| 13 /12 ans, bafoués violés.**Avec Shana on se retrouvait dans un grand appartement en colocation d’amies à elle, pour l’instant ces frères n’étaient pas au parfum de nos coucheries. Et moi j’étais bêtement en train de tomber amoureux d’elle, malheureusement pour moi, de Shana ce n’était pas le cas. Elle eut la gentillesse de confirmer qu’elle m'avait trouvé très sexe, mais elle voulait aussi plus d’aventure amoureuse avant de se fixer avec un garçon. Elle me le fit comprendre, qu’un soir après avoir ouïe dire, de mes amis, les jumeaux corses, dire à une amie que j’étais un bon coup au lit. C’était flatteur pour mon ego qui venait de remonter dans les sondages de mes amis, qui avaient un léger doute sur ma sexualité hétéro. Tout ça à cause de certains de mes copains qui ne se cachaient pas de leurs préférences sexuelles. Pour l'heure, je n'avais plus de travaille, et pas une tune, pour moi cela devint compliqué je n’aimais pas que l’on me croit profiteur. Mes visites chez Shana allaient s'arrêter du fait que ses frères avaient su par les copines de Shana, ce que nous faisions de nos journées libertines. P361
**Alors évidemment ne voulant pas de conflit avec sa famille, elle avait décidé de rompre, je fus un peu chagrin à cette nouvelle. Je me suis mis à la recherche d'un petit boulot, la seule chose que j'avais réussie à trouver, ce fut la distribution de prospectus pour un homme de 30 ans, sympa et mignon, qui était ophtalmologue. *J'avais compris presque tout de suite, que mon physique de jeunot intéressait cet homme rien qu’a sa façon de me regarder, avec des yeux de gourmand et déshabilleur J'en avais profité pour lui soutirer un boulot hyper bien payé, mon travail était de distribuer près de dix mille prospectus et chiffons en peau de chamois, dans les boîtes à lettres. Il me payait pour l'époque 8000 F, afin d'être sûr que j’allais en faire la distribution, plus quelques mains baladeuses de sa part, qui ne me gênait en rien, mais, qui allait me permettre avec certitude d’être rémunéré. Il me paya en cash à la fin de mon boulot, puis aussitôt, il me proposa une nuit avec lui en me payant plus cher, ce que j'avais refusé. Mais dans la semaine qui suivit, il me réitéra cette demande ! P362
**Il me demanda si je voulais habiter chez lui, en échange de câlins, je venais tout juste de refaire l'amour avec une femme, ce n’était pas pour retomber dans les bras d’un garçon. Quand bien même, il fut très mignon, il n'avait pas insisté, mais demandé de réfléchir à cette proposition. J'allais une autre fois redistribuer pour lui, notre rencontre fut sèche et il voulut moins me payer, à cause de mon refus premier surement. Alors je décidais de le rendre amoureux, ce fut si facile, que cela en était pathétique, il bavait que de me regarder penché, au-dessus de ses boites de prospectus. Je me suis donc décidé à accepter ses envies, en faisant entorse à ma décision de retrouver les mâles. Nous avons fait l'amour le soir même, pour les jours suivants, il me supplia de rester, je le sentais épris, son regard était devenu très doux et sa voix suave. Je partais toute la journée cherché du travail, pour ne pas l'avoir tout le temps collé à moi. Mais le soir en arrivant, il se comportait comme un enfant qui a retrouvé son jouet préféré, il fermait le magasin tôt, pour m’emmener au restaurant. P363
**En rentrant, il n’en finissait pas de me caresser, il me faisait l’amour avec une grande tendresse, et moi j’avais accepté d’être le régal de ses nuits. Quelques nuits plus tard, il me demandait de le sodomiser, voulant sexuellement connaître une plénitude avec moi. Il n’avait jamais tenté cette expérience, ce soir-là quand je me suis glissé dans son abime avec rage, cela lui fit comprendre qu’il aimait cette position au mélange. Par la suite, je devenais son homme, il ne désirait plus que cela, deux mois passèrent, puis un matin, je décidais de partir définitivement, il devenait d’une jalousie extrême. La jalousie restait pour moi la pire des choses à vivre, j’avais constaté qu’elle brisait les couples. Puis un jour Josèphe Alberti me proposa par l’intermédiaire de sa fille aînée une place dans l’hôpital Thonon, là où elle y était infirmière. Un travail pour la saison d'été, et cela tombée pile-poil dans ma période du rien à faire et du même coup échappé à l’ophtalmologue. Je me trouvais a ce moment souvent logeait chez parrain Alberti, dans le même lit que ses fils, mais nous n’y faisions rien que de dormir. P364
**Ce boulot, n’était pas compliqué, je préparais les caissons de repas, plus les boissons et je faisais la distribution à chaque service maladie, du rez-de-chaussée aux étages. J’avais à faire le lavage des dits caissons, et ensuite je décrassais les chariots de transport, puis je nettoyais les marmites de cuissons dans la cuisine, j’avais tout de même l’avantage du petit déjeuner et d’être nourri le midi. Je commençais à 6 h du matin et je finissais à 15 h, je faisais ce travail même le dimanche ! Le soir, je retrouvais toute ma famille corse et chaque fois ils voulaient que je dine avec eux. Ils seront de mes amitiés les plus vraies eux qui m’avaient accepté comme-ci j'étais de leurs enfants, ce fut aussi de cette façon que j’aurais l’honneur de rencontrer mon futur deuxième parrain du milieu. J’avais connu cette famille corse de façon banale, se fut par l’intermédiaire de l'un de mes frères, il allait dans le lycée de Villiers-le-Bel, les fins d'après-midi, j’allais le chercher à sa sortie, et il fréquentait la même classe que Franki et Domi, petit à petit nous nous sommes liés d’amitiés. P365
Mes amitiés corses.
**Franki et Domi sont jumeaux de descendance corse par le père et Malgache de leur mère, deux très beaux spécimens mulâtres. Cette rencontre serra une belle réussite, et notre amitié fut instantanée de même que celles de leurs parents et leurs deux sœurs. Josette 17 ans et Myriam 24 ans, la plus jeune, épousera un Parisien. Elles me regardaient toutes les deux avec des yeux de pure camaraderie. Ce clan, je le voyais tous les jours après ma sortie de travail, je passais mon temps libre chez eux, souvent il m'invitait à leur table. Il hébergeait leur grand-mère maternelle, une pure Malgache qui vénérer ces petits-fils comme des princes. Ces deux-là ne se privaient pas d’abuser de sa gentillesse, comme leur maman qui elle aussi les couvait, et comblait de cadeaux. Josèphe leur père me parlait souvent de leur vie d'avant, celle qu'il menait à Madagascar. Sur cette époque, Josèphe était un propriétaire très heureux, il possédait une scierie, ce qui le faisait vivre aisément. P366
**Il y avait dans ses ateliers une vingtaine d'ouvriers, et par ce fait, il était considérer comme une famille privilégiée, aussi du fait qu’à leur service travaillaient quatre boys et une Mama doudou qui leur préparé tous les repas. Jusqu’au jour de l’indépendance malgache ! Ils furent obligés en emportant le strict minimum de quitter le territoire rapidement. Comme il avait de la famille sur Paris, ce fut là qu'il décida pour le travail de s'établir. Chaque fois qu'il me parle de son histoire, sa voix reste chargée de trémolo, ça lui est resté en travers de la gorge. Il en veut au gouvernement de l’avoir abandonné et surtout, mal indemnisé lors de leur retour en Métropole. Heureusement, Josèphe Alberti en connaissait bien de gens, il avait de la famille bien placée sur l'ensemble de la France. Quelque temps plus tard, Josèphe me fit la proposition de me faire entrer comme personnel d'entretien du secteur plomberie pour le Musée du Louvre. Ce qui ma foi, j'avais accepté avec joie, j'allai enfin avoir un travail journalier, donc un salaire pour enfin me permettre de construire ma vie. P367
**Entre temps, j’allais aussi croiser un personnage qui allait marquer ma vie sentimentale d’une façon surprenante. Ce fut le premier cadeau que la vie me faisait depuis que je baguenaudais parmi les adultes, la société que je considérais maintenant comme corrompue et malveillante. *Le Musée du Louvre me procurera de vraies satisfactions, et de belles connaissances que je n'aurais probablement jamais cherché à vouloir acquérir. Le Musée du Louvre, je le visitais de bas en haut, de long en large et en travers, en allant même dans des endroits où l'on n'avait pas pour habitude d'y baguenauder. Le musée m’offrait l'opportunité de découvrir toutes les merveilles de la peinture, la sculpture, l'ébénisterie, et l'orfèvrerie des temps anciens. *Les dépannages ne sont pas compliqués, je me promène dans tous les salles et ateliers divers, plus que je ne travaille, et par la suite, je me suis rendu à une tout autre évidence, qu’à ne pas faire grand-chose, je devenais paresseux à cause de ce manque d'occupation, et par-dessus tout autre alternative, je m'ennuyais à mourir. P368
**J’y suis resté tout de même deux belles années, quand pour finir, je donnais ma démission, sur un coup de tête. Josèphe m'en a voulu au début, il ne voulait plus me parler, il pensait surement que je l’avais trahi. Mais, avec le temps, il comprit que je voulais bouger, c'est là qu'il me fit connaître un parent à lui José Bastiani. Je lui rendais quelques petits services, principalement de livraisons de paquets sûrs Paris et sa banlieue et divers autres courriers non prohibitifs. Ce fut justement en faisant ces petits voyages que j’allais par hasard rencontrer mon deuxième parrain Fiorini et ces deux fils. Un de ces fils Freddy qui a 17 ans avait flashé sur moi dès que l'on s'était rencontré, je le revoyais très souvent en copain. Mais son jeune frère Lucky, depuis qu'il meut aperçut, me faisait des clins d'œil ou avance indirect. Et chaque fois que je me trouvais chez eux, Lucky voulait me faire la bise comme à un frère ? Mais sa bouche comme par hasard déviée chaque fois près de mes lèvres, quand ce n’était pas dessus carrément. Je ne m’offusquais pas de cela, mais je craignais que son frère croie que je le drague. P369
**Nous sommes souvent tous trois et parfois avec Francky et Domi, tous les cinq, nous sortons dans pas mal de night-clubs, boîte de strip-teases, ou sex-shop, dont le père, de Lucky et Freddy était propriétaire. Sans oublier que nous allions voir les filles qui étaient sous la protection de parrain à faire de la prostitution, et picoler dans des Bars américains, ou dormir dans ses hôtels de passe. Bref ! Pour moi ce n’était pas facile d'adhérer à leur façon de vivre, mais pas non plus la grosse galère. J’en avais pris mon parti, mais il me fallait faire attention aux gens que je croisais, je devais faire gaffe constamment à tout ce que je disais où entendais. Parrain avait de la concurrence qui était des plus vindicatifs, même entre Corses, il avait surtout des problèmes avec les Siciliens et autres ethnies arrivés sur place, souvent ceux du Maghreb. Avec Francky, Domi et Freddy et parfois Lucky, trop jeunes, nos nuits étaient longues avec des invitations un peu partout dans Paris ou banlieues aisées. De Saint-Germain-des-Prés à Saint-Germain en Lay, en passant par Pigalle, Place Blanche, Saint Denis. P370
**Nous allions dans le 16e arrondissement ou de nombreuses partouzes nous étaient offertes, là où plusieurs femmes s’occupaient de notre corps. Des partouzes où l’on t’enduit le sexe avec du caviar avec léchage en règle par deux nanas. Quant aussi on se désaltérait avec du champ, qui coulaient entre les seins d'une belle et nous le buvions entre les cuisses de celle-ci. Par la suite je fus invité au fameux bal des petits lits blancs, des super plans culs pour garçons de tout âge pour des pervers de haut lieu politiques, bons nombres d'entre eux auraient peut-être dû ce caché le visage beaucoup mieux. Comme certains grands présidents ou bras droits de société, qui auraient dû se méfier. Comme des photographes paparazzis malveillants, qui avaient eu vent de ces fameuses soirées. Planquer dans l’immeuble en face avec des appareils off course, ils avaient pris de belles photos hard. Une histoire qui a bien failli se terminer en tragédie pour certains, ce qui arriva bien entendu à d’autres moins protéger. Je fus à espérer pour ceux que nous connaissions si bien, que cela n'aille pas plus loin. P371
**Nous trois ont sans balançaient de la politique ou des magouilles monétaires ne comprenant rien, mais, ont se marraient comme des petits fous, sans savoir que ce milieu pouvait être dangereux. Nous matons ce petit monde qui se permettait de juger le peuple, les envoyait en prison, les ruinés parfois. Tout en sachant qu'eux-mêmes étaient mouillés dans des mêmes affaires sombres et dés plus salaces. Un soir de septembre 1971, sur les coups de 23 h 30 au night-club le (Blue Bell girl) nous avions été prévenus par un fils de Bastiani, qui avait un indic dans la police, l'arrivée de la police des mœurs et des jeux. Ce fut un peu la débandade ce soir-là, car une grande partie des gens de la haute société, diplomate étranger, et nous-mêmes étions visés. Nous sommes sorties sur l'arrière du bâtiment, une porte avait l'aspect du mur, mais caché par une tenture. Tous les trois inconsciemment nous nous étions vraiment bien amusés. Durant d'autres soirées nous avions revu ces personnalités hommes et femmes entrées pour des plans de drague dans le Shinoghai, qui ce trouver sur Pigalle. P372
**La spécialité de cette boite était le striptease lesbien, homo, hétéro, et en fin de soirée, les stars de cette boite ressortaient sur l'arrière du club, mais jamais seul. Nous allions aussi dans certaines boîtes homos ou pas, comme (le Blow boy, le royal Élysée, le sous-marin vert du côté de Saint-Denis), qui fréquemment était visité par la police des mœurs. C’était exactement le même refrain dans les salons privés où l’on y retrouver les mêmes gens des hautes sphères, secrétaire de haut dirigeant, député, député-maire, nos princes de la finance et des juges. Tous ces hommes vieux vicieux et bedonnants pour la majorité des cas ne faisaient aucun effort sur leur physique. Pour moi ils n’avaient aucune règle de déontologie, je les voyais plus affreux que les mafieux, la puissance politique, celle de l’argent était la pire des choses à côtoyer. Un rouleau compresseur pour ceux qui ne voulaient pas jouer avec leurs règles, à aucun moment, tu ne pouvais dire non, sans en payer le prix fort ! C’était souvent alléchant le côté argent facile pour un jeune, et je fus tenté par certains de ces messieurs beaux parleurs. P373
**Mais heureusement parrain m'en avait dissuadé en me disant que le risque était important pour moi, ceci tout en me citant le nom de personnes auxquels cela était déjà arriver, entre leurs mains, je ne serais qu'une petite marionnette en papier. Pour moi ce fut une déception, me voyant déjà riche et crains, depuis la désolation de ces propos, je me sentais plutôt mal dans ma peau vu que je n'avais pas retrouvé de boulot. je devais au plus vite m'en éloigner de ce monde politico fric, sinon j’allais me laisser embarquer dans toutes leurs merdes. À la fin de cette soirée, j’étais à me rendre bien compte que je n'avais pas trop le choix, et qu'il me fallait retrouver d'urgence un travail. Freddy avec deux cousins à lui étaient arrivé entretemps et désirer me changé les idées, ils m’avaient donc embarqué dans une boîte brésilienne. C'était trop cool ! Une très, très chaude ambiance régner, et dés le début je me suis laissé draguer par une nana ultra belle. Je n'en revenais pas que je puisse lui plaire, durant un slow, elle avait fait que de me tripoter, et moi je me laissais faire. P374
**Alors quand elle me proposa le deal de la suivre, je n'ai pas hésité une seule seconde, ça me parut incroyable qu'elle me fasse une telle proposition. Nous sommes parties bras dessus bras dessous jusqu'à ce que l’on arrive dans son appart, je me suis débloqué rapidement, mais elle avait été plus rapide que moi, en la retrouvant dans le lit à m'attendre. Elle a commencé tout bonnement par me faire un buccal, ce qui bloquer c'était que, constamment, elle repoussait ma main, à chaque fois que je descendais vers sa fleur. Je patientais avec ces seins fermes son ventre plat, son petit cul pommé qui m'exciter terriblement. Elle a fini par diriger mon sexe vers son œillet rose, bon, et bien elle voulait absolument que je commence par ce côté. Ce n'était pas rare que les filles soient prises de cette préférence, je décidais donc de sauvagement la pénétrer comme un macho, afin de lui montrer que je n’étais pas à ces ordres, mais elle avait aimé cette façon sauvage. J’en profitais donc pour faire une visite vers son chaton, y glissant une main qu’elle ne repousse pas ce coup-ci. Alors là surprise. P375
**Ce qui m’attendait était de taille, la demoiselle avait en sa possession un bâton de 18 cm avec la poche à calots. Ce n'était pas une fille, mais un travelo, vraiment tout ce qu'il y a de plus beau, une réussite de transformation. J’y étais, et j’y restais, je ne me démontais pas, décider de lui faire l’amour. Il ou elle paraissait étonnée de ma réaction, d’ou aucune colère émaner de moi, mais son plaisir fut grand, et le mien pas moins. Mon sexe continué à se masturber dans son fourreau, pendant que moi je lui triturais ces boules, en lui branlant son sexe érectile. À la fin de nos ébats pas une parole, du style, on se revoie quand tu veux, pourtant, j'aurais bien aimé tant je trouvais qu'il était parfait, bref on s'est séparé le plus simplement du monde. Je suis retourné dans la boîte pour y gagner de me faire charrier, ils se sont bien foutus de ma gueule toute la soirée. Je pensais être le seul à savoir, Freddy et ses amis savaient qu'elle n'était autre que lui, mis à part moi de toute évidence. Ils m'avaient demandé pour quelle raison j'avais été si long après avoir constaté mon erreur. P376
**Je ne voulais pas leur divulguer ma préférence de sexualité masculine, en ne sachant pas ce que seraient leurs réactions. Je n'avais vraiment pas d'autres choix que de leur mentir. Je m’étais borné à leur dire que je m’étais trouvé trop con pour revenir tout de suite, par fierté mal placée. Mais, Freddy avait un putain de doute, a l’aperçu de ses questions poser, mais comme dirait son père le silence et une réponse comme une autre. Sans à être précis dans le détaille nous sommes donc vite reparties chez son père, retrouver Lucky qui nous attendait à 22 h pour fêter son anniversaire. Le petit chou a eu ses treize ans, et quand on arrive, Domi Francky Freddy sont allé dans la cuisine y chercher de quoi boire, étant déjà hors de vue, Lucky m'étreignit fortement, pour sitôt m'embrassait avec force sur la bouche et des larmes coulaient de ses yeux noirs jusque sur mes lèvres. Alors je lui disais que j’étais plus que désolé que l’on soit en retard ! Mais il me coupa la parole en me disant dans l’oreille que son plus beau cadeau ce soir c’était de m’avoir contre lui, qu’il m'aimait depuis longtemps. P377
**Puis il rajouta, je voudrais savoir comment on fait l'amour avec un garçon comme toi, je restais muet à cette question, j'avais bien remarqué qu'il me reluquait avec envie. Quand en plus des petits baisés détourné qu’il m’offrait, mais de tout cela, je ne cherchais pas à l'encourager. Je ne voulais surtout pas avoir des ennuis avec parrain, mais je l'embrassais tout de même sur ses lèvres rose foncée. Et je lui promettais qu’un peu plus tard ce serait surement possible, mais qu’il nous fallait attendre. Tout en lui disant cela de ce bouche à bouche, je ressentais ses mains parcourir mon dos et descendre à l'intérieur de mon pantalon frôler mes fesses et son appendice contre le mien avait durci. La vache il ne se rendait surement pas bien compte qu’il me faisait terriblement envie, son corps était bien joli à regarder. P378 Surprise et méli-mélo d’un soir
**Je suis à la recherche sur une nouvelle façon de gagner ma vie ! Ma décision fut la restauration, je suis timide, mais surtout pas fainéant. Maman m'a trouvé une place dans un bon restaurant qui cherché un apprenti serveur. Je vais passer quatre mois et demi de débutant dans le restaurant (les centurions), situé à Villiers-le-Bel. Mon patron n'est pas un mauvais bougre, il gueule beaucoup, il m'apprend les ficelles du service en salle, dont les découpages et autres finesses. Je ne suis pas bien payé, mais, avec ma petite gueule d’ados, je me fais de bons pourboires. Un petit apprentissage des plus rapides, et heureusement pour moi je pige très vite, surtout du fait que le métier me plaît. Au deuxième mois, je pensais déjà être au point, donc durant un service tenant dans une main comme un pro trois assiettes qui contiennent des glaces (une cassate, plombière, et un mystère arrosé au Grand Marnier). Sortant de la cuisine, je fis sur place un quart de tour d'un mouvement sec. P379
**Et voilà mes trois glaces qui traverses la salle pour s'écraser au pied de mes clients, qui se sont éclaté de rire à me voir faire le fanfaron, et moi je suis rouge de honte de cette erreur, j’ai donc fini mon service sans faire d’autres prouesses. Ma deuxième honte ce fut lors du service banquet de mariage, je pris une bouteille de campagne qui avait été un petit peu bousculé. Et là tout fier de mon savoir-faire péter le bouchon sans en mettre partout, j’allais pour l’ouvrir, quant elle retomba sur la table. Le bouchon s’éjectant elle tournait comme une toupie sur la table, arrosant tous les convives qui se trouvaient autour de cette table, ainsi que la mariée qui s’y trouvait. Mais elle ne m'en voulut pas, riant de ce baptême non prévu, me disant que cela devrait lui porter chance. Un peu plus dans le temps, un ami me proposa de bosser dans le drugstore où il était, à Thonon-les-Bains sur le bord du lac. Opportunité que je ne pouvais occulter, un nouveau pas à franchir dans mon métier. Même si cela au début me paraît difficile en tant que chef de rang, en comparaison du peu à savoir encore acquis. P380
**Mais le salaire et des plus convaincants pour un jeune garçon comme moi, et qui veut absolument son indépendance pécuniaire et profitée de sa vie. Ce sont les années où la rémunération dans la restauration est faite au pourcentage, la méthode est pratiquée dans l'hôtellerie. Le système est simple, nous touchons 15 % sur les recettes client, donc, le calcule est vite fait, plus tu vends, plus tu gagnes, il m’importait peu la quantité d'heures de travail que je fasse. J’avais donc accepté cette place sans trop y réfléchir, tout en pensant que j’étais au point. Mes premiers jours furent une catastrophe de mon manque de métier, si bien qu'en fin de semaine, le directeur de salle faisait savoir à mon pote qu'il n'allait pas pouvoir me garder si je ne m'affolais pas plus. Je m'en doutais un peu, ce ne fut pas trop une surprise, j’avais constaté que mon manque d'organisation était dû à ma panique. Cette remontrance portée à mes oreilles par Xavier me fit peur, je me voyais déjà perdre mon taf, cela m’avais donné un coup de fouet, alors dès l ma seconde semaine, je me suis organisé au mieux. P381
**Je décidais de copier certains serveurs qui me paraissaient les plus compétents, ce qui fit qu’à la fin, du cinquième jour, je m’étais retrouvé à être le meilleur serveur, j’avais réussi à faire péter le compteur de ma caisse. Je me suis senti pour la première fois très fière de mon métier, en ayant réalisé de cette façon la plus belle vente de vin haut de gamme, ce qui jusqu'à présent ne s’était pas encore fait. J’étais soulagé ce soir-là, content de faire partie des champions de vente et muni d’un beau salaire. En six jours, j'arrivais à gagner le salaire d'un mois. Je me faisais en moyenne 12 à 14 heures de travail par jour, mais c’était mon choix de vouloir me faire du fric ! Je m'amusais avec cette manne, en passant mes nuits dans des boîtes ou dans des restaurants chics, avec mes collègues de boulot. Je dépensais pratiquement cet argent dans sa totalité, je comblais avec abus mes années de vaches maigres. Un peu plus tard comme je me trouvais un peu loin de mon travail, je décidais de me trouver un logement sur Enghien, mais c’était rare de trouver un studio ou même une petite chambre de bonne. P382
**J’avais demandé à tous ceux que je connaissais et cherchant moi-même de mon côté, j’avais fini par trouver après deux semaines une chambre dans un hôtel particulier. J’allais me trouver sur Épinay-sur-Seine, à environ 10 minutes à pied de mon boulot, ce sera provisoire, ce que j'espérais. La chambre possède un grand lit, une petite armoire et un lavabo, la douche était au bout du couloir. Le matin suivant ma première nuit en prenant la direction de ladite douche, une porte de chambre se trouvant à gauche s’était ouverte. Et là devant moi se planté un garçon à moitié nu, la vie m’offrait une surprise en relevant la tête. Joan ! Il était toujours aussi mignon, un peu plus mâle en cause de ses quelques poils sur le nombril, imberbe du reste, son visage est d'un beau juvénile. Il me regarda de ces grands beaux yeux verts clair, un sourire devenu coquin éclairé son fin visage, vu la trique visible qu'il ne cachait pas. Instinctivement, il embrassait ma bouche, fiévreusement, puis il me poussait à entrer dans sa chambre. Je le ressentais d’être encore de cette chaleur extrême d’amour. P383
**Aussitôt les questions fusèrent de sa bouche légèrement pulpeuse et passant sa langue sur ses lèvres de façon gourmande, ses mots sortaient à l'allure d'une mitraillette. Je n’avais pas le temps de lui donner de réponses, que d’autres venaient à suivre, quand enfin vint la grande question, celle qui vous emmène à autres temps passés. Joan continua de parler, pressée de savoir ce que je faisais dans la vie. Que fait tu-là, j'étais sûr que l'on ne se reverrait plus, mais si tu savais les fois où j'ai rêvé de toi dans mon lit, je me sentais flatté de cette phrase, qui me propulsait a des souvenirs sulfureux, et aux moments que nous avions eux avant. Puis il me dit ! Je travaille au restaurant boîte de nuit le safari club ! As-tu un peu de temps devant toi. Attendant ma réponse avec impatience, je ressentis sa main se crisper, et ces ongles me rentraient dans la peau ! Ma réaction fut vive. Aie ! Oui, je suis de congé aujourd'hui, mais, arrête de me déchirer le bras avec tes ongles, tu me fais mal ! Enfin. Joan s’excusa ! Moi aussi, ça tombe bien, hein, mon Sergio ! Je suis vraiment trop heureux. P384
**As-tu quelque chose de précis à proposer, sinon on pourrait aller boire un verre au bar, autrement on peu restés dans ma chambre s'amuser à notre jeu favori. Il n’attendit pas ma réponse, que sitôt il retirait ce qui lui reste de fringue, c'est-à-dire rien, puis il retira les miens tout en embrassant tous les endroits qu’il découvre. Je me laissais faire, il est toujours aussi bien fait, je bandais déjà à la pensée que nous allions faire l'amour. Je me suis retrouvé couché sur son lit, ses mains me tripotent le corps, me lécher et me masturba de sa bouche. Je faisais exactement la même chose sur lui, son physique me rendait fiévreux, en lui travaillant l’antre de ma langue, il gémissait de ce plaisir retrouvé. Puis il se retourna m'offrant ces fesses en évidence, demandant de lui évaser sa rondelle, je le ramonais d’un immense plaisir. Au moment où j’allais décharger, il engouffrait mon sexe dans sa bouche afin d'avaler tout le sperme qui giclé. . Il ne s'arrêta qu’en me léchant mon ouverture sombre, et commença à me glisser son phallus dans ma rondelle et moi je le laissais faire de mon envie de son corps. P385
**C’était trop bon de sentir sa silhouette fluette contre la mienne, comme au temps de la rue François Rudes. Ensuite, il se colla contre moi et mon sexe en érection était contre son ventre et l’on était à se parler de nos rencontres, il m'avoua qu'il faisait l'après-midi le turbin sur le Quartier Latin, ayant des dettes à résorber rapidement. Tout en me parlant, il n'arrêtait pas de remuer son sexe contre mon pubis comme s'il voulait que je le prenne encore. Évidemment moi j’aime faire l'amour, donc passer 15 minutes j’écartais ses cuisses et glissé mon sexe dans son orifice encore humide de spermes, je me souvenais alors que ça l'exciter terriblement quand je ressortais mon sexe complètement, et le pénétrer sauvagement. À mes mouvements, il exulta de plaisir, et tout à cet échauffement il vint à me dire qu'il m'aimait comme un fou. J’éjaculais une seconde fois, et ce coup si je restais à l’intérieur de son tunnel, pas encore rassasié, je restais sur lui l’embrassant sur tout le corps, ma langue se promener sur sa poitrine, son ventre et s’amuser avec son nombril, je ne pensais plus a mon rendez-vous. P386
**Ma bouche faisait un va-et-vient entre chaque aine et au passage, sucé son sexe et ses couilles, je finissais nos ébats en l’enfilant une troisième fois. Puis, je me souvins de mon urgence. J'avais un rendez-vous avec un propriétaire pour une location, que j'avais eu grand mal a dégoté, je le disais donc à Joan pour qu'il me lâche. Et afin de terminer l’entrevue, je pris la direction de la douche. Il me suivit pour que l'on se lave en duo, et sous la pomme, ce fut lui qui me lava, il insista tellement sur mon matos que je triquais comme un âne. Je le sodomisais encore sous l’eau chaude de la douche, mais bon il fallait être sérieux, j’avais ce rencard, et cela devenait urgent. Je sortais et filé dans ma piaule, enfilant mes habits vite faits, et me voici parti à mon rendez-vous. En arrivant à ma destination, je me trouvais devant un petit immeuble bourgeois situé sur l’arrière de la cure thermale d’Enghien. Le 11 rues des thermes, je me trouvais à quelques minutes du drugstore où je travaille, la dame qui me reçut devait avoir pas moins de 80 ans, elle me fit pensé a maman nana, ce fut elle qui me fit visiter le studio. P387
**C'était pile-poil, ce que je cherchais, j’étais plus que preneur évidemment, et par chance la mamie me trouva gentil, elle acceptait de me le louer sans rechigner, sans aucune avance de loyer. Je pouvais emménager dès le lendemain si je le voulais. Quand je suis ressorti de l'endroit, je me sentais super heureux, et pour fêter ce coup de chance, je décidais d’allé en boîte, j'avais choisi sans nul hasard le safari club, là où travaille Joan. J’étais sûr que ça lui ferait plaisir de me revoir et avec un peu de chance, nous finirions sur le même lit à nous réchauffer, on arriver au mois de mars, il faisait encore un frisquet sur Paris et banlieue mondaine. Mais avant j’allais au lackstore prendre quelques verres afin de m’offrir de l'assurance, n’étant toujours pas guéri de ma timidité et mon peu d'assurance à l'égard des gens. En arrivant dans au Safari Club, je saluais mon pote Michel le videur. Je longeais tables et banquettes dans une quasi-nuit et j’aperçus Joan au bar, mais en levant la main pour le saluer. Celle-ci fut saisie de force, putain que je me disais c’était quoi encore cette merde qui allé me tomber dessus. P388
**Me tournant vers la table d'où cette main me tirer avec force, je pensais en moi-même, encore des embrouilles, elle me fait chier cette vie ! Je me retournais et dis alors ! Vous voulez quoi, bande de cons ! J'injuriais ces personnes sans chercher à savoir ce qui où ce quoi ils voulaient. Je ne finis pas ma fin de phrase, me retrouvant face à face avec Yann, Thibaut et Florent, wouah la belle surprise ! Cette soirée allait être chaude. Yann me prit par la main et me tira en direction de la piste de danse, c’était ce dont je croyais, hé bien non ! Nous nous sommes retrouvait dans le petit salon privé, je l’avais suivi sans comprendre ce qu'il me voulait, il referma la porte et mit le loquet, et sitôt déboutonna ma chemise et embrassa ma poitrine et descendit vers mon pubis faisant glisser mon futal pour y absorber mon sexe déjà en attente. J’aidais son mouvement de bouche en lui disant, tu es bien presser mon chouchou. Voilà qu’il s’excitait encore plus en se retournant et appuyant ses mains au mur. Je continuais d'embrasser son corps imberbe, et le lécher comme un beau grand glaçon. P389
**Mais ce glaçon était tout aussi bouillant qu’un volcan et il voulut absolument que je le prenne par l’arrière, ce que je fis sans trop me faire prier, son petit trou serré a toujours été un plaisir à écarter. Il se mit à jouir debout, son sperme gicla sur le mur et moi j’habillais les parois de son trou. Puis, je léchais son sexe d'où son sperme sucré et épicé coulé encore, puis je lui roulais un patin de retrouvailles. De retour sur la piste de danse où nous attendaient les deux autres loulous avec un regard envieux ! J’avais aperçu furtivement, un beau brun métis, mais quant nos regards se sont croisés, il avait enflammé ma vie. Mais à cause de cette grande timidité, l'abordé mettait comme faire le parcoure du combattant. Je me sentais électrisé, totalement hypnotisé à chaque fois que je regardais dans sa direction. Donc je décidais de demander à Florent s'il voulait bien tenter de ma part de lui parler et l'inviter à notre table. Mais le temps où il se retourna mon beau brun, avait disparu, affolés je le cherchais de mes yeux où il put être. Il s’était si vite évaporé dans la foule, que j’en avais des larmes aux yeux. P390 |