| 14 /12 ans, bafoués violés.**Florent d’une grande gentillesse, s'en trouva désolé pour moi, Thibaut en avait cure en me tirant à lui vers un des fauteuils afin de me faire une baveuse, il avait glissé sa main dans mon fute et commença sa masturbation, je me laissais faire en pensant à ce métis, que j’avais grave trouvé très, très mignon. Thibaut se mit entre mes jambes pour me lécher mon matos, j'avais du mal, puisqu'il ne m'avait pas laissé le temps de charger mes batteries. Et moi je suis toujours sur le visage de ce mec trop, trop beau, qui a exposé mes pensées à nue. Voyant que ma bébête ne se lever pas, Thibaud se résigna en me faisant une moue trop mignonne d’enfant gâté, et de moi un sourire contrit de ce manquement a ma soirée. Puis vint l'heure de la fermeture, nous attendions patiemment Joan pour partir tous ensemble. Mais en sortant de la boîte, ils ne savaient pas où finir ce début de matinée ! Florent et Thibaud me suggérèrent que je les emmène chez moi, afin de finir en beauté ce qui fut une soirée, par la même occasion de leur faire visiter mon studio, d’où je venais tout juste d’aménager. P391
** Ils avaient tous bien accepté le fait, que je fus resté plus que subjuguer par ce beau garçon, lui qui avait croisé mon regard. Je me sentais d’un seul coup amoureux sans savoir pourquoi je ressentais cet effet d’attirance. Enfin bref, pour ce qui était de mes amis c'était à mon avis plutôt l'occasion pour eux de se faire une matinée de coucherie, la perspective d'une partouze hard corps. Qu’ils viennent chez moi ne serait pas plus mal pour moi afin de tenter d’oublier ce super beau brun. Oublié une personne qui t’aurais mordu l’esprit c’est comme oublié de manger de marcher ou penser, un fait impossible quoi. *Demain, sera un autre jour, rien de nouveau dans cette phrase, de toute évidence. Mais le hasard vient souvent à votre secours sans que vous ne soyez prêt à jouer dans sa cour, et je me disais que ma vie ne ressembler en rien à celle d’autres vu les façons détournées des chemins qu'elle me faisait prendre. P392
Rencontre avec Florian.
**C'est un moment heureux à narrer pour moi, pourtant tout aussi difficile à pouvoir le faire comprendre aux autres. J’étais tombé amoureux fou d'un garçon, cela était pour le moins envers certains incongru. Avoir un véritable coup de foudre et qui ce fut réciproque, et pourtant ce bonheur m'est arrivé en retrouvant ce très beau mâle de 19 ans, 1.80 m 68 kg, des cheveux d'un noir corbeau mi- long aux yeux verts jade, la peau bronzée de la plus naturelle. Un corps et un visage sculpté comme celui de la statue du dieu apollon, l'ensemble doté d'une belle musculature avec un torse aux muscles saillants puissant, et doté d’abdominaux en tablette, finissant en V vers le pubis. Des cuisses longues fines, un dos offrant deux fesses rondes bombées le tout sur un corps imberbe mis à part ces parties génitales. J'avais eu le plaisir de ce regard vers lui, entièrement nu sur son lit pendant plusieurs nuits, moi allongé à ses côtés. N’était-il pas merveilleux d’avoir sous ses yeux son rêve immortalisé. P393
**Mais commençons par le tout début ! Nous nous sommes rencontrés dans une boîte à Enghien-les-Bains (le Golden-Club). Je venais pour dîner à une heure un peu tardive, et il ne s’y trouvait plus de place disponible, et Michael le videur ne savait pas combien de temps je devrais attendre pour être satisfait. Alors au bar en discutant avec le barman je me suis mis à attendre, et le hasard ! Ce sacré hasard qui arrive quand vous ne vous y attendez pas le moins du monde. Ce fut Florian, qui en me voyant seul, et m’ayant reconnu, mais pas intimidé m’aborda. Assis sur le tabouret de bar je lui tournais le dos, quand il me fit cette proposition de partage de table. Quand je me suis tourné en levant mes yeux sur la personne qui me proposait se partage, mon étonnement fut des plus grands. Je venais de retrouver le super beau rêve dû (safari club), mon corps fut parsemé de frissons. J’étais subjugué de voir un mâle avec autant de finesse et beauté, on aurait pu penser à une fille changée en garçon, mis à part sa visible proéminence sous la ceinture, alors mon envie fut grande devant toute cette sensualité. P394
**J’étais déjà amoureux de cette icône mâle et j’avais des pulsions tellement puissantes que ma première pensée était de vouloir l'embrasser sur la bouche, je me suis mis à triquer comme de ma première fois, transie du désir qu'il m’envoie. Cette envie que j'avais de lui dut se voir, car il me déshabilla de bas en haut de son regard vert jade, d’où je m’y noyais bien paisiblement. Il me gratifia de son plus superbe sourire, et moi je restais inerte, hypnotisé sur son visage, d'où ces dents blanches comme de la neige contrastaient avec son teint hâlé, le tout étant cerné d'une bouche fine et légèrement pulpeuse. Ces lèvres sont d'un rose foncé, cela me fit fondre quand il passe sa langue à leurs contours. Aussitôt, je me suis mis à rougir comme l’enfant que j’avais été, lors de ma première rencontre avec ma petite Josette. Ce soir-là, il est en pantalon en soie bleu pétrole, une chemisette de soie beige et mocassin beige, et moi j’étais habillé d'une chemisette noire cintrée et ouverte sur le torse, un pantalon blanc en alpaga et chaussé de Weston mocassin blanc et un borsalino. P395
**Je me sentais bête devant lui et je n'arrivais pas à prononcer un seul mot, de la sueur perlée déjà sur mon front. Alors, quand Florian posa sa main sur mon épaule, un courant électrique vint à me parcourir le long de mon corps. Ce fut juste à ce moment-là qu'il approcha son visage du mien, si prêt, que j'avais eu envie de lui mordre ces lippes. Il m'invita alors à prendre place à ses côtés, mais pour pouvoir y déambuler, les tables étant bien trop serrées par manque de place, je me devais de passer devant lui, en me collant à son corps. Je m’engageais donc timidement, et quand nous nous trouvâmes face à face, nos corps ne purent que se toucher de ce fait inévitable. Chacun de nous ayant une trique due au frottement de nos corps, nous étions obligées d'en apprécier la dureté. Ceci ce faisant nous nous mimes alors à éclater de rire, en pensant à ce moment inhabituel, j’étais à fondre comme de la neige devant se rire chaud empreint de légèreté. Mon gloussement était plus calculé à cause de ma grande timidité, mais je lui offrais mon plus charmant sourire, en balbutiant un merci pour ce partage de table. P396
**Nous nous sommes installés un peu gauchement tout en commandant un apéritif pour fêter nos retrouvailles, qui n’en était pas forcément un, mais pour nous ça l'était devenu, en échangeant simplement nos prénoms. Ensuite, il décida de passer notre commande, je l'entendais comme si cela était hier encore énumérer les plats un par un, du saumon fumé, une côte de bœuf pour deux, une salade verte, pour le dessert une omelette norvégienne pour deux. Il se tourna vers moi, me demandant à choisir le vin, n'étant lui-même pas très connaisseur de ce breuvage, l'appréciant tout de même. Je lui demandais ces préférences en vin de bordeaux, en lui proposant un Haut-Brion 1962, pour finir nous avions décidé d'un café irlandais (irish-coffee). Le repas se passa dans un silence presque total, mis à part les quelques mercis de convenance, ou un petit mot sur l’approbation du repas et au choix du nectar que nous dégustions avec plaisir. Je n'arrivais pas à évincer cette timidité maladive, lui de temps à autre me regarder avec un sourire complaisant, me demandant si ce repas me convenait. P397
**Le vin aidant a embué ma timidité, petit à petit je prenais cette assurance alcoolique, doucement je me débridais, mais parler trop vite, tant je croyais que mes phrases se perdraient avant de sortir de mes pensées. Presque sur la fin de ce repas, il se tourna vers moi et langoureusement m'embrassa sur la bouche, tout en posant sa main en mon entre-jambes. Je me mis à faire le tour des tables du regard afin de voir si l'on ne nous avait pas aperçues. Je lui faisais savoir avec des mots gentils que notre condition d'homme aux amours différents ne serait pas bien vue dans cette boite. Il s'en excusa, sans pour autant s'en offusquer, dessous la table, je lui retournais ce compliment en caressant assez longtemps son bel objet. Il se mit à rire et fit de même, glissant sa main dans mon pantalon, puis, il demanda la note. Mais, au moment de payer, il refusa que l’on partage les frais de ce diner. Je me sentais gêné, n'ayant pas cette habitude au voisinage de mes relations. Mais il se refusa à tout compromis, pour parfaire la soirée, j'avais insisté pour commander une bouteille de champagne. P398
**Il la refusa n'étant pas adepte de ce liquide, il ne me restait donc plus qu’à essayer de le piéger durant la soirée. Nous avions passé commande de coca et d'une bouteille de bourbon, que j'avais réussi à payer d’une feinte, grâce à Tonio le barman, qui était une de mes connaissances Corse. La soirée, allez sur sa fin et nous discutions de sujets divers, il était très instruit, appréciant les arts en général et autres conversations moins sujettes à l'instruction. À nos conversations, je m'entendais en mon intérieur remercier l'époque ou je travaillais au Musée du Louvre. La nuit allée mourir et j’avais allégrement amorcé mon ivresse, Florian était malgré tout plus entreprenant que moi, ce qui facilita notre rapprochement. Chaque fois que l’on s’arrêtait de danser, on s’asseyait sur une banquette au fond de la boite, et là il me caresser le corps jusqu’aux plus intimes de mon être. J'avais constamment la trique, pour lui cela en fut exactement pareil, vu que je le tripotais d’une grande ferveur. Puis nous sommes partis, il m’invita à le suivre chez lui à Enghien, il possédait un appartement vers le casino. P399
**Je les suivis sans me faire prier, l’alcool ou pas m’aidant ou me servant simplement d’une excuse, il n’habitait pas très loin de la boîte d’où nous sortions, le trajet nous l’avons fait à pied afin de nous dessouler un peu. Nous allions bon chemin en nous chahutant comme des adolescents amoureux, puis en arrivant à son adresse, il me laissa entrer le premier dans son appartement. Puis il referma doucement la porte, quand se retournant vers moi, il prit mon visage entre ces mains et m'embrassa. Il venait de prendre possession de mon esprit épris et de ma bouche avec une grande tendresse, forçant l'entrée de mes lèvres avec sa langue pour y jouer avec la mienne. Ce moment, et Moi je l’attendais depuis le début de notre rencontre de façon empressé, car en boîte nous devions faire très attention, afin de ne pas nous faire repérer par le propriétaire. Je connaissais bien Valmiera, un mafieux lié à de fortes connaissances, et dont mes parrains en faisaient l’objet, je savais de source sûre qu'il n'était pas des plus ouverts à d'autres mœurs, faisant partie de l'école des brutes, un super macho. P400
**Mon Florian s’en trouvait aussi pressé que moi, ses mains caressaient mon cou, allant le long de mon corps le palpant, le triturant avec légèreté et grande douceur. Tous ces gestes avaient une très précise fonctionnalité, l'efficacité de m’ôter mes fringues au fur à mesure que ses mains glissaient sur ma silhouette. Ma chemise était déjà sur le sol, ma ceinture fut dégrafée aussi vite que mes boutons de pantalons avaient sauté, ses mains ne cessaient de caresser mes fesses et l'objet de sa convoitise. Puis il s'arrêta net se focalisant sur mon torse le léchant, mordillant mes tétons puis s'attaque à mon ventre, qu'il léchait avec délices faisant le tour de mon nombril. Puis il descendit doucement ma braguette, mon fute glissa au sol, il saisissait mon sexe de sa bouche, commençant à le sucer comme on lèche un cornet de glace. Ces cheveux fins mi- longs me caressaient le ventre à chaque mouvement de sa tête, ce qui m’excitait encore plus, j’étais au bord d’une belle apoplexie ! Il arrêta cette buccale pour me malaxait le matos et mon pénis devint d'une dureté extrême a cette manipulation sur mon corps. P401
**Je commençais à avoir une remontée de liquide, alors je me décidais moi aussi à lui prodiguer le même jeu, afin de freiner mon envie. J’en ôtais sa chemise et ceinture, caressant sa poitrine, son ventre et bas-ventre en le léchant, le mordillant. Tout son corps vibré d’une sensualité exacerbée, il ahanait, se cabré de plaisir. Je me déterminais donc à faire glisser sa braguette, d'où son sexe de 20 cm apparut comme un diablotin de sa boîte, me montrant un gland pourpre gonflé à bloc prêt a explosé. Je continuais à le caresser et saisissant sa bourse dans ma main d'où elle débordait tant il est bien foutu. Nous fument tous deux nus sur le lit en position de 69, et nos mains expertisaient le galbe de nos formes, je ressentais son souffle chaud sur mon corps, tout comme ses morsures subtiles au bas du sexe. Il m’introduit sa langue dans l’anus, puis y glissa un doigt qui en masturba l’intérieur de mon corps avec lenteur. J'entendais fortement sa respiration dû à l'excitation, quand de mon côté, j'essayais de lui rendent les mêmes plaisirs. Ma bouche se promenait autour de sa touffe de poil pubien noir et dru. P402
**Sortant de cette touffe comme un geyser de chair, son sexe vibré, j’en visitais ses deux sœurs imberbes asexuées, j’étais le poursuivant de ses mêmes gestes qu’il me prodiguait avec largesse. Sa peau me donnait son goût sucré, et son corps remplissait mon nez de ses odeurs d'hormone en fusion parfumée au lotus. Alors, quand je me suis attaqué à son œillet rose et humide, son corps se vrilla, il en écarta ces jambes encore plus, comme pour une demande expresse. Je glissais en son intérieur ma langue, et de séquence à suivre un doigt, puis deux ne tentant pas le troisième. Je lui caressais avec énergie, sexe et balloches, ses halètements de plaisir devinrent plus forts et fréquents. Je léchais son corps qui avait la douce saveur d'un pétale de rose, presque qu’autant que celui d'une femme. Sa peau avait un petit goût de miel vanillé jusqu'à ces attraits sexuels, et moi j’étais pris dans cette tourmente, je ne contrôle rien de mon désir d’être à lui. Ce fut la seconde fois que je me déversais dans sa bouche, du fait qu’il titillait ma rosace avec un doigt expert, je me demandais, quant il allait m’évaser. P403
**J’avais toujours autant envie de me fondre en lui, m'a pensée était à le pénétré au profond de son être, tout comme je désirais qu’il me pénètre lui aussi. De cette danse d'amour, je m'inquiétais de ne pas savoir s'il appréciait ou pas les caresses que je lui promulguais depuis une heure. Et lui par contre ne s’était toujours pas déversé ni dans ma bouche ni dans ma main. Il y avait juste un petit ruissellement de plaisir qui apparaissait, tant il savait se contrôler, je l'entendais déglutir. Puis il me murmura de sa voix la plus liquoreuse possible, Il est bon et sucré ton miel mon cœur, voudrais-tu pénétrais mon corps de ton pieu de chair amour de qui sera pour moi une divine blessure). C’était la phrase que j’attendais consciemment, tant mon envie se faisait d’être en fusion avec sa vie. *Maintenant, nous sommes face à face, nos peaux se frottaient l’une contre l’autre avec fougue, et inlassablement il continua à embrasser ma bouche de sa volcanique essence, puis alla mordillant tous les partis de mon corps de façon urgente. Puis il s'asseyait sur mon ventre et coincer mon sexe entre ces jolies fesses. P404
**C’était comme un appel à notre fusion, tout à chauffer mon sexe par des mouvements de frottement du gland sur son anus, changeant de position par intervalle, il fit pénétrait mon obus dans son trou. Et il le ressortait, et recommencé jusqu'à ce qu'il ne puisse plus vouloir se contenir, et l’enfonça au plus profond de lui-même avec un râle de plaisir non contenu. Mon sexe gonflé d'un plaisir extrême était prêt à exploser quand, il pénètre dans ce fourreau de velours en feu. Mon cerveau était dans le même état à ce mariage, Florian brûlant de cette longue attente se tordait se vrillé une seconde fois d’un plaisir extrême en me mordant la poitrine. Ces yeux étaient comme révulsés tant il arrivait au summum de son plaisir en m'offrant le mien, il continua en me mordant les lèvres et le lobe de l'oreille. Je ne n’étais plus du tout connecté à la réalité de ce monde, j’avais ma drogue par son corps complètement chargé d’hormones. J’étais en pleine extase en épousant sa silhouette je me trouvais surchargé par toute cette adrénaline sexuelle, et d’un seul coup je parvenais a aimé ma vie. P405
**Et de ce sublime corps-à-corps, comme un voluptueux adolescent, moi le descendant d'un enfant, j'apprenais, oui j’apprenais comment on meurt d'un acte d'amour par amour. J'avais eu souvent cette envie refoulée d'être pris ! Mais pas comme ce jour avec Florian, tant et si bien que je me suis retrouvé assis sur ce ventre d’amour. Je prenais son sexe de 20 cm très épais et raide dans ma main, commençant à le frotter sur mon anus. Tout doucement, je le glissais vers mon intérieur, il me paraissait énorme, et j'avais vraiment cette envie de ressentir Florian dans mon moi. Mais à l'instant où j’allais me forcer crument, mon bébé m'arrêta, et tendant sa main vers la table de chevet, il attrapa un tube de lubrifiant, il en déposa sur ces doigts, l’étalant autour et à l'intérieur de mon passage. Il s’était souvenu de ma peur engrangée de ces horribles viols successifs que je lui avais expliqués durant notre diner. Je m’étais ressentis si bien en sa compagnie que je lui avais un peu contée mon histoire, mais je ne pensais pas qu’il m’eut écouté avec une attention aussi particulière. P406
**Son sexe de velours pénétra mon intérieur, sans trop de mal, comme si mon entrée s'évasa de complaisance à le savoir ce faire amoureusement. J'embrassais et mordillaient ces lèvres de satin, jusqu'à la fin de nos ébats. Nous avons fini par nous endormir blottis l'un contre l'autre, jusqu'au petit matin. Au réveil, nous sommes tous les deux avec une super trique, ce qui nous incita à refaire l'amour aussi savamment que la veille avec autant de plaisir. Je comprenais ce matin-là que Florian était plus enclin à se positionner en tant que fille dans nos ébats amoureux, ce qui me convenait bien. J’appréciais modérément les pénétrations anales depuis que l’on m’avait violé, sauf avec lui, l’aimant d’un amour fou, c’était moi qui insistais pour qu’il me le fasse. Mais avant quand cela se produisait avec d'autres amants, c’était que je me trouvais dans un tourbillon de plaisir extrême, et me laissais emporter par mon envie. Notre belle rencontre va durer huit mois et trois semaines, entrecoupé par les circonstances que la vie nous imposa, j’étais tombé éperdument amoureux de ce mec trop, trop parfait. P407
**J’avais enfin sur ma vie un peu de bonheur avec un garçon trop beau, trop sexe et pour ne rien gâcher d’une grande patience, et d’une gentillesse hors norme. J’étais devenu dingue de ce mec, je savais ce jour, ce que voulait dire aimer d'amour. J’aimais et les autres personnes ne mettaient plus qu'invisibles, je n'arrivais pas à lui percevoir un défaut, et si jamais cela en était un pour certains, je pensais qu'il avait une qualité supplémentaire au regard des autres. Séparée de lui devenait une douleur morale et physique, quant je le retrouvais le soir après une journée, ce jour m’était semblé long. Ces chagrins étaient devenus les miens, et quand il souriait, je souriais et si par détresse, il pleurait, je pleurais aussi. Ses yeux étaient la lumière de mon âme, il venait clarifier dans mon cœur mes idées noires, il était pour moi comme une seconde peau, la continuité de ma vie. Il était l'air que je respirais, la douleur et l’apaisement de mes pensées à le savoir si loin. Nos nuits furent intemporelles, charnelles fusionnelles, il était moi comme j’étais devenu lui dans nos journées à en vouloir vivre de son amour. P408
**Quant dans la rue je croisais des garçons et qu’ils le mataient d’une façon envieuse, je les maudissais de ce regard de mâle, ou ceux qui le touchaient de malveillances, comme celles qui osaient ce regard de femelles, je mettais de mon fait persuader que ceux qui ne sont pas lui ne seraient jamais ce que nous sommes. J'étais de nouveau devenu ce garçon qui a le mal d'aimé à ce qu'il aime, c'était se mal d'être de mes vains saignements du cœur, inconditionnelle douleur que j'avais d'aimer les gens que j'aime. C’était mon tourment de ceux qui n’assument pas mon désir du partage d’amour. Amour et partage sont deux mots qui étaient les miens, comme vicissitudes et trahisons étaient de mes chagrins, ces deux mots qui sont souvent les leurs qui me faisaient peur. Alors, finalement en ayant trouvé l'amour, j'avais surement parrainé un futur chagrin comme deux frères qui étaient à créé ce tourment. Sans les caresses, tout cela ne devenait que tendresse, l’amour peut être aussi une cruauté de l’esprit, ce sentiment devient un bourreau, vous en laissant être le seul garant de cette souffrance. P409
**Mon esprit restait sous le joug infernal d'une éternelle insuffisance, celui qui a donné et n'a rien reçu depuis des années. Sauf où ce jour béni Florian avait déposé sur mon cœur sa fleur à peine éclose, en essayant de faire exhaler mon propre parfum. Je n’avais encore jamais traversé des mois avec autant de bonheur ! Ma vie trouvait une route autrement différente que celle tracée jusqu'à présent par des hommes perfides. Je pouvais enfin tenter de repousser les douleurs et les vils aspects de mon histoire vers un précipice. Mais aurais-je le temps de me hasarder un tant soit peu à oublier tout ce qui fut dans ma vie tout aussi négative. Pendant un temps, je voyais de moins en moins souvent parrain et ses fils, puis un jour il se chargea de bien me le faire savoir par Francky et Doumé. J'avais de cet amour extrême fait faux bond aux milieux corses, sans en donner d'explication à mon silence. Un soir tard sortant d’où je travaillais, mes parrains m'envoyèrent le Pierrot, un des bras droits du clan, et il m’avait remonté les bretelles et aussi expliqué que je me devais a plus de devoirs auprès d’eux. P410
**Il ne me restait plus qu'à m'excuser auprès de mes parrains en cherchant un fiable mensonge, et celui-ci fut sur ma recherche de travail, hors de Paris. Je n’avais pas l’intention de les oublier, mais quand on devient amoureux, les jours passent sans que l’on s’en rende bien compte. Ce qui fit que par la suite, je fus obligé de divulguer à Florian mes accointances avec le milieu. Je l'avais présenté aux fils des parrains comme étant lui-même le fils d'un de mes oncles, tout ceci afin d'éviter toute ambiguïté et question qui pouvaient s'aventurer être gênantes. Nous nous sommes donc trouvés tous deux invités assez fréquemment chez mon parrain Fiorini. Ce qui amena Freddy et Lucky à devenir un peu jaloux de Florian, qui se trouver toujours avec moi. Le plus vindicatif à l'égard de Florian, fut de bien entendu Lucky, qui restait amoureux de moi, et à qui j'avais fait la promesse qu'un jour je lui donnerais cet acte d'amour au masculin. Bon c’est vrai que j’aurais aimé faire l’amour a Lucky, mais ma vie était avec Florian je l’aimais plus que ma vie, j’étais près avec autant de volonté à mourir pour lui. P411
Cœur déchiré.
**Un soir nous retrouvant comme d’habitude avec un plaisir non caché et réciproque. Il m'annonça que son père l'envoyait en Argentine, l'Amérique du Sud, son pays d'origine, quoique lui soit né en France, ceci afin d'aider son oncle associé à la gestion de sa société d'import-export situé à Buenos Aires. Cette nouvelle me fit l'effet d'une incontrôlable catastrophe, une bombe venait de tomber sur mon joli parterre de fleurs. J’avais beaucoup de mal à me voir et m’imaginer sans lui, comme le disait, si bien Blaise pascal <le cœur à ses raisons, ce que la raison ignore>, j’en recevais à cet instant le plus horrible témoignage. Mon cœur frappait trop vite, mon esprit commençait déjà à explorer le pire du pire. Et à fur à mesure de cette terrible explication, des larmes froides finissaient par m'envahir, il avait encore les yeux fixés au sol, en ayant remarqué ma douleur, mais il continuait de me parler, puis il en vint à me couvrir de baisers plus doux les uns que les autres afin de casser mon chagrin. P412
**Mais ce furent ses tremblements vocaux tout aussi atroces durant cet exposé qui me firent le plus mal. Lui non plus ne cachait en rien de douces larmes, ses iris verts venaient à ressemblaient à deux petits lagons soudainement envahis par une vague cyclonique. Cette obligation parentale, lui était un choix inévitable est imposé, où il parait où ses parents lui coupé les vives. Il tenta de me faire l'amour, sans vraiment chercher à le faire, j'avais l'esprit noyé dans mon chagrin de cette nouvelle. Nous avons parlé une grande partie de la nuit, plus à pleurer qu’autres mots, puis à bout d'argumentation diverse et sans solutions à notre avenir, nous nous sommes endormis lovés l'un contre l'autre. Dans la nuit, nous nous sommes caressées souvent, puis nous avons fait l’acte en espérant ainsi avoir moins de douleurs, jusqu'à ce petit matin devenu chagrin. Cette journée me parut la plus fade et longue depuis que l'on était ensemble, à mon travail tout le monde remarqua ma grande tristesse. Mais la seule explication que j’avais pu leur fournir afin de ne pas divulguer ma préférence et cet amour mâle. P413
**Elle fut que j’étais à perdre un être cher, ce qui à mon avis n'était pas un véritable mensonge, vu que mon chéri aller partir loin de moi. Et nos âmes déchirées furent des dernières semaines toutes pleines de surprises, tant apportées par l'un où l'autre, on essayait de remplir notre vie plus qu'il ne le fallait de nos rencontres, dans l’attente si amère de son départ. On n'arrêtait pas de faire l'amour le matin avant le boulot, le midi, on avait juste 30 minutes, ce furent des câlins à n'en plus finir. L'après-midi de 15 h à 18 h, il s'arrangeait le soir après ses études à me rejoindre sans que son père ne le sache, souvent je rentrais tard, du fait de mon métier. Alors en entrant dans la chambre, je me couchais sans bruit dans ce lit chauffé par son corps, ce corps nu que je trouvais si parfait, et chaque fois que je levais les draps, mon regard restait sur le détaille de sa beauté irréprochable et la nuit tirait déjà à sa fin. Je savais aujourd’hui qu’il était bien agréable de rêver quand on avait l’objet de ces fantasmes sous les yeux, et doucement, je construisais mon âme à la contemplation de son corps. P414
**Je regardais ses muscles jouant sous sa peau, puis je m’endormais, dans la nuit, il me réveillait pour que l'on fasse l'amour, et pour me stimuler, il commençait par me lécher le corps tel une glace, tout en m'embrassant sur les lèvres aussi souvent qu'il le put. Moi, je faisais exprès de ne pas me réveiller tout de suite afin de faire durer son plaisir, bien entendu, il finissait par attaquer le plus bas de mon corps, en mordant mon sexe doucement. J'ouvrais mes paupières lentement, afin que ses yeux vert-émeraude en brûlent les miens verts pâle. Je sentais ses mains me saisir la taille, remonter vers mes pectoraux, puis très langoureusement ils les massaient. Sa bouche sur mon cou m'embrassait tendrement, je ressentais son érection collée sur mon ventre, sa bouche collée sur la mienne d'où sa langue jouée avec la mienne. Mon sexe était au plus fort des désirs, mais il eut tôt fait de remédier à mon problème. Il vint doucement embrassait le bout de ma verge pleine de sève qui pointait fièrement vers le ciel, ses lèvres douces c’étaient posées sur mon gland et m'envoyèrent des ondes de chaleur. P415
**Elles furent si intenses que je les avais ressentis jusque dans le bout de mes doigts, je sentais ses mains fermes pétrir mes muscles, et ne voulais plus rien d'autre, je ne pensais plus à rien d'autre qu'à lui et moi unis pour la vie. Sa bouche se posa sur mon gland carmin de désir, il me lécha de sa langue satinée qui s'attarda sur la fente de mon gland, et quand il l’avala, des ondes électriques de plaisir partirent de la base de ma queue pour se propager sur tout mon corps, et langoureusement sa main caressa mes jumelles qui pendaient. Une de mes mains glissa vers la fente de ces fesses, s'insérant sur son anus, tandis que l’autre caressait son ventre plat et la base de sa queue. Il se retourna de façon à ce qu'il soit dos à moi, et quand il sentit cette bosse dans son dos, il me dit, pénètre-moi mon cœur en continuant de me caresser, j'adore comme ta main bouge, et je veux sentir ta queue en moi. Ces mots achevèrent de gonfler mon pénis que je poussai en son étroit tunnel, avec force, ma queue entra lentement se faire caressé par les parois étroites de son corps bouillant de son état. P416
**Florian se repoussa plus fort cette fois sur l'arrière pour que j'aille plus en lui encore, ma main s'activait sur son pieu, quand je le sentis se contracter, je sus alors qu'il allait jouir, car ses halètements devenaient de plus en plus rapides. Il poussa un gémissement aussi doux que délicieux et il expulsa son sperme en longs jets fluides, je me retirais et lui léchait sa belle queue de la base au sommet, suivant les veines apparentes qui s'y trouvaient et j'avalais sa vie avec délectation, il était en moi. Juste après cette communion, il me parla de choses tendres et moi, je ne me lassais pas de l'écouter me raconter sa journée anodine, une discussion qui dura encore plusieurs minutes. Nous nous sommes endormis calmes et assouvis, sans refaire l'amour, mais en dormant dans les bras l'un de l'autre, nous étions lové comme deux bébés afin de nous communiquer le plus d'amour possible, avant d'en acquérir ce futur chagrin. Ce matin-là ne travaillant pas, ce fut moi qui lui apportai son café et croissant, et vers neuf heures il décida d'appeler son père pour lui dire qu'il ne se sentait pas bien. P417
**Quelques semaines passèrent, on ne pensait plus trop à son départ, nos journées se faisaient uniquement de plaisir et de promenades, tard dans la nuit nous parlions de ce que pourrait être l’avenir, et l’on refaisait le monde à notre façon. Un monde sans obligations où l'amour serait une priorité absolue, et l'on pourrait vivre pour vivre notre passion, sans chercher à savoir si tu peux aimer un mec ou pas. Je l'aime tant, mon Florian, il me redonnait avec autant de puissance l'amour que moi je lui concédais. Ce seul garçon qui a su retirer les douleurs que j’avais engrangées depuis trop longtemps, tout simplement en m’aimant. Quelques jours plus tard, l’instant fatidique nous arriva dessus, il fallait que l’on se rende à cette horrible évidence. Ce fade matin, Florian vint me réveiller afin que je l’aide à préparer ses bagages, et puis les chargés dans le taxi qui devait nous mener à l’aéroport. Et durant ce parcours nos pensées étaient aussi noires que ce véhicule qui nous emmenait, le silence fut le seul maître de ce lieu transport, bien que l'on fut à se faire des bises à chaque mètre qui défilé. P418
**Nous n’avions rien pour arrêter ce temps qui passé sur notre vie, la brisant du même coup, nous sommes tous les deux maintenant dans l’aéroport d’Orly, malheureusement moi je reste, et lui part définitivement ! N'ayant pour l'heure aucun moyen de le suivre pas plus que l'obligé à rester sans anéantir sa vie. Je me retrouvais à la porte d'embarquement sans trop comprendre, comment j'y étais parvenu ! Je me trouvais dans cette allée à pleurer comme un bébé, et rien ne put adoucir cette peine gigantesque qui me paralyser l’esprit. Pas même ce merveilleux sourire fabriquer à la hâte par Florian, car sur ces joues deux perles vertes brillaient et coulés sur ces lèvres roses qui venait à mourir sur les miennes sèche comme un désert sans nom. Je me sentais déchiré, laminé par une détresse immense, une profonde mortelle tristesse. Ont s’embrassaient fortement, le tout chargé de notre émotive amour, puis il prit la direction de ce couloir, et moi je l’accompagnais du regard jusqu’à ne plus du tout l’apercevoir. Je suis resté planté là devant cette porte, comme un petit arbre sans sa forêt. P419
**Je me retrouvais seul avec toute ma peine et cette douleur qui me prit l’estomac, et au bout d’un moment je me sentais mal, j’avais comme des mouches devant les yeux, la tête me tourna et ce jusqu'à ce trou noir. Ce ne fut qu’une fraîcheur sur le visage, suivie d’une voix lointaine féminine qui me fit savoir que je revenais à la surface. Quand j’ouvris les yeux, je me trouvais fortement étonné d’être simplement tombé dans les vapes et une personne m’épongeait le front. En reprenant mes esprits, je sentais cette forte odeur d’éther qui me fit comprendre que j’étais assurément à l’infirmerie de l’aéroport. Je devais certainement me trouver encore dans mes rêves, car la vision de cette jeune femme très belle me paraissait comme hors du temps. Puis je constatais que c'était une hôtesse de l'air, ce que me démontra son costume. Elle était penchée sur mon visage, et m'expliqué d’une voix douce ce qui m'était arrivé, elle avait un sourire à faire mourir les anges. Et dans ce même intervalle, je me levais et en venais à remercier l’infirmière qui me donna un cachet x qui devait me redonner de l’énergie. P420
**Ensuite, vu que j’allais mieux je me levais en titubant légèrement, puis nous sommes sorties de l’infirmerie. Elle proposa de me raccompagner à l'extérieur de l'aéroport, je fus étonné, mais comment dire non à un ange qui passe devant vos yeux, en vous offrant un regain de lumière. Je lui mentais gentiment à ce qui venait de ce produire, dût en grande partie au départ de Florian. Et lui disait que je n’avais pas alimenté mon corps, et ce depuis hier midi, que la fatigue aidant, je me suis trouvé en état de faiblesse. J’ajoutais, que j’avais au moins le plaisir de sa rencontre, et on s’est mis à discuter. La charmante demoiselle m’offrit son prénom (Natacha) qui a mes oreilles raisonnées slaves, et quand dans la discussion, je lui donnais le mien (Sergio), elle fut ravie à cette consonance italienne. Je lui faisais remarqué aussitôt qu'il se trouvait être corse de même prononciation, sur ce nous nous sommes dirigés vers la grande halle où ce faisait les départs. Furtivement je lançais un dernier regard vers la porte d'embarquement, elle qui m’avais laissé dans la bouche et le cœur le goût amer du départ de Florian. P421
**Tout en marchant, on se retrouva devant un des bars de l’aéroport, et nous décidâmes de prendre notre petit-déjeuner à la Française, café crème et croissants chauds. Durant cette matinée, nous nous sommes confiées, moi lui donnant mon faux âge ! Mais à ses yeux, je voyais qu'elle ne me crut pas et par chance, je parvins à deviner le sien 20 ans. Sur cet élan de partage, j’osai tout de même lui pendre la main qu'elle me tendait, et moi ne la refusant pas, car je n'avais qu'une envie en celle de ressentir un peu de chaleur humaine, car ma vie semblait avoir pris fin dans cet aéroport. Elle n'habitait pas très loin d'Orly, et ensemble nous avons donc pris la navette, pour sortir de ce lieu qui me faisait penser à un banal territoire sans joie. Arrivés à la dernière station, nous avons fait le reste du chemin à pied vers son habitation, et toujours en discutant d’un pas lent. Sans nous en rendre compte, nous étions à dépasser le petit immeuble résidentiel où elle logeait. Elle avait au 3é étage un appartement de trois pièces, qu’elle louait avec une copine qui faisait le même métier qu’elle et sur la même ligne. P422
**Celle-ci nous attendait devant l'entrée, elle était tout aussi belle, d'un style différent et ce nommé Catherina, il était déjà 8 h, quand on se quitta au pied du bâtiment, mon travail débutait à 9 h. Je devais prendre congé, sinon j’allais être en retard, chacun nota l'adresse de l'autre, tout en se promettant a l’occasion de se revoir. Je ne savais pas qu’elle allait entrer dans ma vie d’une façon bizarre, mais de son fait elle m’apporterait du réconfort et de la détresse. Je me souvenais à cet instant ce que m’avait dit le psy de Lucky quant il affirmait que l’on était maître de son destin, qu’elle pauvre con celui-là que je me disais intérieurement. Il ni à pas de possibilité à être maître de son destin puisqu’il n’est pas encore vécu, et que l’on ne peut pas retourner en arrière le changer, ne serais-ce qu’un peu. P423
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