Poésie de Cupidon.

 Poésie de Cupidon.

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Moi 12 ans et mes doutes. (1)

Moi 12 ans et mes doutes. (2)

Moi 12 ans et mes doutes. (3)

Moi 12 ans et mes doutes (4)

16 ans de doutes et de larmes.

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1 / 12 ans, bafoués violés.

2 / 12 ans, bafoués violés.

3 /12 ans, bafoués violés

4 /12 ans, bafoués violés.

5 /12 ans, bafoués violés.

6 /12 ans, bafoués violés.

7 /12 ans, bafoués violés.

8 /12 ans, bafoués violés.

9 /12 ans, bafoués violés.

10 /12 ans, bafoués violés.

11 /12 ans, bafoués violés.

12 /12 ans, bafoués violés.

13 /12 ans, bafoués violés.

14 /12 ans, bafoués violés.

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2e livre/ 1 Une enfance aux conséquences dévastatrices.

2e livre/ 2 Une enfance aux conséquences dévastatrices.

2e livre/ 3 une enfance aux conséquences dévastatrices.

2e livre/ 4 une enfance aux conséquences dévastatrices.

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| 8 /12 ans, bafoués violés.

**Celui-ci n'est plus fréquenté à cette heure de la journée, bien sûr, les deux d'unisson me demandaient, si un moment de plaisir avec eux me tentait. Je fis semblant de ne pas avoir entendu, alors histoire de rire, mais cherchant surtout m'exciter, Olivier commença donc à me chahuter, du style que je te pousse, puis à jouer au lutteur, ou faire un concours de force. Bien sûr on a fini par avoir très chaud, chacun a donc retiré son manteau et pull suivi dans le mouvement par le tricot de corps. Je ne suis pas encore assez futé pour piger où ils veulent en venir, pensant qu'ils avaient laissé tomber leur envie de sexe. Tous trois ont se retrouvaient donc torse nu dans l'herbe à batifoler comme des gosses que nous sommes encore. Je m’étais aisément convaincus de ne plus refaire ce genre d’expérience, mais ces deux loustics sont malins et commençaient à me titiller les sens. Olivier et Cédric se trouvaient sur moi, chacun me tenant un bras, l’un d’eux me faisait des chatouilles un peu partout en baladant ses mains le plus près possibles de mon service à lui produire sa jouissance. P211

 

**Il me tripotait avec ferveur et recherche sur mon corps, je me débattais autant que je pouvais en sachant bien où ils voulaient en venir. J'ai fini par me laisser faire, ils avaient ouvert mes envies de sexe. Sitôt Olivier m'embrassa sur la bouche, glissant sa langue entre mes lèvres, le second avait déjà fait glisser mon short et mon slip, il était déjà à lécher mon ventre, jusqu'à saisir mon sexe et l'aspirer. Olivier en profita pour retirait, le reste de ces fringues et ôtant ceux de Cédric, ils firent le relais pour me sucer. Un moment plus tard Cédric pris d’une envie chercha à se faire sodomiser. Il plaça ses fesses contre mon ventre, et s’y colla en se frottant avec vigueur, puis il me demande à le faire jouir. Je me collais donc à son arrière et commençais à entrer mon gland puis mon sexe entièrement dans son tunnel sombre, ce qui lui fait pousser un râle langoureux. Olivier  était à me caresser le corps et l’œillet, pendant que moi je lui titillais son obus pâmé d’envie, pour l’instant tout va bien, même si je ressentais ses mains de plus en plus à fouiller mon intérieur, mais ça ne me déplaisait pas. P 212

 

**j’ahanais de plaisir jusqu'au moment où le sexe d’Olivier commença à me titiller la rondelle, je resserrais les fesses et me retourner, Olivier s'arrêta en me demandant à bien vouloir lui pardonner cet empressement. J’ai envie de toi depuis si longtemps me dit-il ! Prisonnier de mes envies de sexe, je le laissais faire, et Olivier me glissa son sexe doucement. Mais son envie fut elle vers moi, que son gland à peine entré, qu’il éjacula entre mes fesses me pénétrant ensuite !  Comme il avait graissé l’entrée, je ne ressentis aucune appréhension ! Je venais bizarrement de trouver cette pénétration hyper-motivante, excitante, et mon sexe était devenu encore plus raide. Faire l'amour à trois, voilà un moment qui ne me déplut pas. Mon phallus se trouvait encore en lui, je continuais à le limer avec frénésie tout en me laissant faire, moi aussi. Après avoir fini nos plaisirs, nous sommes restés nus sur l'herbe a discuté de différentes choses, Cédric à la tête posée sur ma poitrine et il est a embrassé mon ventre fréquemment, Olivier énervé décida de se rhabiller et nous suivons le mouvement. P213

 

Nous nous sommes assis sur un banc du parc et j’essayais de leur donne mon idée sur la continuité de nos relations, leur faisant savoir que j’avais eu la chance de faire l’acte avec différentes filles aussi bien par l’âge que la façon. Et maintenant pour moi, il était hors de question que nos ébats entrent garçons s’éternise. Même si pour l’heure, je me suis laissé un peu entraîner dans leur jeu ! Ils s’exclament aussitôt tous deux d’un (beurk une fille), ils essayèrent de me convaincre de ne pas les laisser tombés, Olivier a plus l’air résigné que Cédric qui se mit à pleurer. Je suis toujours aussi sensible et des larmes me viennent, et cela fut ma perte de résolution. M’approchant de lui, je caressais son visage et l’embrassais sur la bouche pour le calmer. Ce garçon est trop mignon et de ce câlin, je me suis senti irrémédiablement attiré vers lui. Cédric me serra contre lui si fort que je ressentis son sexe en érection. Bon et bien voilà quoi ! Merde, c’est reparti pour un tour, nous refaisons l’amour avec plus de rage et recherche, le chagrin que j’ai occasionné par cette future rupture entre nous décupla nos ardeurs. P214

 

**À la fin de cette entrevue, il planait tout de même un doute, je leur disais donc que je ferais ce que je pourrais pour que l’on se revoie. Durant les semaines passées, j'essayais de faire en sorte de ne pas les croiser. Mais ! Ils savaient très bien que je faisais les marchés deux fois par semaine. Donc ! Inévitablement, je les revus à chaque fin du marché, mais je ne faisais pas toujours ce qu’ils voulaient. À part les quelques fois sortant de l’école, ils me suivirent en me faisant une visite impromptue dans la fameuse caravane.

*Tout cela va s’arrêter le jour de mon départ pour Villiers-le-Bel, la distance va nous éloigner les uns des autres pour un certain temps. Je pensais souvent à eux quand je me trouve à trimer sur Le Blanc-Mesnil. Tâtant parfois même l'espoir, grâce un hasard des plus grand de les croisés au moins une dernière fois. Cela s’est produit trois mois plus tard au hasard d’un chantier rue Jules Ferry. J’ai aperçu Cédric sur un trottoir à discuter avec un mec en voiture, et partir avec lui, je n’ai pas pu lui parler, on était trop éloigné l'un de l’autre. P115

 

**Mais deux jours plus tard, en entrant dans la boulangerie en face de l’immeuble où je travaille pour y acheter des pains et croissants pour les ouvriers du chantier. Je vu Cédric se présenté devant moi avec un sourire charmant et des yeux qui vous invitent à faire l’amour. Il y travaillait comme apprenti, il m’invita à nous retrouvait chez ses parents, finissant sa journée à 13 h. Il ne loge pas très loin dans un petit pavillon, dont il a une chambre individuelle. Je lui demandais si ça le dérangeait d'attendre ma fin de journée pour que l'on se retrouve devant le magasin. Vers 18 h, je le suivais donc sans arrière penser, juste du fait d'être content de l’avoir retrouvé. Nous avions beaucoup de choses à nous racontait de ces mois passés et de ce qui l'avait conduit à être mitron.

Dans sa chambre, il m’invita à boire un verre, et ces désirs prirent le dessus, car au bout de 15 minutes, il m'embrassa sur la bouche tout en me tripotant là où il fallait. Tant et si bien que l’ont c’est mis à faire l’amour, et ses connaissances sur le corps d’un garçon était devenues hyper top, j’apprenais d’autres façons à aimer. P216

 

**Je le trouvais plus mignon qu’avant, et son côté femelle ressortait à chacun de ses gestes, son corps sentait si bon, sa peau était douce comme sa voie, il me parlait d’un ton posé et mielleux et sa jouissance était définitivement de se faire glisser. Moi et bien ça m’allait très bien, je préférais jouer les garçons mêmes si je faisais l’amour avec des mecs, plus qu’avec des filles pour le moment. Durant notre longue conversation, il m'avoua qu'il avait un amant de 35 ans, ce qui lui permettait de vivre avec une certaine aisance ! Le fameux automobiliste que j'avais aperçu avec lui près du centre-ville. Je lui demandais évidemment ce que cela faisait de faire l'amour avec un homme d'âge mûr. Sa réponse me laissa attentif à ce que pourrait être aussi ma vie, vu comment je vivais ma sexualité, il avait appris à vraiment faire jouer et jouir son corps depuis qu'il sortait avec cet homme. P217

 

Fin de classe, ouf les vacances.

 

**Mais revenons a mon retour de convalescence, mes soi-disant préférences sexuelles sont un peu vite parvenues dans les discussions de récré. Je ne sais pas qui a lancé cette histoire, mais tout et n’importe quoi se dit, et ça commençait à jaser dans la cour de l’école. Deux garçons mon traité de gonzesse, le troisième n'a pas eu le temps de finir cette insulte. C’est l’époque où, j’avais le sang chaud, et cela s’est terminé par une partie de bourre-pif. Je me suis retrouvé dans le bureau du directeur avec les trois abrutis qui m’avaient  insulté, l’un d’eux par malchance avait un appareil dentaire que j’ai cassé. Le directeur me garda dans son bureau, durant le temps que je passais avec lui, il me posa des questions diverses, mais aussi très précises. Le pour qui du pourquoi de cette bagarre, et ce jusqu’à ma sortie à 16 H 30. J’essayais de lui faire avaler qu’il avait insulté ma copine et du même coup ma famille aussi ? Mes explications sur le fait que l’on met insulté, n’avait pas l’air de le convaincre au plus haut point. P218

 

**Certains de ces sous entendus me crispaient et me faisait peur aussi, j’avais cette trop mauvaise impression qu’il savait ce qui mettait arriver durant mon séjour en maison de repos. J’avais en moi-même cette terrible trouille que l’on finisse par découvrir mon grand secret. Je n'avais pourtant jamais rapporté mon histoire de viol et d'envie sexuelle aux masculins ou féminins à personne, pas même mes parents et encore moins à mes frères et sœurs. Je savais maintenant en discutant avec des copains qui sont eux aussi à se mêler avec des mecs que les gens n'apprécient pas du tout ce style de vie et de mœurs. Cela se passa en troisième semaine de juin, le dernier jour de classe avait sonné, et j'ai aujourd'hui un peu plus de 12 ans. On est tous joyeux enfin les vacances, les trois mecs avec qui je me suis battu, m'attendaient à la sortie. Tous mes copains souriaient en attentant de savoir à quel moment la baston commencerait. Ma Josette, qui venait d'arriver, se planta devant moi et à la vue de tous elle m'embrassa très langoureusement sur la bouche en caressant mes fesses. P219

 

**Puis sa main se posa sur mon ventre et mon sexe qu’elle effleura de bas en haut, je ne pus que la remercier de ce geste qui mit tout le monde d'accord sur les racontars. Moi je me retrouvais avec une superbe érection qui se voyait à la surface de mon short, je me mis à rougir ! Après une brève explication avec les aînés de l’école sur les faits, un certain calme venait de s’installer parmi notre groupe. Mais ce fut en cela de toute évidence grâce à ma Josette qui en venant, avait coupé court à tous ces questionnements, laissant aussi ce petit monde baba et envieux. Je leur demandais à ce maîtriser, leur expliquant que le clan des abrutis allait probablement nous laisser en paix. Pour preuve que je leur criais, tant, tout le monde est à fabriquer un brouhaha ! Ho hé vous voyiez bien qu’ils sont partis, sans demander leur reste. Tout le monde fut d’accord, et s’éparpillait dans des directions différentes. Josette et moi main dans la main, on décidait pour le retour vers là cité de prendre un joli petit raccourci que tout le groupe appelait le chemin des anges. P220

 

**Cela nous obligeait de prendre à travers un champ de blé, et sitôt après on bifurquait vers un grand bosquet d'arbres. À peine entrée dans le bois, Josette me prit la main et la glissa sous son chemisier. Puis elle glissa la sienne dans mon slip, nous nous embrassions avec fièvre, et nos mains étaient de recherches approfondies sur nos corps de sa demande expresse. On avait choisi de se cacher derrière un taillis, en nous déshabillant complètement nos fringues servaient à faire une protection au sol, Josette me fit une fellation, et moi je lui à lui titiller sa fente avec un doigt. Après cette mise en condition, je me couchais sur elle, et je lui introduisais mon sexe sauvagement dans son abime en chaleur vu l’empressement qu’elle m’en fit. Elle me griffa le dos, et les fesses dans sa furie d’être dans l’acte, jusqu’au moment où je déchargeais en elle !  Mais à peine avions-nous fini notre affaire qu'un bruit nous alerta ! Rapidement nous nous sommes rhabillés par peur d’être surpris, puis nous sommes sortis du taillis nonchalamment, c’est une assez mauvaise surprise qui se présente devant nous. P221

 

La baston.

 

**Cinq garçons viennent vers nous d’un pas décidé, sauf erreur due à ma myopie, je viens de les reconnaître, ils sont tous de notre école, dont le fameux connard à qui j'ai durant notre bagarre cassée son appareil dentaire. Josette et moi un peu gênés réajustons nos habits en les regardant avec une méfiance ! Je demandais à Josette de ne rien dire, la connaissant, elle était capable de les provoquer. Les garçons ne lui ont jamais fait peur grâce à ces frangins, qui l’ont souvent motivé pour des bagarres de quartier. Ils tardaient à nous apostropher sur leurs venues dans ce bois, bien entendu Josette leur demanda ce qu’ils venaient glander là, car en général, on ne les voyait jamais dans ce bois. Puis elle leur dit aussitôt de foutre le camp illico presto, un des mecs du groupe lui dit alors de fermer sa gueule, et qu’elle aille se faire défoncer ailleurs, ça ne plut évidemment pas à Josette. Elle provoqua donc un des mecs, à un combat aux poings en face à face, à la réglo et le plus grand s’approcha d’elle. P222

 

 **Il lui administra une claque si forte qu’elle en tomba sur le cul, je repoussais le mec en le traitant de sale con, et de lâche, puis j’aidais Josi à se relever lui demandant au creux de l’oreille de se taire afin de tenter de calmer le jeu. Elle commençait à avoir un peu la trouille, mais elle fit front quand même. J'ai tout de même compris que Josette ne les intéresse pas plus que ça, je lui demandais de partir, si possible d’aller prévenir les copains dans la posture critique où je me trouvais. Elle hésita un moment, puis accepta de partir, en me faisant une léchée buccale avant de se sauver. Dent cassée nous interpella ! Vous avez fini de vous bouffer la pomme les amoureux, on n'a pas que ça à foutre nous. Je leur rétorquais que ça aller quoi, de la laisser partir, elle ni était pour rien de nos embrouilles. Ils la regardèrent prendre le chemin en sens inverse, en lui gueulant dessus quelques mots méchants. Du style casse toi pauvre cloche, merdeuse, suceuse a bite, les autres ne bougeaient pas ni ne parlaient, mais ils rigolaient bêtement entre eux en se frottant les mains énergiquement. p223

 

**Je ne suis pas un garçon intrépide, loin de là, mais je n'aime pas que l’on s’en prenne au plus faible, et encore moins à des filles. Histoire qu’ils laissent ma Josette tranquille, je leur demandais s’ils ne savaient qu’emmerder les filles. Quand enfin ils se décidèrent à me parler, ce fut gueule cassée qui s’avança en me promettant une bonne raclée, celle dont je me souviendrais longtemps. Dans la foulée, il jeta son dentier cassé à mes pieds, en me disant (tu vas me payer cet affront fait en coure de récré). Moi et bien tout ce que je peux lui dire, c’est qu’il ne me fait pas peur, et que je l’attends même si je n’en mène pas large. J’avais à peine terminé ma phrase, que les cinq se ruent sur ma pomme, moi qui pensais que notre petite rencontre sur ce problème se réglerait en face à face. Cela ne se goupillait pas bien, mais alors pas bien du tout, ça ressemblait plutôt à un cinq contre un. J’étais là tétanisé et une petite pensée me traversa l’esprit sur ma personne, je me disais tu vas en prendre plein la gueule mon Sergio si je tu ne trouves pas une idée. P224

 

**Je réfléchissais en me disant es le moment d’avoir du courage Sergio, ou es plutôt courage fuyons, ils ne veulent peut-être que te faire peur, ils ont malgré tout laissé passer Josette. Pourvu qu’elle trouve rapidement du secours sinon ça va être hard, heureusement je connais bien ce petit bois, il faut que je prenne une décision, pour le moins rapidement. Aller hop c’est parti ! Je pris les jambes à mon cou et me faufilais entre les arbres. J’essayais de repérer chacun des sentiers où je passais, surtout ceux qui me feraient arriver à l’orée, mais cette bande de malades me talonne de près, ils veulent vraiment me casser la gueule ces cons. Impossibles de semés mes loustics, et au bout de dix minutes à les promené, je suis nase et revenu à mon point de départ, je vais bientôt sortir du bois, et les copains ne devaient plus être très loin. Avec cette condition que ma Josi les ait trouvés rapidement, c’est ce que j’espère en tout cas. Je commence à paniquer, ils sont tout de même cinq et moi je suis seul et pas des plus épais, ils me font chier tous ces mecs à toujours se croire au-dessus de tout. P225

 

**Je pensais pouvoir me rabattre et reprendre cette fuite entre les arbres, mais dans le sens inverse, peine perdue ce coup-ci, ils m’avaient encerclé. Il ne me restait plus qu’une solution ! Prendre vite les devants, en décrochant un coup de poing dans la gueule et un coup de pied dans les burnes, au premier qui se présentera devant moi. Ce n’est pas de bol pour dents cassées, qui face à moi se prend le tout dans le pif et les joyeuses. Il recule en saignant du tarin avec les deux mains sur les couilles, il a des larmes aux yeux. Il cria à ces sbires, cassé lui la gueule à ce petit con bordel de merde, je me reculais quand un coup de pied m’atteignit sur le côté gauche, j’eus la respiration coupée nette. Je tombais à genoux sur le sol, je saisissais une branche qui ce trouvé a ma porté et qui tenait à peine dans ma main et la jeter dans les jambes de celui qui arrivait face à moi. Elle le fit tomber comme une merde, quant les trois, autres commencèrent en tournant autour de moi à me distribuer des coups de pied et poing.  Je tentais de me relever afin de redistribuer coup pour coup !  P226

 

**Mais cela me fut impossible, il me laminait de tous les côtés, le dos, les jambes, le ventre et le visage, je tentais de me protéger au mieux de mes mains. L’un des cinq ! Plus vindicatifs que ces compères, ramassa la fameuse branche et m’en asséna un coup violent sur le crâne. Dans le même intervalle, il me cassait la branche sur la cuisse gauche, elle paraissait pourrie, mais ça me fit très mal. La douleur fut tellement forte que cela me coupa la respiration, je ne parvenais pas à sortir un cri, pour cause qu’un coup de pied m’avait touchée en pleine mâchoire. Pendant ce temps, ses comparses s’en donnaient à cœur joie, à croire qu’ils se motivaient entre eux.

*Ils m’envoyaient quelques coups de pied dans les cotes, le ventre bas-ventre, dont un me lacéra le sexe et endolorit mes calots. Je saignais d’un peu partout, recroquevillé sur le sol  je n’arrivais plus à me défendre ! J’étais sonné et ne réagissais à aucun des derniers coups qui me furent portés. Les derniers coups de pied finirent par me casser la jambe, je le compris en ressentant une douleur fulgurante et poussant un cri. P227

 

**M’a respiration fut coupé une seconde fois, puis plus rien, j’étais dans le cirage,  puis à un moment je rouvris les yeux, amusement ou vengeance, ils me déshabillèrent, me laissant nu comme un ver, j’avais à ce triste moment beaucoup de mal à reprendre ma respiration. Car ma douleur avait atteint une telle ampleur que je pensais en moi-même que j’allais réellement crever, puis, je ne ressentis plus rien. Je suis une seconde fois dans les vapes, et ce petit instant est pour moi la seule et meilleure chose qui pouvait me rendre service. Un côté libérateur à ma peur et cette souffrance, par petits moments, je reprends un peu mes esprits, et je les entends rire et ce faire des propositions de vengeance diverse, sur le moyen de me faire souffrir ! Du style, si on lui fourrait un bâton dans le cul, ça lui fera les pieds à cette petite fiotte ou encore, et si nous l'attachions à un arbre et qu'on le fouette avec des orties, ce serait marrant, etc. Les cinq m'avaient ligoté les bras à un pied d’arbre après ils mont flagellé avec une fine branche d'arbre, une douleur pas trop ressentie vu que j’étais évanoui. P228

 

**Ils s'en trouvaient content de leur fait vu qu’ils me crachaient et me pissaient dessus, fin prêts à partir avec mes fringues. Par chance, Josette rappliqua en le leur criant ! Hé les fumiers, on arrive attendaient nous. Elle était suivie d'une vingtaine de potes de là citée. Ce qui leur permit à certains de me voir nu pour la première fois, mais avant tout de faire le constat de mes très nombreuses blessures. Plusieurs de mes potes regardaient mon physique déplorable, couvert de terre et de sang-mêlé, et ils lancèrent vers les autres. Mais ! Qu’ès qu’ils lui ont fait ces cons ! Putains c’est dingue ça, ils sont malades ces mecs.

*Les cinq tarés en voyant mes potes s’étaient écartés de moi, leur faisant face à présent avec des gueules défaite. J’entendais quand même les premières paroles de la bande, donc l'abrutit de dents cassées, qui en prenant la parole proposa d'en rester là. Josette leur répliqua aussitôt qu’il n’en était pas question, vue dans l’état où ils m’avaient mis. Pour elle, la vengeance est un plat qui se mange très chaud et non froid, œil pour œil, dent pour dent. P229

 

**Deux amis sont venus me libérer et m'aidaient à me rhabiller, mais je perdis connaissance, tant j’étais secoué et perclus de douleurs. L'un des deux me remit mes fringues, me tirant de temps en temps à mes absences un cri. J’ouvris les yeux justes au moment où Willie en profita au passage pour me caressait mes bijoux en me disant.

*Excuse-moi Sergio, je remets tout en place, il est beau ton matériel, mais ils te l’ont drôlement esquinté cette bande de pourris. Je vais te poser mon mouchoir dessus, car ton joli bijou saigne beaucoup. Je ne lui offrais qu’un rictus, je savais depuis peu qu’il était porté vers le côté garçons lui aussi, je n’avais pas à le juger, actuellement j’étais dans la même phase que lui. Et puis, je lui suis très reconnaissant d'être là avec autant de cran, je ne disais donc rien de blessant à son encontre, de toute façon, j'avais trop mal pour dire un mot. Ma Josette me soutenait la tête, et m'embrassait souvent sur la bouche en pleurant, ces larmes salées me coulaient entre les lèvres et elle me disait, mon pauvre Sergio. P230

 

**Pendant ce temps, mes amis étaient en pleine distribution de marrons, via les cinq cons qui avaient du mal à éviter les coups répétés. Ils ne faisaient plus le poids et ils rigolaient moins ! De loin j’entendais dents cassées qui appelait sa mère ainsi que le bruit sourd des coups de poing. Cela me résonnait dans ma tête et ça me faisait aussi mal qu’à eux, et malgré l'envie de vomir qui se formait près de mes lèvres, je priais mes potes d'arrêter de cogner sur ces abruties. La leçon était suffisante ! Ça suffit, arrêté le massacre ! Que je leur disais ! Mais une douleur me rappela à la réalité, je toussais et envoyais du sang sur le bras de Josi, qui se mit à crier !

*Il va mourir vite, il faut y aller merde à la fin, et la bagarre cessa d'un coup, chacun s'approcha de mon corps, et le constat en fit pleurer Willie  une seconde fois, quand l'un d'eux fit cette réflexion. La vache, ils l'ont drôlement esquintée quand même, Josette répliqua. Oui hein ! Heureusement son visage est resté intact, il a quand même eu du bol, mon Sergio. P231

 

**J’arrivais ni à me lever ni à poser le pied au sol, et je leur fais savoir que j’ai la jambe cassée à hauteur du tibia, ne sachant pas que c’est lui qui est rompu. Tout comme la douleur que j’ai aux côtes, et qui fait que j’avais beaucoup de mal à respirer, donc, mes amis proposent de ne plus me bouger. Les cinq abrutis sons ligotés les uns aux autres, et leurs fringues sont retirés pour faire suite à une décision de transport. Improvisant la fabrication d’un brancard, ils le font avec deux branches épaisses qu’ils glissent dans les manches des pantalons, le haut bloqué par une ceinture. Prenant aussi quatre fines branches pouvant faire office d'attelles, liées avec d'autres ceintures ou lambeaux des chemises, prises aux connards. Heureusement, je ne pèse pas lourd, même pas 30 kg pour 1.58 m. Par chance, nous ne sommes pas très éloignés de la maison, enfin tout est relatif trois kilomètres avec un poids mort, ça finit tout de même par faire lourd. Ma vue fut brouillée, et j'avais l’impression que la voix de mes copains s'éloignait de plus en plus de moi, j’étais de nouveau hors course. P232

 

**Josette est à côté de moi me tenant la main, elle pleure en jurant par tous les diables, si jamais je ne me rétablis pas, qu’elle se vengerait. Mais moi je suis pour moitié dans le cirage durant le temps ou ils me transportent jusque chez moi, qui pour toute l'explication donnée à ma mère fut que je suis tombé avec mon vélo dans un trou de six mètres de profond du côté de la carrière de la future autoroute. Maman, avec beau-père, ne cherche pas à en savoir plus, ils me font monter dans la Panhard avec bien du mal, et le plus vite possible me transporte au dispensaire, qui se trouve dans le centre à Blanc-Mesnil. En arrivant dans la salle d’attente, je suis pris aussitôt en charge par un médecin, mais quand il me voie dans cet état. Cela tourne un peu à la grosse panique, je suis couvert de sang et de boue de la tête aux pieds. Alors la toute première chose qu’ils firent, ce fut de me déshabiller, j’en étais incapable, les douleurs me vrillaient le corps je ne pouvais le faire moi-même. Me laissant en slip sur une table, le toubib demanda à l'assistante de me surveiller, le temps de récupérer ces instruments. P233

 

**Il revint assez vite pour m’ausculter et de quoi me faire une piqûre pour soulager mes douleurs, le peu de temps où j’ouvrais les yeux, je voyais que maman pleurait, cela me rendis triste et me fit pleurer aussi, le mal aidant. Mais ça ne dura pas, la douleur et les nausées m’on reprit de plus belle, et du sang me sort d’une oreille, du nez de la bouche abondamment, je suis de nouveau semi-inconscient. Je comprenais à peu près ce qu’il se disait, mais, comme d’un écho lointain, puis en vint assez vite le diagnostique du toubib qui est plutôt inquiet. Un trauma crânien, deux côtés fêlés, une jambe cassée à hauteur du tibia, des lacérations sur tout le corps, dont une profonde sur le pénis. Le médecin fit savoir à mes parents qu’il faut me transporter d’urgence en ambulance vers l’hôpital le plus proche. Mais en l’attendant, ils me feront les premiers soins, un bandage serré autour du thorax, une infirmière recoud ma plaie à la tête et bloque ma jambe dans de vraies attelles, puis elle termine à me poser des pansements sur les plaies du corps, le médoc fit son effet avant que l’ambulance arrive et me charge. P 234

 

**Je suis souvent inconscient, alors pour ce qui sera de la suite, ce furent les infirmières et les colocataires de chambre qui me raconteront les détails. Ceci se fera quand je me réveillerai à l’hôpital, cinq jours après un état semi-comateux. La police accompagnée de la DASS est venue voir mes parents à l'hosto pour savoir si cela n'était pas du a de la maltraitance, mais le témoignage des copains fut crucial sur ce qui mettait arriver. Cela coupa court à toute mauvaise interprétation, personne n'a voulu parler de cette rixe dans le bois, pour la seule évidence que plusieurs copains n'étaient pas bien vus par la flicaille, à cause de petits délits mineurs et les cinq abrutis en firent le silence aussi. P235

 

Un drôle de malade

 

**Chargé dans l'ambulance, celui-ci prit d’urgence la direction de l’hôpital de Pantin, mes parents prirent la suite en profitant de leurs gyrophares et avertisseurs. Pour une fois, que mon beau-père pût rouler vite sans crainte de la police, il en profita. Après mes cinq jours dans un semi-coma, à mon réveil, j'avais la bouche pâteuse et l'esprit flou quand j’ouvris les yeux, je regardais une jeune infirmière qui m’épongeait le front et le torse en l’humidifiant avec de l’eau fraîche.

*Enfin réveillé me dit elle, c’était grand temps joli cœur, tu nous as fait un peu peur.

*Le tout fut dit avec un sourire à faire péter les boutons de braguette ! La visite des médecins survint presque aussitôt, en quelques minutes, ils sont à donner des directives sur mon cas. J’écoutais sans vraiment entendre ou comprendre ce qu’il disait, je constatais peu à peu mon état, ma jambe gauche dans le plâtre jusqu’au genou et le torse bandé à partir du ventre et bassin en grand partie plâtré. P236

 

**J’avais la boule à zéro avec un bandage, comme si j’avais un chapeau de fakir, plus une ribambelle de pansements du plus petit aux plus grands éparpillé sur le corps. Je regarde vers mon matos, à cause d'une douleur aiguë, et du fait que j'avais envie d'uriner. J’avais la tige enrubannée comme une momie égyptienne, il ni avait que le gland qui faisait son apparition ! Deux infirmiers entrèrent, puis me soulevèrent délicatement afin de me déposer sur un brancard. Elles prirent la direction de la salle de toilettage, et là l’une d’elles me mit nue comme un ver puis me laissa. Une fille mignonne pour le peu que j'arrivais à capter entra et commença par me laver le visage, les bras, le torse, la jambe valide, puis les fesses en partie cacher par le plâtre. Elle parvint à mon bas-ventre, insistant sur les parties basses de mon corps, je suis sûr que ce fut volontaire de sa part. Surtout quand elle changea le pansement sur mon sexe qui s’émoustilla un peu à cette gentille manipulation. Mon pénis prit de plus en plus de volume, mais il est encore endolori et me fit mal, ce qui calma mes ardeurs. P237

 

**Je savais aujourd’hui ce que représenter la nudité pour les autres, à cet instant je me sentais des plus gênés, mais ça ne dura pas longtemps. Et me souriant, continua de me tripoter, et me dit, c’est bien ça, tu vois, ça fonctionne encore. Mais ! On verra ça quand tu seras plus en forme et sans son pansement, hein ! D'accord joli cœur, tu en as pour un mois et une semaine d'hôpital ! Ouais tu parles ! J’en avais pour un moment avant de la retrouver ma forme physique. Elle était belle avec ces grands yeux noirs, ces longs cils de biche, elle devait avoir dans les 25 ans. Prétentieusement, je me disais ! J’espère avoir l’occasion à lui prouver que je sais être un mec reconnaissant. Voilà trois semaines de passé, mes côtes se sont ressoudées, ma jambe est posée à plat, et mon crâne retrouve assez difficilement sa chevelure. Et mon plâtre au bassin retiré, j’avais une fracture légère a cet endroit, mes petits pansements avaient disparu, laissant la place à de petites croûtes. Pour ce qui est de la trinquette, plus de ruban, mais une cicatrice à vie et peut-être un retard dans son agrandissement futur. P238

 

 **Si cela m’arrive ce sera à cause du choc fait sur mon attirail de garçon, c'est ce que m'a dit un infirmier super mignon. Pendant ce séjour, mes voisins de lits sont, un garçon de 13 ans et un jeune homme de 17 ans assez sympas. Les parents de Roland le plus vieux viennent le voir tous les jours. Il lui apporte des gâteaux et autres friandises, des illustrés et une quantité de fils à scoubidou. La grande année de la chanson de Sacha Distel, des pommes, des poires et des scoubidous ! Nous en fabriquons tous les trois, sous forme du concours du plus rapide. Je perds tout le temps, mon esprit se trouve ailleurs, je pense à mes copains et mes copines surtout à Josette, imaginer son corps me travaille l'esprit. Ce qui est sûr ! C’est que je peux encore bander, donc, me faire plaisir, et je ne me gêne pas, le faisant tous les soirs, même si cela m’apporte un peu de douleur.

*Mais, revenons à ce jeune homme, qui me fait profiter dans son absolu comme il me dit à toutes ces douceurs personnelles, que ses parents lui apportent souvent. P239

 

**De son physique, il fait plutôt très précieux et du haut de son corps fluet, il me couvre de son regard pétillant et bleu foncé. Quand il fait des gestes, ils semblent aussi fluides que celle d’un danseur de ballet. Il fait aussi des effets de têtes constamment afin d’envoyer sa chevelure, châtain foncé très abondant sur l'arrière, il se promène volontiers nu, le matin dans la chambre sans avoir de complexe, pensant que l’on dort. Je le trouve mignon et bandant, mais je ne lui ai pas dit, et la dernière semaine, je dois réapprendre à marcher, tout recommencé comme si j’étais un bambin. Alors Roland s’est porté tout de suite volontaire auprès des infirmières, il cherchait à m’aider, pour mes fameux premiers pas, tout en me soutenant de son corps. Je constatais dès le troisième jour, que ses mains touchaient mes fesses fréquemment, ou ils les posaient sur mon ventre ou bas ventre afin de m’éviter de basculer sur l’avant avec des Hop-Là, attention, doucement tu vas chuter. Tu sais ! On a le temps, je suis tout à toi dans l'absolu de ce que ton corps veut. P240

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