauffer par l'alcool et une envie de sexe. Freddy alla payer la note avec le fric que lui avait donné son père et à son retour les filles nous invitaient chez l'une d'elles pour finir la soirée. Elles logeaient toutes les cinq pour le moment dans une villa bourgeoise sans leurs parents qui se trouvaient pour le moment en voyage d'affaires aux USA. Elles nous firent savoir qu’il n'y aurait que du personnel à nous gênait, nous avons donc accepté l'invitation, alors que moi je n’étais pas très chaud, depuis quelque temps, les filles tout comme les garçons m’étaient insupportables. P97
**J’avais un coup de ras le bol que les filles ou les mecs ne cherchaient à me mettre dans leur lit que du fait d’être avec les fils de parrain, je n'avais vraiment pas envie de faire le mélange de mon corps avec les mimiques qui s'imposent. Mais bon je les suivais afin de ne pas casser l'ambiance de cette soirée qui allait finir sur du cul. À peine étions-nous entrés chez elles que déjà les mains refaisaient leurs apparitions avec les jeux de bouche à sucette. Nous allions passer la nuit chez ces demoiselles à nous mélanger par deux ou bien trois, une soirée de baise à outrance, je finissais ma nuit comme un con avec les sœurs mangeuses de sexe, je voulais juste savoir ce que cela faisait. Le lendemain au petit matin, je me levais à 7 h 30 et j'avais 1 h 30 de trajet ce n'était pas trop le moment de faiblir, mon travail m'attendait. Il me fallait rentrer maintenant pour ne pas avoir de retard dans mon boulot, mais les trois loustics étaient encore à dormir. Une des frangines avec qui j'avais passé la nuit était devant moi dans sa nuisette transparente, elle m'avait préparé un bol de café, et confectionner des tartines beurrées et confitures. J’avais trouvé ça sympa de sa part, et l'on déjeuna ensemble, et quand je fus prêt à me casser, la demoiselle me dit avoir encore faim, mais a ma surprise ce fut de sexe qu’elle espérait combler cette fringale. P98
**Elle voulait du sirop de corps d’homme, je la laissais faire fonctionner mon piston, elle pompait super bien, j'avais bien envie de lui pénaliser son cul, mais bon ça allait accentuer mon retard. Alors je prenais mon congé, salut ma belle a un de ces quatre, il faut que je retourne dans mes pénates, j'ai du trajet à faire, et vu l'heure je suis dans la merde. Je décidais donc de demander à Freddy s'il pouvait me prêter des tunes pour prendre un taxi afin de parvenir à mon taf dans les temps. Après plusieurs tentatives a le réveillé, sortie de son sommeil en ronchonnant il me refila une poignée de biffetons. Mais il ne put s’empêcher de me caressait le matos en me remerciant de l’avoir calculé hier soir avant d’aller dormir avec les filles. Putain je devais avoir un sacré coup dans le nez vu que je n’en avais pas le souvenir, ou alors c’est encore une de leur saloperie de pilule que souvent Domi avait sur lui. J'avais par chance repris mon boulot juste à temps, le Lackstore après les réfections faites dues à l’incendie avait plus de classe. Le personnel n'avait pas beaucoup changé, j’avais toujours dans les pattes le garçon de salle Christophe qui aimerait bien se faire mon petit cul. En cuisine le chef est un ancien du restaurant boite le Safari et il me connaissait comme de bien entendu, P99
**Le samedi pour tous reste une grosse journée elle nous faisait ramasser de la tune à gogo, alors depuis ce matin 8 h, je n'avais pas pu décoller de la salle de resto, sauf pour les poses repas. Il était maintenant deux heures du matin la journée tirée à sa fin, j’étais mort de fatigue et pour ce qui serait du lendemain j’étais de repos avec la semaine à suivre, ce qui m'arrangeait bien. Depuis quelque temps j’avais des idées de départ qui me trotter, cette folle envie de voyager loin, très loin, mais je pensais que cela rester consécutif de mon départ et retour sans Florian. Comment faire pour effacer l’amour que l’on a bâti avec autant de passion de sa mémoire, j’aimerais poser mon âme au sol et la piétiner et ainsi en extraire mes idées noires. L’amour restera pour toujours une prière de l’esprit ouvert à la beauté d’un cœur. P100
Soirée de galère et essai de Lucky.
**J'en avais trop vite espéré d’une fin de soirée bien tranquille, mon manque de pot comme dab, car au moment où l'on allait fermer les portes, la bande d'Argenteuil débarquée dans le bar, ce sont des loubards, dont Luigi le plus ancien et le chef de ce clan. Il ne sait évidemment pas que je suis et heureusement pour moi sous la protection des Corses et très bientôt content de l’être. Vous vous dites qu'il n'était pas censé le savoir, c'est vrai, je ne m’étais pas amusé à le chanter sur tous les toits. Là où je trime, personne ne se trouver au parfum, pour ce qui était de Luigi, je savais pertinemment qu'il était venu pour foutre la merde, c'était sa manière de vivre. Ils n’étaient pas loin d'une vingtaine, et ils commençaient déjà à chahuter même si pour l'instant ils sirotaient leurs bières, les deux ou trois jeunes qui servent de femmes au groupe pissent le long du comptoir et s'amusent à nous montrer leurs culs. Puis ils trouvent que le jeu de bousculer les tables et les chaises est bien plus marrant. La tension monta de plusieurs crans quand ils décidèrent de ne pas vouloir payer leurs consos. Intérieurement je me doutais que cette soirée allait devenir chaude et le directeur commençait à avoir la trouille, il était blanc comme un mort. P101
**Le directeur de salle prit tout de même la décision de distribuer aux personnels du resto du méchant matos défensif, manches de pioche, nerfs de bœuf et bombes lacrymogènes MAD in CRS. Pour ma part, je demandais au directeur de l'établissement si je pouvais bigorner en urgence. Il me laissa à ma décision ! Oui … vous avez compris, je voulais appeler parrain et lui expliquer qu’elle bande si trouvée à me faire des malheurs, il n'était pas question que je me fasse défoncer la gueule par une tribu de con. On avait un peu de chance tout de même, le videur du safari club, Michel était dans la place, cela pouvait freiner leurs ardeurs belliqueuses. Car celui qui va vouloir le chatouiller de trop près allait déguster, pour arrivé à faire tomber un mec de, 1.98 m-130 kg 4e dan de karaté et 5e de kung-fu, adepte de musculation sa ne lui serait pas facile. Il ajoutait qu’il était Champion de Cluedo de Montmorency, c'était une boutade de sa part, inutile pour la baston, mais à chaque fois qu'il le balançait à ses adversaires, le temps qu'ils pigent, il couchait les premiers et lui ça le faisait rire comme un gosse. Bref ! Quand la castagne débute Michel avec grand calme en avait déjà choppé et jeté quatre dans les escaliers, ils n’étaient pas prêts de revenir, d'ailleurs, ils ne se relevaient pas pour le moment de cette chute. P102
**Leurs camarades de jeu les évacuent et les adossent contre le parapet du lac d’Enghien, ils sont bien amochés de cette chute dans l’escalier. Quant enfin nous avons réussi à, les foutres dehors, sitôt fait, je gueulais aux garçons de salle les plus près de fermé les doubles portes en verre blindées ce qui se fut avec difficulté. Au cours de l'affrontement, je m’étais pris un coup de surin, et instinctivement j'avais rentré le ventre afin d’amortir sa forte pénétration, une feinte que m'avaient enseignée les sbires de parrain. J’avais à peine ressenti ce coup de canif durant cette altercation et du coup pas fais trop attention, je pissais le sang sans vraiment m’en rendre compte, pris dans cette bagarre mes nerfs étaient au summum. Mais tous ces cons restaient là à attendre que l’on sorte et au bout de dix minutes, par l’arrivée de renfort le groupe c’était s’agrandit. Ils étaient maintenant une trentaine, et tout ça devenait très sérieusement la merde totale. Une dizaine de mecs décidés avaient monté les marches, et ils commençaient à donner de violents coups de pied dans les vitres blindées. Ils poussaient sur les portes avec force, heureusement pour nous qu’elles étaient blindées, mais de toute façon s'ils continuaient de pousser, et de savater elles allaient forcément a un moment nous péter à la gueule. P103
**Le directeur avait bigorné aux poulets, mais comme d'habitude c'était le silence dans la haute plaine, pas de gyrophares sur l'horizon. Moi je commençais très sérieusement à m'inquiéter tant tout ça prenait de l'ampleur vu que dehors les mecs criaient vengeance. Quand, 10 min plus tard, plusieurs coups de Klaxon déchirèrent la nuit et cinq véhicules vinrent piler devant notre trottoir. Mon coup de téléphone envoyer il y avait 30 min n'était pas resté en vain, je voyais descendre de chacune des voitures cinq balaises et à la suite parrain. Tous les sbires entreprirent d'interpeler la bande de nases, Luigi qui se trouvait en haut des escaliers, en ayant reconnu un des bras droits de parrain, redescendit rapidos pour tenter de calmer le jeu. Il avait même failli se casser la gueule dans l'escalier, quand à travers la porte encore debout je l’aperçus peu après qui palabré en recherche d’excuses auprès de parrain, mais les Corses ne sont pas contents du tout, ils n'aiment pas que l'on touche à leurs protégés, ni être pris pour des cons. Les voix montaient en décibels et dans le groupe Napoléon quelques-uns avaient déjà défouraillé ! Si Luigi ne fermait pas rapidement sa gueule, il allait se prendre un pruneau dans l’estomac, finie la constipation. Puis à ma grande surprise un total silence se fut, on pouvait y entendre le pet d'une mouche. P104
**Et d’un coup à mon grand étonnement, Luigi vint directement vers moi, il me fit des excuses et me donna son Beretta en gage d'acceptation. Je me sentais bête ! Je ne savais pas trop quoi lui dire, sauf un petit merci et sans rancune. Bon est bien maintenant à mon travail, ils savaient qui je fréquentais et ça m'ennuyait un peu. Mais mon côté fierté de les connaître était à la hausse, ça me donner des frissons dans le dos. Du coup j’allais à la rencontre de Michel afin de le remercier d'être resté, nous aider, tous deux ont ce gratifia de quelques mots, il me parla surtout de cette soirée et de l'intervention de parrain. Presque aussitôt, il me demandait si je pouvais le pistonner pour du boulot dans le milieu, il me fit comprendre qu'il savait déjà que j'étais affilié au milieu. Vallera le patron de la boite le golden club lui avait fait savoir un soir de visite au safari club. Je lui répondis ! Que j’essaierais, mais je ne pouvais rien lui promette, je ne pouvais que faire mon possible n’étant pas le décideur. Jeannot me fit grimper d’autorité dans la voiture à côté de Maurice Fiorini. Mais durant le trajet, j'avais des sueurs froides des tremblements en même temps, et au bout d’une petite heure, on se retrouva rue Jouvenet. Accueillis par Freddy et Lucky qui nous y attendaient avec impatience, en entrant ils ouvrirent de grands yeux en m’apercevant. P105
**Moi, tout en les regardant, je leur lançais avec un franc sourire salut les frangins tout va bien. Ce fut à ce moment qu’ils dirent à leur père. Papa tu as vu Sergio, sa chemise et pantalon sont tachés de sang. Durant cette bagarre et toute cette pagaille, je ne m’en souvenais plus de ce coup de surin, je n’étais que légèrement blessé à hauteur du foie, la douleur s’était endormie par l’excitation. Parrain écarta ma chemise d’une main, et les boutons tombèrent au sol, puis il dit aussitôt, merde, j'ai cru que t'avais saigné un des mecs, moi. Il demanda à Freddy de me monter aux 1erdans la salle de bain pour nettoyer tout ça et voir si ce n’était pas plus grave. Il lui fallait partir car ces affaires de la nuit n’étaient pas bâclées. Dans la salle d'eau, on constatait que c'était un peu plus grave que je le pensais, la lame était entrée assez profondément malgré tout. Mes nerfs relâchés, l’adrénaline consumée fit que je ne me trouvais pas bien du tout, j’étais devenu blanc comme neige, et je me mis à tourner de l'œil. Freddy avec l’aide de Lucky me rattrapait avant que je tombe dans le cirage, il me couchait dans une chambre. Puis Freddy me laissa en demandant à Lucky de m'installer au mieux, puis il se retira dans le salon pour appeler le médecin de famille, il tenta de joindre celui-ci à plusieurs reprises sans succès. P106
**Il décida donc d'aller chercher le toubib du milieu, avenue de Versailles, mais, avant de partir, avec l'aide de son frère, il avait pansé au mieux ma blessure. Juste après son départ, son jeune frère de 15 ans, nous avons presque le même âge, me donnait un cachet soi-disant contre la douleur. Passé cinq minutes la pilule ayant fait son effet, il me retira toutes mes fringues, toutes sans une exception, mais en faisant cela, ma blessure se mit à ressaigner abondamment, alors il changea mon pansement sur le ventre avec une grande douceur. Sa main gauche était posée sur mon bas-ventre au ras du sexe avec celle de droite, il m'épongeait le front. Mais il a fini par tripoter mes bijoux avec délicatesse envie et nervosité, il y avait un moment que je ne lui avais pas fait de caresses et encore moins de glissade. Je me sentais un peu fatigué comme sur un nuage de coton, n'arrivant plus à bouger, l’impression de planer j’étais stone. Je captais un peu ce qu'il faisait, mais comme dans un rêve, ce qui était incontestable, c’est qu’il était vraiment doux et mignon. Il faisait fragile légèrement efféminer, de sa petite voix fluette et son petit cul qu’il n’arrêtait pas de remuer sous mon nez. Il me parla très doucement en me couvrant de baisers fougueux sur mes joues et plus particulièrement ma bouche et mon bas ventre. P107
**Puis il passa ses doigts sur mon sexe les portants à ses lèvres, puis il recommença, cette fois il les glissa dans son slip et les posaient sur les miennes. Tout était flou et vacillant, j’avais envie de rire sans aucune raison, et maintenant, j’étais sûr d'avoir été drogué par Lucky, comme, persuadé qu'il voulait en connaître plus sur sa sexualité. C'était une chose dont je n'avais plus du tout l'intention de me mêler, ce soir c’était un coup à avoir des embrouilles avec son père et son frère. Mais là, je me sentais bloqué et ne pouvais rien empêcher, depuis le temps qui me tanner à vouloir me tripoter de nouveau là il était tel l’enfant qui va s'amuser, il se mit complètement nu et se coucha sur moi. Il me caressait tout le corps avec ces petites mains n'oubliant pas un endroit qui puisse l'attirer. Je le sentais qui s’aventurer à m’embrasser la poitrine, le ventre quand il fit un essai de bouche sur mon sexe en érection en le suçant tout en malaxant mes burnes. Il lui prit l’envie de se sodomiser sur ma verge, mais ça lui tira une grimace une plainte de douleur quand il tenta de se l’introduire à sec. Mais il n’insista pas, il ressortit de la chambre en me matant de ses yeux vicieux et un air pensif. Que m'avait-il fait prendre ! Je n'arrivais pas à bouger, ma volonté était comme endormie, c'était quoi ce cachet de merde. P108
**À peine fut-il parti que je me suis endormi, un moment plus tard, je sentais mon corps chahuté balloté, et tout en ouvrant péniblement mes yeux, je l'aperçus empalé sur ma bite ? Lucky poussait des (ho oui, hum oui c’est bon). Ces lèvres aux miennes, il glissa sa langue dans ma bouche, me disant qu'il m'aimait comme un fou. Il finissait par jouir sur mon ventre, moi aussi, mais dans lui ! Puis il me dit à l'oreille de ne rien dévoiler à son frère ni à son père. Ouais et bien tu parles, ça ne risque pas, c'est surement moi qui prendrais à sa place. Sitôt il m'embrassa tout le bas-ventre. Il me lava le sexe le ventre puis recouvrit mon corps avec le drap. Lucky se rhabilla et ressortit de la chambre en sifflant (hey Jud). Je m’étais d’un seul coup rendormi, mais avec cette gymnastique ma plaie s’était rouverte et remise à saigner abondement. Freddy et le toubib débarquèrent 1 h après le petit jeu de Lucky, j’étais encore dans les vapeurs du cachet. Je ne m’étais pas réveillé durant le temps que le médecin de ses instruments suturer ma blessure sans que je n'en souffre. Moi je n'avais rien senti grâce à cette saloperie de pilule probablement ! Il donna des antibiotiques ainsi que des antidouleurs plus quelques conseille à Freddy. Au bout de deux heures, je sortais de ma torpeur et aperçus Freddy parlant fortement à Lucky. P109
**Puis il lui asséna une gifle appuyée, ensuite il vient me voir, en me demandant de ne rien dire à son père, mais mon cerveau était encore brouillon et je lui demandais de quoi il me parlait. Lucky était à la porte de la chambre d’ou il pleurait, il regarda son frère et m’expliqua. Quel petit con me dit-il, tu t'es remis à saigner ton pansement était gorgé de sang, alors que je lui avais dit de ne rien tenter. Crois-moi j'avais repéré ces petits coups d'œil vers toi, il m'avait dit avoir eu le coup de foudre pour toi, je ne pensais pas qu'il aurait eu le culot de faire ça en catimini. Et puis dans notre pilulier spécial, j'ai fait le compte, il en manquait une, il t'a bonnement drogué, je suis vraiment désolé Sergio. Afin de dédramatiser la situation je lui répondais, tu ne le sais pas, mais cette semaine, je ne travaille pas, alors il aura le temps de me bichonner le petit, tu ne trouves pas ça marrant. Ouais me répondit-il, mais ça ne me fait pas rire, et en attendant vois-tu j’aimerais mieux que mon père n’en sache rien. Je regardais Freddy et lui disais ça va aller quoi, ne t'inquiète pas ce n’est pas non plus la fin du monde. Lucky devant la porte essuyait ses larmes en souriant comme heureux que je ne sois pas fâché, et il m'envoya un baiser de loin. Dans la soirée son père entré de ses occupations vint me voir afin de savoir si j’allais mieux. P110
**Le lendemain matin, Lucky vint vers les 10 h changer mon pansement, et soulevant le drap il fit le constat que j’étais en forme avec mon érection, mais, il ne tenta rien, mais là c’est moi qui lui fis le reproche de ne pas se servir. Avec tes envies de moi et bien maintenant c’est moi qui ai envie de toi, on est seul, si tu veux me sucer ne te gêne pas, pour moi ça était un vrai plaisir de me sentir en toi. Le chéri ne se fit pas prier, chopant mon sexe dans sa bouche, il le masturba avec délices et avala mon sperme comme un sirop, j’avais surement eu tord de lui demander ça, mais trop tard. Durant mon séjour, il s'occupa de moi et les jours passés toujours sans décence quand il me lavait, s'amusant avec mon ogive à fesses, vu que je ne devais pas me lever sous peine de rouvrir la plaie. Je ne risquais pas d'être sale, vu qu’il allait partout, et profitant un peu de mon état, je le laissais me sucer à chaque fois. Mon problème étant que je l'appréciais plus que je ne le voulais étant très doux et doué mon chéri, puis maintenant il allait surement me laisser tranquille avec ses demandes de sexe intempestif. Après cette convalescence chez parrain, j’avais repris mes fonctions au restaurant, et on ne s'était pas revu pendant deux semaines, je n’étais pas non plus redescendu sur Pigalle. P111
**Un soir tardivement en rentrant de mon travail je trouvais glissé sous la porte un message qui m’était transmis par Freddy, me disant que j’étais invité pour ce 11 mars au 15e anniversaire de mon Lucky, le rendez-vous était pris au bar le Corsica Bella. Le jour dit, en entrant dans la salle, je constatais que le plafond de ce bar était une fois de plus couvert d'un halo de fumée et qu'une forte odeur d'alcool anisé plané. Ca discuté beaucoup dans le fond de la salle, je captais par hasard une de leur conversation disant que tous les derniers casses avait plus que foiré. Certains allaient même jusqu'à dire que depuis quelque temps tout foiré, et les Siciliens étaient mis en cause, surtout la famille Tatavia, le milieu corse pensée qu'il tirait les draps à eux. Il avait eux aussi la confirmation que des indics siciliens, donnaient des renseignements souvent erronés, quand ce n'était pas carrément faux. Mais, pour parrain, le pire ce fut quand il apprit que des Corses et Siciliens distribuaient et vendaient de la drogue, c'était une chose qu'il ne pouvait en aucun cas tolérer et admettre. J’étais planté là au bout du bar, inconsciemment j’étais à écouter leur conversation, quant, Jeannot le bras droit de parrain leur expliqua qu'il avait à leur fournir un exemple des plus flagrants. P112
**Il énonça le coup du train postal gare du nord, où un transport de billets usagés via banque de France avant leurs destructions devait changer de main. Une petite porte latérale cotée ouest devait être déverrouillée, donnant la possibilité aux hommes de parrain de choppé plusieurs millions de francs nouveaux en billets faciles à remettre sur le marché intérieur extérieur. Que le renseignement fut erroné ou autres, bref ce fameux jour comme par hasard la porte était resté close. Dans le bar, je constatais que les esprits s'échauffaient rapidement, certains parlaient de trahison. Ils sont chaud les Corses, certains plus que d'autres, heureusement que l'avocat de Fiorini est sur place, Maître Piétri ne parvient à calmer que difficilement ce petit monde devenu nerveux. Il est 21 h et le noyau dur avec leurs sbires débarque Paoli, Bastiani, Paoli Paolantonacci, et bien sûr les parrains, Alphonsi Fiorini et Alberti, ils sont de la vieille école pas de mort lors de braquages, pas d'arme sortie inopinément lors des cambriolages, et surtout pas de drogue dure. Tous trois ont regardaient et écoutés en ne sachant pas trop où nous mettre autrement que derrière le bar. Au bout de cinq minutes, les parrains nous ayant aperçus nous disent de prendre le large, que cela n’était pas l’affaire des jeunes à ce débat. P113
**Cela tombé plutôt bien pour nous ont avaient rendez-vous rue Blanche avec les fils des sus nommés dans le bar, je n'aurais jamais dû être là logiquement. C’était à cause de Lucky, qui avait absolument insisté pour que je sois présent, ce soir, enfin c’est ce qui me fut dit par Freddy avec une certaine ironie dans la voix. Je me demandais ce qui put bien le faire rire, le rendre un tant soit peu amer vers moi. Je n’avais rien fait ni dit à son encontre, mais je le soupçonnais tout de même de jalousie envers Lucky. Alors qu'il savait très bien que l'on était le plus souvent ensemble tous deux, je lui avais souvent dit à Freddy que je l'aimais comme un frère. Il était devenu bizarre depuis le jour où je fus blessé et resté chez lui le temps de ma guérison. Cela m'ennuyé comme déconcerter de le savoir chagrin a mon encontre sans en avoir la connaissance de cette raison. Au bout de 10 minutes à poireauter dans la rue devant le bar, arrivé enfin Lucky, il était en retard comme d’une juste habitude, ce que lui fit savoir son frère. Aussitôt nous partions à pied jusqu'au domicile de son cousin, boulevard de Clichy à hauteur de la place blanche. Ca nous faisait une belle ballade, mais on s'en foutait vu que l’on avait le temps, et notre rencard était pour 21 heures, Lucky se mis à raller, il portait deux grands sacs contenant les cadeaux offerts par l'ensemble du clan. P114
**Je décidais de l’aidé à porter cette charge et ça fit sourire Freddy, je lui envoyais, un quoi bon c'est le sien d'anniversaire à Lucky et puis merde si tu trouves que j’ai l'air con, je m'en fous. J'avais acheté pour Lulu une chemise Cacharel en soie, je savais qu'il aimait bien ce tissu, afin de l'agacer j'avais glissé une photo totalement nue de moi dans la poche du jean que lui offrait Freddy. Arrivé à l'adresse, il y avait un monde fou devant la porte et ont avaient du mal, à entrer, jusqu'à ce que la tante de Lucky pousse ce beau monde et nous assignent une place. La soirée battait son plein, je me sentais fatigué de ma journée, j'avais surtout l’impression d'être plus faible depuis ma blessure. Je décidais d’aller dans le petit salon, et de m’allonger sur le sofa afin de me reposer un peu, à l'abri du bruit et de toutes les discussions familiales, dans cet endroit plus calme, je m’étais endormi. Sur le coup d'une heure du matin, Lucky se pointa seul dans le petit salon, la fête s’était terminée sans moi, et Lucky était à remballer ses cadeaux provisoirement posés là. Quant il me vu sur le sofa mon Lucky eut envie d'un autre cadeau à se mettre sous la dent. Je ne le savais pas, mais de l'autre côté la femme d’intérieur finissait de nettoyer et ranger, sa tante ses cousins étaient partis se coucher. P115
**Il se mit à déboutonné ma chemise doucement, puis s'était couché près de moi, collé a ma peau il glissa sa main dans mon pantalon, ce fut ce qui me réveilla, mais je le laissais faire sans rien dire. J'avais autant envie de lui que lui de moi, son côté bébé cœur me faisait fondre, surtout depuis qu’il c’était empalé sur mon objet sans mon accord. Je le sentais très hésitant, il n’osait plus prendre l’initiative par peur de ce fameux soir. Je levais ma tête bouche entrebâillée vers ses lèvres qui chaudement palpitaient aux désirs. Délicatement, je m’asseyais tout en le faisant glisser à ma place, et lui dévorais sa bouche tout en dégrafant et dégageant son pantalon et le reste pour lui faire l’amour. Je sentais son corps, sauter entre mes mains tant il aimait que je lui offre le plaisir de la chair dans cette pénétration. De toute façon, j'avais pris le parti de tout dévoilé à parrain, cela devenait nécessaire. Lucky et moi sommes partis chez lui, et en arrivant, il me fit entrer dans sa chambre pour que l'on y fasse plus évidemment. Juste après nos ébats sulfureux, il me dit alors que pour le lendemain, je devais venir à un autre rendez-vous anniversaire chez des cousins à lui. Je lui disais que j’étais de service à un déjeuner inaugural donner au palais de la Découverte, mais que j'y serais sans faute. P116
**Ce fameux jour, je suis donc allé à l'adresse indiquée, en passant j’avais récupéré Lucky avec son frère suivi des hommes de main de parrain qui pour la première fois nous accompagnaient un peu partout, sans que l’on ne sache la véritable raison. Mais je ressentais dans l’air comme un malaise, j’avais un peu peur que cela soit à cause du fait que j’avais fait l’amour avec Lucky. Ou alors serait-ce dû à la première attaque que j'avais subie quelques semaines avant près du café de Flore. Mais je me faisais une raison à cette peur en me disant qu'elle ne me menait à rien, sauf à bousiller cette soirée qui s’annonçait superbe. Lucky me prenait la main souvent et la relâchait quand son frère nous regardait, à chaque fois qu’il me serrait la main il faisait une pointe de pied pour atteindre ma bouche de la sienne. Lucky était plus petit de ses 1.65 m vers moi de mes 1.77 m, quant au poids nous avions le même, je n’avais pas souvent faim ni soif, ce qui m’était bizarre était que je buvais sans soif durant les nuits de java. J’avais du mal à être bourré, mais j’arrivais à être en état de gaité après seulement 4 ou 5 verres d’alcool, se qui tué ma timidité presque maladive, alors évidement j’étais tenter de me souler un peu pour me trouver mes soirées moins nulles. P117
Anniversaire mouvementé.
**Nous étions dans le quartier de la place Clichy, chez ses cousins avec les fils Alberti et Freddy à fêter l'anniversaire de Lucky, une fête plutôt chaude avec bébé qui voulait plus qu’un simple cadeau. Ce fut en sortant de la fête à deux heures du matin, en coupant par hasard dans la rue de Douai pour rejoindre la place Pigalle que nous sommes tombés en embuscade. Dans la rue plusieurs coups de feu furent tirés et nous nous étions tous baissés instinctivement. Plusieurs de mes amis s’étaient planqués derrière les quelques voitures stationnées, en comprenant que c’était nous qui étions effectivement visés. J’avais une sacrée peur et tétaniser sur le trottoir, tout en cherchant d’où cela pouvait venir. Quand le garde du corps d’Alberti, Edmond me balança une claque pour me stimuler. Putain il tape dure ce con, mais cela eut l’avantage de me faire comprendre que je me trouvais être une cible facile. Heureusement pour moi, car une seconde plus tard une balle venait se planter dans la porte cochère derrière moi. Ils en avaient vraiment après nous, ce n'était pas le fruit d’un hasard, Lucky n’ayant pas eu le temps de se coucher prit une balle perdue, peut-être pas d’ailleurs. P118
**Celle-ci lui ayant traversé le bras, il s'était évanoui en voyant son sang coulé, les cousins et gardes du corps des familles suivaient, ils furent surpris de cette attaque arrivée rapidement, ils sortirent leurs soufflants presque aussitôt. Puis, ils se mirent à canarder les mecs d'en face, et sous leurs couverts, Dominique et moi-même avions chargé le petit Lucky dans nos bras. Nous avons poussé la porte cochère derrière nous qui maintenant avait pris plusieurs balles, rapidement nous avons traversé une allée de pierre dans la cour. Et en pénétrant dans l'immeuble nous sommes montés dans les étages pour essayés de passé dans l'immeuble juste à côté, Lucky ne pèse probablement pas plus de 30 kg, mais arrivé en haut j'en avais plein les bottes. Francky nous montra un chemin en passant par les toits, deux bâtiments plus loin nous avions atteint une autre porte d’immeuble. Nous en ressortions sur une rue adjacente et ce fut-là que Freddy me suggéra de m'occuper de son petit frère, je le tenais dans mes bras engourdis par la fatigue. Cependant qu'eux-mêmes partaient prévenir Fiorini et Alberti de cette attaque. Je me retrouvais seul dans la rue, alors je hélais un taxi, mais quand il s’arrêta, il rechigna à me laisser monter avec mon blessé, alors je sortais de ma poche les quelques billets de 100fr que j’avais. P119
**Mais il grogna d’un je m’en fou ton fric, alors ne sachant pas comment le convaincre, je lui disais que c’était pour Maurice Fiorini, et le chauffeur du coup m’aida a chargé Lucky. Je lui demandais de me déposer rue Jouvenet chez parrain, mais il avait déjà compris arrivé à destination le fameux toubib du clan attendait déjà, il m’aida a le porté dans une des chambres à l’étage. Puis il lui fit les soins nécessaires, un peu plus tard il m’apprenait que la balle lui avait traversé le gras du bras, la blessure était superficielle. Le médecin me fit savoir en partant que le gamin pouvait avoir de la fièvre étant donné qu'il était assez fragile. Je pénétrais dans la chambre, ou petit chou était à dormir sur son lit, torse nu avec un pansement au bras droit. Je lui ôtais ses chaussures chaussette et pantalon, près à le recouvrir d’un drap, assis sur le bord du lit, je le matais. C’était fou ce que je le trouvais mignon ce petit, une vraie gueule d’ange, il me faisait envie, je lui retirais donc ce qui le fit du plus simple appareil et caressé son ventre, son sexe. Mais voilà qu'il se réveilla en pleurs, me faisant peur, Lucky tremblait comme une feuille, ça devait d'être le contrecoup. Lucky se serra contre moi, en me demandant de rester près de lui en m’offrant un baiser mouillé. Puis en se blottissant contre moi, il m’encercla le ventre de ses bras tendrement. P120 |