Poésie de Cupidon.

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Moi 12 ans et mes doutes. (1)

Moi 12 ans et mes doutes. (2)

Moi 12 ans et mes doutes. (3)

Moi 12 ans et mes doutes (4)

16 ans de doutes et de larmes.

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1 / 12 ans, bafoués violés.

2 / 12 ans, bafoués violés.

3 /12 ans, bafoués violés

4 /12 ans, bafoués violés.

5 /12 ans, bafoués violés.

6 /12 ans, bafoués violés.

7 /12 ans, bafoués violés.

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10 /12 ans, bafoués violés.

11 /12 ans, bafoués violés.

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13 /12 ans, bafoués violés.

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2e livre/ 1 Une enfance aux conséquences dévastatrices.

2e livre/ 2 Une enfance aux conséquences dévastatrices.

2e livre/ 3 une enfance aux conséquences dévastatrices.

2e livre/ 4 une enfance aux conséquences dévastatrices.

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| 12 /12 ans, bafoués violés.

**Arriver, à sa porte je sonnais, rien ne bouger a l’intérieur, je m’impatientais, ayant horreur d’être en retard, puis la porte s’ouvrit. Je me trouvais en face d'un jeune beau mâle qui se frottait ses yeux noirs encore mi-clos. Ses cheveux bruns et longs habillés ses épaules nues, en pantalon de pyjama d'où se dessiner une virilité matinale très chaude. Je le matais en souriant, il était encore dans un demi-sommeil, et il ne se souciait pas de mon rictus. Par contre, moi j'avais mes petites hormones en ébullition de le voir dans cet état érectile. La semaine se passa paisiblement, et je ne le voyais plus, ni ne pensais à lui d’ailleurs. Puis un matin à sept heures, je me suis retrouvé une fois de plus obliger de frappé à la porte de mon compagnon, vu qu’il n’était pas à m’attendre comme à son habitude !

Je ne me rendais pas compte que j’étais entré dans un tourbillon sexuel pas très compliqué, mais dés plus hardes. Je m’engageais sérieusement aussi dans les milieux corses, grâce aux fils de mes parrains, j’en étais conscient et cela me convenait bien pour le moment. P331

 

Rencontre avec Thibaud.

 

**Celle-ci s’ouvrit et devant moi apparut le jeune garçon brun, cheveu plus court, les yeux toujours aussi noirs, il avait probablement mon âge. Mais cette fois-ci, il se trouvait être en slip avec une trique matinale de première. Je m’étais figé tout à détailler son corps de bas jusqu’en haut en lui souriant, sourire qu'il me renvoya. Son oncle lui dit alors de me faire entrer, il me prit la main et me tira à l'intérieur, et son geste fut un peu fort. Cela me déséquilibra, je plaçais ma main en avant instinctivement afin de ne pas perdre pied,  tout en la posant sur son torse, mon corps s’appuyait au sien, touchant son appendice en chaleur. Je me décollais aussitôt pour ne pas le gêner, mais il me retint vivement, déposant un baiser fougueux sur ma bouche, comme s'il avait deviné qu'il me plaisait. Puis saisissant ma main, il la glissa dans son slip, et là je suis scié, la bête chaude paraît importante, je retirais ma main à l'instant même où son oncle apparaissait, nous sommes prêts à partir et son oncle passe devant moi. P332

 

**Il descendait déjà les marches, un peu avant que je sorte, je le suivais, mais en passant son neveu me saisit le bras, me tira vers lui pour la seconde fois, et m'embrassa sur la bouche tout en glissant sa main sur mon phallus. À plus tard Sergio, moi c’est Thibaud, à ce moment la seule phrase qui me vint à l'esprit fut de lui dire. On se reverra surement, mais il faut que j’y aille là. Le lendemain, je suis venu un peu plutôt que prévu, il était 6 h 30, j’avais évidemment le tendre espoir de revoir Thibaud, il m'avait laissé sur ma faim. Cette fois encore ce fut lui qui m’ouvrit la porte, toujours en slip avec la trique, et il me dit que son oncle était malade, qu’une autre personne devrait venir vers les huit heures me récupérer. Ces yeux se sont posé ostensiblement sur mon bas-ventre, il me prit la main et m'entraîna direct vers sa chambre. Refermant la porte derrière lui, il me dit d’emblée, on ne fait pas de chichi hein ! Tu m'appelles Thibaut, m'embrassant aussi sec sur la bouche, forçant l'entrée pour y enfouir sa langue. Cela sitôt fait il déboutonna mon pantalon avec la rapidité d’un compétiteur. P333

 

**Continuant son attaque il glissa sa main dans mon slip, saisissant mes trois pièces et les malaxa avec ferveur, et son autre main, se glissait sous mon maillot tout en me serrant contre lui. Il me caressait le dos et les fesses furieusement, il insistait pour me retirer mes fringues. Quant on fut nus l'un contre l’autre, il devint nerveux, on se masturbé, se caresser, mais il voulait que l’on aille plus loin. Alors s’allongeant au bord du lit, il posa une de ces jambes sur mon épaule, prit mon sexe et le plaça sur son anus. Il ne m’en fallut pas plus pour que je me glisse à l’intérieur de lui, et pas très doucement tant j’avais envie de lui, son entré me paraissait serré. Alors connement je lui posais la question. Heu ! C’est la première fois que tu te le fais !  bah non, me dit-il, la seconde, mais mon premier mec avait un petit sexe, je suis content le tien, je le sens bien. Je me suis mis à rougir comme si j’étais en faute, et il reprit aussitôt. Ca me fait un peu mal, mais continu je veux ce plaisir que tu vas me donner, je suis tout de même un peu surpris ta une belle queue, défonce-moi, vas-y que je jouisse enfin de ce côté. P334

 

**Quand je rentrais et me masturbe à l’intérieur de son brûlant doucereux fourreau, il poussa des petits gémissements. Au dernier assaut, il suivit mes mouvements avec tellement de puissance, que j’éjaculais d’e jouissance extrême dans se trou, il ne put se retenir à pousser un cri. Je me disais en moi-même a continué comme ça, on allait avoir des problèmes ! Son oncle Charles l’avait entendu crier et demanda ce qui se passer. Thibaud répondit ! Je me suis brûlé en offrant du café à Sergio. Je pouffais de rire à cette appréciation, et je me retirais de son fourneau. Il ressaisit mon sexe, et le serra à sa base, pour fini de me sucer, afin de récupérer mon sperme qui giclé par longue saccade. Je n’avais eu que le temps de m’habiller quand la sonnerie retentit, on venait me chercher, je sortais vite de la chambre. Et je le regardais jouir encore de ce sperme qui coulé de son gland, il m’envoya un bisou aérien. Les matins suivants, on n'eut pas le temps, son oncle ne savait rien de son envie sexuelle mâle, et on décida ensemble de se revoir chez moi après le boulot, ce fut là qu'il me dit être bisexuel. P335

 

 **Il aimait de tant à autre s'envoyer en l'air avec des filles. Comme il était mignon, pas timide pour un rond, il avait un fort succès, et il me dit alors qu’il voudrait bien m'en faire profiter. Mon défaut étant une timidité peureuse, sauf quand je connais les personnes ça se passe bien. Il me fit avoir un rendez-vous avec Sandrine 15 ans comme moi, mais, pas farouche, je l’invitais à la maison avec Thibaut et sa copine Nadège. Je passerais plusieurs soirées à faire l'amour avec elle qui est brûlante tout comme Sandrine. J’aimais ressentir ses odeurs de femme, un peu oublié, leurs seins, amuser leurs entrées de plaisirs. Elles aimaient autant les deux sens à cause de Thibaud, qui se fut déjà aventurier à en faire les mêmes jeux. Mais, quand les filles rentrent chez elle après nos séances d’amour, elles sont partageuses. Juste après leur départ, Thibaut veut que je le pénètre impérativement lui aussi, comme s'il était jaloux du plaisir qu'elles avaient pris. Thibaut jouit avec les filles, mais plus encore quand c'est avec un garçon, et il me répète souvent qu'il aimerait passer toute une nuit dans mon lit. P336

 

**Il me dit souvent qu’il aimerait que l’on fasse l’amour une nuit sans discontinuer, ce manège va durer deux mois. Jusqu’au jour ou sa mère, après un divorce, qui a malheureusement mal tourné et l’ayant récupérée, elle déménager sur Angers. La dernière semaine, chaque soir après nos ébats, il pleurait dans mes bras comme un enfant. Lui aussi me dit qu'il est amoureux, qu'il détestait ses parents et voulait mourir plutôt que partir loin de moi. J’essayais autant que cela me fut possible de lui donner du réconfort, et comme il était lycéen, il pourrait alors loger chez moi le temps de ses vacances scolaires. Lui disant que je viendrais le voir, que je l’aimais bien, je ne lui mentais pas, je tombais facilement amoureux. Cette conversation lui fit du bien, ça le rassura aussi quand je lui disais que j'avais beaucoup de mal à me passer de toutes ses caresses. Un peu plus tard, il me fit rencontrer sa mère, en lui disant que je l'avais défendu contre des malfrats. Il a eu du bol que sa mère le croit, qu’elle m'aimait bien, en me disant que j’étais courageux d'être pour mon jeune âge déjà à travailler. P337

 

** Il logeait chez moi, durant le congé scolaire, il me rendit souvent visite, vu que sa mère était d’accord. Thibaut est de nouveau plus heureux. Hé oui ! Car son vœu de passer beaucoup de nuits avec moi se réalisait. Nos nuits d’amours tant voulus par lui, sons fréquents, et se poursuivant même le jour. Depuis qu’il est sur Angers, il na pas mal changé, je trouvais qu’il était de plus en plus entreprenant avec mon corps, il était devenu vicieux et inventif, j’étais sûr qu’il avait un autre mec dans sa vie. Un jour je reçus un courrier, d’où il me disait être amoureux depuis trois semaines d’un garçon de son école sur Angers.

*Il me demandait de ne pas lui en vouloir, tout en me promettant que l’on se reverrait, et me jura être toujours épris de moi. Il joignit à cette lettre plusieurs photos de lui dans le plus simple appareil, et positions diverses assez crues. J’étais pas mal déçu tout de même, les mecs seraient a priori donc portés par le changement. Les jours passèrent et un dimanche je vais avoir plusieurs surprises qui vont s’accumuler les unes derrière les autres dés sept heures du matin. P338

 

**donc ce fameux dimanche matin on frappa à ma porte avec forte insistance, j’étais nu et encore endormi, quant en râlant j’allais ouvrir, et surprise de chez surprise. C'est Florent qui débarquait, il tenait dans ses mains un sac de croissants chauds et un large sourire en me voyant dans ma nudité matinale, qui éclaira surement ses chakra.

*À peine fut-il entré ! Qu'il m'embrassa sur la bouche et vint s'asseoir sur mon lit en m'attirant vers lui. Je suis debout nu entre ces jambes et pour freiner ces ardeurs, je lui proposais un café que j’allais nous préparer illico. Il restait collé derrière moi à se frotter, je sentais sont envie de baiser, moi aussi d’ailleurs et cela tombé bien. Hier soir, mes amis sont partis un peu trop tôt, nous n’avions fait que de boire, mes amis Corses, venait me voir de plus en plus, je les retrouvais souvent aussi sur Pigalle. Florent et moi on but notre café en silence, mais ses mains étaient déjà à me tripoter l’entrecuisse. Voilà que ça sonné une nouvelle fois à la porte, ce fut Florent qui alla ouvrir, et face à lui ce trouvait  Thibaut, et celui-ci eut un mouvement de recule. P339

 

**Voyant Florent, il lui dit qu’il s’excusait pensant que j’étais seul, je l’avais entendu et lui dit alors d’entrer ! Il vient directement à moi qui suis à  poil, et il m'embrassa très langoureusement en posant sa main sur mon phallus. Je faisais les présentations et tous deux se firent la bise, je lui proposais à lui aussi un café, on s’est retrouver  tous les trois à siroter assis au bord de mon lit. Thibaud ne semblait pas gai, il se décida à me parler de ce qui l'amener. Son petit copain l’avait largué après lui avoir pris ses quelques économies, et sa fleur. Il était dégouté de la vie, et c'était pour cela qu'il est venu me voir ! Il espérait que j’allais lui faire oublier cette déconvenue avec mes mots tendres et un corps brûlant pour lui.

Je voyais que Florent et Thibaud s'impatientaient vite, puis voilà qu'ils retirèrent leurs vestes et dans la foulée les chemises et maillots de corps. Je les excitais en les embrassant tour à tour, je les fleuretais comme ça ils s’arrangeront le tant que je prenne ma douche. Il était huit heures, et la sonnerie de porte retentie une troisième fois, je demandais à savoir qui se présenter. P340

 

**J’étais encore à me doucher, alors Florent alla ouvrir, et m'annonça que c’étaient les deux petits diables blonds, ceux-ci en entrant dirent, salut on ne dérange pas au moins, où il est la belle gueule top sexy. Les premiers leur répondent illico, sous la douche les chéris ! Hé tient le voilà qui arrive. Je sortais tout juste de la douche, et j’étais mouillé, et en me séchant je leur demandais ce qu’ils faisaient là ! Pour réponse, ils me font savoir que c’était les vacances et qu'ils les passent chez leurs grands-parents. On se reprit tous un café avec les croissants qui avaient refroidis, dés que le petit-déjeuner fut terminé, les quatre au même moment s'avancèrent vers moi, à côté du lit, et ce fut la partie d’amour, les chéris blonds se mirent nus, Thibaut retira ce qui lui rester suivi de Flo. Les deux jeunots sont tout à  mon corps, ils sont super bandants. Joan excitée s’empale sur mon sexe, Yann suce et lèche Joan Thibaut me roule un patin et branle Florent pendant qu’il est à sodomiser Yann. Une vraie partouze, on échange constamment nos positions, ça sent le sexe à fond et le sperme coule à flots. P341

 

**Je passais mon temps à me glissais dans ces jolis petits culs, de ces accouplements de folie, et saisi dans cette tourmente de sexe je finis par laisser Thibaut m'enfiler, je demandais aux blondinets d'en faire autant, j'avais envie de les sentir en moi, ils sont vraiment trop mignons. Ils sont tellement beaux qu'à chaque fois que je les regardais, je n'avais qu'envie de leur caresser le ventre, leur pomper l'entre-jambes, faire l'amour sans discontinuer. Toute cette jouissance dura l'après-midi entière, il était à croire que le destin nous eut donné cette journée de plaisir très hard comme une réponse future ! Ce sera la dernière fois que nous conversons communions ensemble. Pour certains, cela se reproduira, mais beaucoup plus tard, et de toute façon ma vie entreprend un autre tournant sans que je m’en rende vraiment compte. Au cours de cette même période, je travaillais chez mon oncle comme plombier. J’y retrouvais mes frères, Gégé et JC tout cela se passe bien entre nous, mais ils ne savent rien de ma vie dissolue, en dehors de mon travail, car je communique peu avec eux. P342

 

**Cela ne durera que quelques mois, puisqu’ils partiront chacun dans une région différente pour y faire un peu plus tard leur vie d’homme marié. Maman qui était sur Villiers-le-Bel de temps à autre, je lui rends visite ainsi qu’à mes frères et sœur. Maman est bien plus heureuse depuis qu’elle travaille à la mairie de sarcelle. Elle a acquis son indépendance pécuniaire ce qui pour elle, et un immense pas sur sa tranquillité d’esprit. Notre beau-père est très malade, il ne cherchait pas tellement à vouloir se soigner, il a chopé le cancer du poumon. Je ne m’en suis pas rendu compte tout de suite, je suis venu passer quelques jours chez maman, le temps de retrouver un autre boss. J’en avais marre de la plomberie, ça ne paie pas et on est toujours au froid et dégueulasse. Ce fut à cette occasion que je repris le contact avec d'anciens amis qui vont me porter la poisse, mon jugement vers eux n'est pas négatif, il est ce que l'on appelle le chemin de la vie. On ne peu pas toujours mettre sur le dos des autres nos choix, et du même coup j’avais retrouvé mes contact avec la vie corse. P342

 

Petite bévue et surprise.

 

**J'habitais chez ma mère provisoirement et mon beau-père la laissée tranquille, il passait son temps sur Paris au club des anciens combattants, il y boit plus qu'il ni mange, il se voyait de moins en moins. Pour la première fois, j’allais faire une belle boulette, aussi improbable que cela puisse me paraître une surprise venant de mon beau-père m'attend. Venant à mon aide, lors de cette bévue d'un soir, je devais avoir 15 ans, je sortais avec deux copains Patrick 18 ans, blond, mignon et imbu de sa personne, Xavier 22 ans super sympas qui a son permis, mais pas de voiture. Tous trois un soir, on se faisait vraiment chier à haute dose. Notre Xavier proposa d'emprunter une voiture afin de faire un tour, on se mit donc en chasse de celle que nous pourrions emprunter, notre choix fut une 4L Renault. Un des seuls véhicules dont la portière restée la plus facile à ouvrir, juste après là de deuche. Ce méfait accompli, tous trois, nous grimpons à l'intérieur content de notre coup, et en route pour un périple sur la route ! P344

 

**On décidait de faire un tour en ville à titre d'essai, et ensuite direction le centre des citées à Sarcelles, dix minutes après être sortie de la ville, on aperçut en stationnement sur le bas coté les flics verbalisant un gamin sur une mob.

**Xavier s’affole en les voyants, il fait un demi-tour 200 mètres avant de passer devant eux, une erreur fatale ! Les flics nous ayant repérés à ce manège, nous prennent aussitôt en chasse avec leurs 404 breaks Peugeot, la Renaud /4 ne roule pas bien vite, et l’on finit par se retrouver coincé au travers d’un champ que Xavier pensé pouvoir traverser. Les flics nous firent descendre du véhicule, ils tenaient en leurs mains pistolet et mitraillette, et nous voilà tels des petits cons embarqués au commissariat de Sarcelle déclarée zone rouge. C'est ainsi que notre soirée allait commencer au commissariat, ils cherchaient à nous faire avouer des dizaines de vols de voiture et des petits larcins commis dans la région. Pour nous, la nuit allait être hyper longue, car afin de nous convaincre d'avouer ce que nous n'avions pas fait, ils allaient user de moyens brutaux. P345

 

**Nos mains sont menottées de chaque côté de nos chaises, et là deux flics nous frappent chacun notre tour, sur les épaules et par mi-temps sur la tête, avec un Bottin des postes. Ils ajoutaient plusieurs claques dans la figure pour peaufiner l'entrevue. Personnellement, je me trouvais à être très fatigué de tous ces coups de Bottin, car ils devenaient de plus en plus douloureux, tout aussi insupportables. Mais ça ne suffit pas à nous faire cracher un morceau non avaler, tous les trois, on n'avait pas envie d'avouer des trucs dont nous n’en étions pas responsables. Les poulets sont de plus en plus excités, devenant, très brutaux, alors ils décidèrent de nous faire subir l’interrogatoire de la nouvelle génération, bien plus harde !

Ils commencèrent avec un coup de poing juste en dessous du plexus, ça te coupe la respiration, et le second te donne envie de gerber du fiel, le tout est assez fort pour faire mal, mais pas assez pour te marquer grâce à une serviette entre le poing et ton torse. Cette version nouvelle, diriger par un ex-légionnaire, va durer plus d'une heure avec des petits intervalles de cinq minutes. P346

 

**Putain, les vachards, tu as juste le temps de te refaire les poumons, avant la seconde salve, je commençais à vomir et à cracher de la bile, les flics arrêtèrent cette connerie définitivement. Mais le légionnaire para très en colère de ne pas avoir ce qu'il espérait, va en passant devant moi m'envoyait un crochet en pleine gueule ! Ce qui menotté sur cette chaise me fit tomber et en cela je me cognais la tête sur le bord du bureau. Et une estafilade apparut sur le crâne et me fit saigner abondement, à moitié groggy sur ce fait, je leur donnais mon réel nom de famille pendant qu'il me démenottait. Au second interrogatoire, heureusement pour moi, j’allais m'embrouiller et leur donner le nom de famille de mon beau-père au lieu de celui de mon père. Puis ils nous ont jetés dans des cellules séparées, pour la nuit, elles sont situées au sous-sol, et l'endroit est humide et pue l'urine à un mètre. Dans un coin un lit métallique avec une paillasse, cette litière semble être couverte de puce, tout comme la couverture qui elle est aussi parsemée d'auréoles aux couleurs pour le moins bizarres. P347

 

**Dans ce trou à rat, je trouvais le temps super long, quoiqu’un flic vint en visite toutes les deux heures, afin de changer mon pansement imbibé de sang. Le lendemain, le commissaire en arrivant en fin de matinée, en lisant les rapports de police, s’aperçut de mon nom de famille. Une chance qui pour moi va se révéler positive, ce nom lui rappelait quelqu'un qui comme lui aussi était affilié au club des anciens combattants, parce qu'ils avaient tous deux fait partie du même bataillon de para de la guerre 39/45, et aussi de la résistance. Dans l’après-midi, il avait ainsi fait parvenir à mon beau-père un message lui notifiant la superbe merde dans là qu’elle je m’étais enlisé. Celui-ci me fit tout de même mariner toute la matinée du lendemain, voulant certainement me donner une leçon. Entrant dans le poste de police, je l’avais aperçu avoir une discussion assez longue avec le commissaire. Ensuite quand nous sommes sortis de notre cellule tous trois, le commissaire eut un sévère coup de gueule vers ces petits poulets, en me voyant blanc comme un linge, le crâne et la bouche ensanglanté. P348

 

**Je suis resté fragile, depuis les problèmes que j’avais subis, et les vomissements mont irrité le gosier me faisant cracher du sang devant le haut fonctionnaire, qui se trouvait bien ennuyer. Nous avions croisé les autres pères intéressés par leur progéniture. Dont celui de Patrick qui fut pour le moins en dessous de tout, quant en arrivant devant le commissaire. Il traita son fils de tous les noms possibles, et la meilleure chose qu’il fit pour appuyer son mécontentement ce fut de lui envoyer une claque bien appuyée en pleine gueule, lui ouvrant l’arcade sourcilière en cause de sa chevalière façon templier. Celui de Xavier ne salua personne, me regardant bien en face et me dit alors qu’il était désolé de la bévue de son fils. Je ne sus pas quoi lui réponde tant la honte me bloquait l'esprit, et si ! Le père de Xavier m'avait parlé de cette façon, il en avait pour raison une simple explication, son fils n'en était pas à sa première bêtise. Il me connaissait depuis trois ans, et savait que je n’étais pas aventurier, mais plutôt un hypertimide, ce qui ne fit pas de moi un innocent, mais un petit con sûrement. P349

 

**Mon beau-père me fit la morale durant le trajet sans colère ni cri, à la maison maman me fit savoir qu'elle était déçue, mais heureuse que cela ne soit pas plus grave. Chance pour moi, mon beau dab appuyé par le commissaire avait réussi à faire diminuer les charges. Il avait fini par s'arrangeait avec le propriétaire du véhicule, qui était plutôt enclin au mensonge, sur le fait que soi-disant nous lui aurions volé ces outils dans le véhicule. Une belle arnaque de la part d'un soi-disant honnête homme, afin de récupérer de la tune facile sur le dos des autres. Fort utilement, le commissaire et mon beau-père avaient réussi à le confondre en retrouvant tout ce qui lui avait été prétendument volé. La somme demandée pour ce dommage aurait été une catastrophe pour moi, comme pour mes parents, vu que je n’étais pas majeur. Cette bévue ne se reproduira plus jamais ni aucune autre de ce style, j'avais eu une trouille de première et cette leçon m'avait suffi. Cette histoire m'ayant filé la honte du siècle vers ma famille, et copain qui n’aimaient pas Xavier, plus en rentrant mes frères et sœurs qui me faisaient la gueule. P350

 

**Ils me posaient différentes questions sur les faits de ma nuit en cellule, pourquoi j'ai fait ceci et pas cela, les flics ont-ils étaient très violents, c'était à croire qu'ils n'avaient pas vu le gros pansement sur mon crâne. Et ça reprenez, avec tous tes copains ne sont pas fréquentables, et surtout Xavier, tu sais bien qu’il déconne souvent, on ne te comprend pas là ? Comment tu as pu te laisser embrigader dans cette galère toi qui d’habitude es plutôt effacé (Et patati et patata), va y la serinette du parfait petit garnement ! Que pouvais-je bien dire à leurs remontrances. Cinq semaines plus tard, je me balade sur la ville de Goussainville en mobylette pour aller voir un copain de la MJC, il m’apprend un peu les prises de karaté ou kata. À la sortie du bled, je me fais arrêté par des flics pour un contrôle, et manque de bol, ce sont les poulets qui mon cogner. Ceux qui se sont fait engueulé par le commissaire lors de ma première visite de politesse. D’un seul coup, je me trouvais encadré par les trois méchants qui me dirent de monter dans le panier à salade, et ma peur des hommes me reprit. P351

 

 **Ils me disent, tu vas nous montrer tes papiers et ton assurance, mais à peine suis-je à l'intérieur qu’eux aussi montent et me coince contre le banc. Je ne faisais vraiment pas le poids, pour tenter de m'opposer à eux, et là ils me déshabillèrent complètement. Je pensais en moi-même, putain les emmerdes recommencent, ils vont me violé pour se venger ! Mais non, fort heureusement. Mais ce n'était pas mieux, quand ils commencèrent par me distribuaient des baffes, des coups de ceintures sur tout le corps, plus quelques coups de poing bien placé. Le jour commencé à baissé au moment de cette entrevue pénible, et quand je me suis réveillé, je me trouvais à poil dans le fossé avec ma mob le pneu avant crevé. Je me suis donc rhabillé et fit le trajet jusqu'à Villiers-le-Bel à pied, je poussais ma Mobylette qui me paraissez avoir les freins bloqués tant je trouvais ça dur.

Bref, j'ai malgré tout et contre l'avis de tous continués à fréquenter mon pote Xavier, et une semaine plus tard, il me demandait d’organiser avec lui une surboum pour le week-end à venir en l'absence de ses parents. P352

 

**En voulant jouer les grands au cours de cette petite fête, je me suis pris ma vraie première cuite à en être malade, une belle réussite. Et j’apprenais à mes dépens que je ne supportais pas le trop-plein d’alcool, je savais aussi, que quand je suis un peu ivre, j’arrivais à être beaucoup plus entreprenant avec les filles. Dés le début de la fête, j’avais remarqué une super belle meuf, mais je n’avais pas eu le temps de lui dire quoique se soit, j’avais vomi sur mes fringues avant d’aller plus loin. Xavier s'était arrangé, en m’aidant au mieux ! Après m’avoir foutu à poil et couché dans sa chambre, il avait fait nettoyer mes fringues au pressing à sec. Et il fit laver le reste de mes guenilles par une copine à lui, ma réputation fut faite, j’allais passer pour un nase. Vers 18 heures, je me suis réveillé dans une chambre aux volets clos, et j’avais une lourdeur sur la poitrine. Je pensais allègrement que je n'avais surement pas tout gerbé, vu cette pesanteur qui se faisait aussi sur mon ventre. Je suis encore très vaseux et malgré tout je ne voyais rien du tout dans cette chambre au volet clos. P353

 

**En me redressant je constatais que sous les draps se trouver une fille black qui dormait sur moi, et une de ses mains serrées fortement mon sexe en érection, je suis pratiquement dessoulé heureusement. Sur le coup, je n'osais pas bouger, alors j'allumais la lampe en tête de lit, puis je soulevais le drap. Je constatais que s’était une vraie belle métisse, et totalement nue, alors je commençais à la tripoter pour la réveillée, elle qui n’avait pas beaucoup plus de 16 ans. Quand elle ouvrit ces jolies mirettes, je lui demandais ce qu'elle faisait nue dans mon lit, collé à moi et à tenir mes bijoux. Ces jolis yeux noisette me souriaient ! Ce fut désarmant quand elle me dit d'un ton des plus mielleux. Et bien, bonjour la mémoire, on avait décidé de coucher ensemble avant que tu ne te sois enivré. Le ton de sa phrase est dit avec ironie, je la toise et lui dit d'un ton macho, afin de lui montrer que je suis un vrai mec. Bon et bien maintenant c’est fait hein !  Ha non ! Me dit-elle de sa voie devenue encore plus douce, pas pour dormir, mais faire l’amour tu me l’avais promis avant d’être bourré. P354

 

**Jouant le mâle désabusé, je lui rétorquais illico, ho là d'accord, désolé, je ne voulais pas te vexer ! Et sur ces derniers mots, je l’embrassais sur la bouche et lui roulais un patin avec délicatesse, je caressais ses seins fermes, en m’attardant très volontiers sur son ventre plat, ses jolies fesses rondes et ses reins cambrés. Doucement ma main descendait plus bas frôlant ces poils pubiens, et chemin faisant un de mes doigts glissa à l'entrée de sa fente. À aucun moment elle ne lâche ma verge toujours raide, et son ventre tressauté à chaque passage de mes caresses. Elle descendit sa bouche au bas de mon ventre, et me masturba, malaxant les sœurettes savamment. J’en profitais pour lui aspirer ses lèvres vaginales, commençant ma fouille clitoridienne. C'était incroyable comme elle jouissait abondamment, et son clitoris avait doublé de volume. J'avais moins de répugnance à descendre au bonheur, et remontant le long de son corps avec ma bouche, ses seins étaient durs, j’étais prêt à la pénétrée. Elle tenait mon sexe toujours fortement, je glissais mon gland dans sa fente, elle me laissa faire. P355

 

**J'essayais plusieurs fois de forcer le passage, tentant une entrée plus profonde, mais elle m'en empêchait, je tentais de comprendre ce qui se passé, c'est quoi le problème que je me disais. Elle veut et elle ne veut pas ! Puis un déclic se fit.

Elle tenait toujours ma queue, et moi bêtement je venais de comprendre qu’elle était tout ce qu'il y a de plus vierge. Je me retirais de l’endroit en faisant semblant de juste l’amuser, je n'avais pas encore défloré une demoiselle. Pour moi c’était une première aussi, je voulus m'écarter un peu plus, mais elle me retint ne voulant pas que mon objet s'éloigne trop. Je repensais à ce moment, au centre où cette femme m'avait appris la chose à faire avec une nana. Elle m’avait souvent dit que la première fois était aussi importante pour une demoiselle, que pour un puceau. Sur ce rappel, je lui parlais doucement afin qu’elle ait confiance en moi, et en elle. Je ne me sentais pas trop fiers en cet instant, et décider de continuer à lui parler, le temps qu'elle se reprenne ou pas. Mais en cela je ne pouvais rien pour le moment, cela ne devait venir qu’uniquement d’elle. P356

 

**Tu as sûrement peur que cela te fasse mal, enfin pas trop mal, je suppose, et pourtant ça ne devrait en aucun cas se produire, nous le ferons quand tu l'auras décidée, et si tu ne veux plus, on arrête là, ce n’est pas grave. Je continuais à lui parler, et en attendant, je la caressais de mes lèvres, son entre cuisses ses fesses et ventre et ses jolis seins, pour finir je fouillais son palais de ma langue. Mon savoir restait petit, mais comme je le supposai vaguement son envie de connaître la jouissance devint difficilement contrôlable, pour moi aussi d’ailleurs. Puis elle relâcha sa retenu sur mon bas-ventre et mon sexe fut placé à l'entrée de sa fleur, je frottais mon gland entre ses lèvres vaginales puis entrer très délicatement. Je le faisais le plus doucement possible, mais aussi fermement, je ne tenais pas à la déflorer comme un sauvage, et pourtant ça me tarder de le faire. C’est elle qui ne se contenant plus s’enfonça mon phallus d’un seul coup de rein énergique, et ainsi je déchirais son voile de pucelle. De celui de jeune fille, elle passa en une seconde à celui de femme, ne lâchant qu'une petite plainte. P357

 

**Puis elle fit suite à des mouvements de bassins qui allaient de plus en plus vite, poussant de petits cris jouissifs, me griffant le dos et les fesses, la poitrine comme une panthère. Les femmes sont moins connes que nous, elle possède toute le don de faire l'amour. J’essayais de me contenir le plus longtemps qui me serait possible, une gymnastique très difficile pour un garçon novice. Je jouissais pour la première fois d’une façon explosive et déversais mon sperme à cette longue et brûlante attente. J’essayais de me retirer, mais elle me retint, nos corps étaient bouillants, et en sueur. Après avoir attendu quatre petites minutes, mon sexe devint mou, en commençant à donner sa démission. Sitôt ce relâchement ressenti, elle prit les directives, en me caressant jusqu’à ce que mon phallus se redresse dans son intérieur. Ce fut à moi maintenant de faire fonctionner mon bassin, je ressortais mon sexe entièrement plusieurs fois et ensuite entrer de nouveau plus brutalement. Je fis glisser mon dard en direction de son anus, en tentant une entrée très directe supposant qu'elle allait adorer cette position. P358

 

**Elle ne se refusa pas à ma demande, je poussais donc mon gland graissé de nos effluves corporels en son intérieur. Et celui-ci pénètre dans son fourreau de velours avec sa bénédiction, et sans douleur. Elle me repoussa, mais pour mieux se positionner sur le ventre, les fesses bien en l’air faisant le petit pont, je me réintroduisis plus en son intérieur, elle lâchait un second cri de plaisir. Elle jouissait de plus en plus, et je lui crachais tout le sperme qui me rester encore, on continua à se faire plaisir jusqu'à épuisement de nos deux corps. Je n'avais encore jamais autant voyagé sur un corps de fille avec autant de plaisir. Il était sept heures trente, elle devait rentrer pour ne pas éveiller de soupçon auprès de ses frères, très protecteur à l’encontre d’autres garçons. Elle me bisa partout ou sa bouche du désir se poser, et ensuite elle me dit que l’on devrait se revoir rapidement, mais pas dans dix ans. Pour moi pas de problème après ces viols de garçons, me voilà revenus avec surprise à une sexualité chaudement hétéro. Bon, c’est vrai que cela ne me gênait en rien de le faire avec des mecs. P359

 

**Les filles n’étaient pas autour de moi d’une grande abondance pour le moment, jusqu’à ce qu’elle se présente, mais il était préférable que ses frères n’en sachent rien sinon j’étais un mec mort. Les Réunionnais n’appréciaient que peu les zoreilles, c’est comme ça qu’ils nous nomment ! Cela n’a rien d’une insulte juste un petit surnom moqueur. Cela gâcherait un peu ma vie, si je ne devais plus revoir Shana, elle était vraiment belle et son corps une merveille de perfection. Vous pensez et vous avez bien raison ! Quand on est jeune, on est à peu près tous très mignons, et dans une généralité des cas bien bâtis. Un des petits avantages de l’adolescence et de cette puberté !

*Pour mon problème réunionnais, il fallait que j’en cause à mes amis corses, ils auront peut-être une solution à me proposer, une affaire à suivre comme me dirait Josèphe Alberti. Contre l’avis de la plupart de ces copines, Shana me préféra à bien d’autres pour le moment. Pour une fois, que je ne m’étais pas fait jeter par une demoiselle, ce n'était pas moi qui m'en plaindrais. P360

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