| 11 /12 ans, bafoués violés.**Et quant je me suis réveillé ma peur latente était de plus en plus présente, je pensais en moi-même comment tout cela allé finir, il pourrait me tuer pour ne pas avoir de témoin. Tard dans la nuit, disons plutôt au petit matin, au fait que je voyais le jour passer sous la porte ! ils avaient cessé de me torturer en jetant sur mon corps meurtri une couverture crasseuse, j'avais presque l'impression de revivre. Et ceci quant bien même j’étais ligoté écartelé avec un tabouret entre les jambes , je n’avais rien mangé depuis la veille et mon estomac gargouillé. J’allais pouvoir dormir, ne serait-ce qu’un peu afin que mes douleurs elle aussi s'endorment, je n’avais jamais eu autant mal sur tout mon corps. Au petit matin, les adultes m'avaient détaché, je me suis retrouvé assis devant la table, n'osant pas bouger de peur que cela soit pris pour une provocation. La femme m'avait apporté un grand bol de café trop sucré et des petites madeleines. Après m’avoir laissé me restaurer, ils me firent entrer dans la chambre qu’ils occupaient, l’homme me jeta sur le matelas comme un sac de linge sale. P301
**M’écartant les jambes des siennes, il m’évasa l’anus assez violemment pour ensuite faire la même chose à sa compagne pendant que je les regardais. Je venais juste de comprendre que les jeunes n’étaient pas là, vus qu’ils ne s’étaient pas présentés à cette orgie. Le temps de leur petite affaire mes pensées ne furent pas lubriques, mais plutôt accentuées par une trouille monumentale, je ne savais pas ce qu’ils vouaient faire de moi. Et en sortant de la chambre avec sa compagne, le mec me dit alors de sa voix la plus grave. *Toi tu ne bouges pas de là, où je te tue illico. *Puis, il claqua la porte d’un coup sec, derrière ce mur en bois je les entendais rire, le temps passa ! J’avais la sensation que cela faisait une éternité que j’attendais à les voir venir et finir ce que je supposais qu’il me ferait. Soudainement j’entendis une voiture démarrer et s’éloigner, j’avais encore trop peur pour aller voir, je patientais donc. Et dans une demi-somnolence, une heure plus tard et dans une crainte des plus totales, je me décidais à sortir de la pièce le plus silencieusement possible, la porte grinça, je la refermais aussitôt. P302
**Rien ne se passa, je me tentais de nouveau a sortir de la chambre, je vus que j’étais seul dans la maison, mon stress venait de chuter à zéro, je m’asseyais tant mes jambes étaient en coton. Sitôt que mes esprits furent un peu retrouvés, je récupérais mes habits éparpillés dans la salle. Et là tous mes vêtements sont en grandes parties déchirés, je m’habillais péniblement en ayant peur que le couple resurgisse subitement. Je sentais le fauve, mon corps était couvert de trace de fouet et de bleus. Mon entre-jambes et le reste de mon physique étaient couverts d'effluves corporels masculin et féminin. J'essuyais le plus possible tout ce qui coulé sur mes jambes et mon torse, avec un chiffon qui traîné sur la table. Puis, je me décidais a sortir de la maison, hébétée apeurée, je le suis retrouvé sur le chemin. J’avais du sang sur le visage et le corps, et des fringues tout dépenaillés. J’ai eu cette chance de croiser une dame âgée, mais, en me voyant dans cet état, elle prit peur en poussant un cri et reculant ! Je la suppliais donc en pleurant ! Aidé moi, je vous en pris, s'il vous plaît, madame. P303
**Comprenant qu'elle n'avait rien à craindre, elle me demanda ce qui mettait arrivé, alors je lui expliquais en peu de détails mon agression tout en pleurant. Elle me fit comprendre que l’habitation était abandonnée depuis un an, que sa maison ne se trouvait pas loin, elle m’y amena et me donna ce qu’il faut pour que je me nettoie le visage et le reste, et gentiment elle m’offrit des vêtements propres, que son petit fils de 16 ans avait laissés. En discutant je lui disais qu'il fallait que je rentre chez moi pour 8 h sinon mon frère allez surement s'inquiéter et que j'allais être en retard pour reprendre mon travail ce matin. La dame me fit savoir que nous étions dimanche, je réfléchissais et comprit que cela faisait trois jours que j'étais prisonnier, moi qui ne pensais avoir passé qu'un malheureux jour. La gentille mamie demanda à son voisin et ami, qu’il me conduise à ma destination, il a une Chevrolet vert amande des années 1950. La mamie voulut aussi téléphoner à la police, mais je la supplie de ne pas le faire, en lui disant que j’aurais cette honte de devoir expliquer tout ça à mon patron ne sachant pas sa réaction. P304
**Pour ce qui était des flics encore moins, m’auraient-ils cru eux, ma mère en aurait été informée aussitôt, alors là, il n’en était pas du tout question. Écoutant mes arguments, la dame décida d'adhérer à ma demande. Je ne savais pas du tout comment faire ni trop quoi lui dire afin de la remercier de toute cette extrême gentillesse, je l'embrassais très fort et lui dit une phrase des plus bête et vainement banale. Lui souhaitant une vie des plus longues et des plus heureuses, et son voisin venait d’arrivée, il me fit savoir qu’il était prêt à m’emmener. Nous sommes grimpés dans son auto, puis, sans me poser de questions superflues il me déposa devant mon logement. Et n’arrivant chez moi, je m’étais affolé, pour pas grand-chose mon frère n’était pas à la maison. Quant à vouloir rentrer rapidement, à la maison, signifier plus à me sentir protéger. Mais maintenant je ne pensais qu’à une seule chose, c’était à me doucher afin de retirer ces odeurs qui me restaient collé à la peau comme un habit de douleur. Je frottais mon corps vigoureusement, jusqu’à ce que je ressente la douleur d’une brûlure. P305
**Ensuite je me décidais à faire un vrai repas, mais ce ne fut pas si simple, je n’avais envie d’aucun aliment se trouvant dans le placard. J’avais cette affreuse impression d’avoir encore du sperme qui me couler dans la gorge. Tout en pleurant sur ma bêtise à ne pas être plus méfiant, je me suis mis à boire du lait et encore du lait jusqu'à en vomir. Ma pensée était confuse, je ne croyais plus à ce monde, j’étais persuadé d’être une âme maudite, les personnes qui évoluaient autour de moi se trouvaient souvent dépravées. Je les attirais, comme un aimant attire le fer, l’arbre la foudre et la vie la mort, serait cela ma seule possibilité à vivre une vie plaisante. Il fallait absolument que je me débarrasse de cette vie, j'en avais marre, mais je ne savais pas comment faire pour arriver à vivre sans cette crainte qui devenait de plus en plus présente près des humains. J’en venais à ce triste regret que durant ces journées de dépravation, ce que mes huit prédateurs ne mets pas tué. Cela m’aurait procuré un arrêt définitif à toutes tourmentes sexuelles de la part des hommes et femmes. P306
J’étais devenu un souffre douleur pour les gens qui croisaient mon chemin, j’étais à me dire que de mourir m’aiderait à vivre mieux. Alors pour la seconde fois je me suis remis à écrire des poèmes sur mes terreurs, mon dégout de vivre à ce que je croyais de l'amour entre humains, sur mon désir de retrouver mon chemin d'enfant à renaitre. Comment peut-on croire qu'un dieu puisse laisser injustement faire toutes ces atrocités vers une âme pure, un garçon qui ne voulait rien d'autre que vivre une vie plus sereine, loin d'une famille en désaccord ? Mon constat restait grave, je n'arrivais pas à écrire des moments qui me serait beau, la plupart de mes mots ne sont que de maux tristes. Maman nana avait raison en me disant que la vie n'est qu'une tartine de merde avec un côté de confiture, où chaque jour qui passes-tu en manges un bout, et selon la grosseur de cette bouchée, tu reçois plus de bon ou de mauvais. Le lundi à mon travail, je n’étais pas du tout à ce que je faisais, il y a dès moment où tout me revenait, j’avais souvent des nausées avec une envie de vomir qui se faisait. P307
**Et quand j’allais aux toilettes, j’avais du sang dans mes selles, en plus de douleurs au ventre constamment et des sueurs mouillant mon maillot. Je me faisais houspiller de ne pas être à mon travail, si bien que je finissais par ne plus avoir de goût à rien. La semaine suivante, mon frangin JC réussissait à me faire embaucher chez BELMIRA, le patron de cette boîte m’était apparu sympa, je savais que j’allais travailler sur des dépannages en banlieues avec un compagnon se nommant Florent. Un homme très gentil et prévenant, il connaissait son métier, et il me le retransmettait sans nulle restriction. Même quand parfois je posais trop de questions, il restait aimable et poli, réussissant à me faire aimer ce métier. Le soir, nous rentrions souvent tard, il me raccompagnait chez moi, cela m’arrangeait bien, étant donné que je n’avais plus de moyen de transport. Il me parlait beaucoup et voulait savoir si j’avais une copine, son petit nom, et bien entendu comment je l’avais connu. Et puis comme une évidence si je mettais déjà mélangé avec elle, et aussi quels étaient mes loisirs et ma préférence pour certain sport. P308
**Bref, je trouvais qu’il me portait beaucoup d'intérêt, moi je trouvais tout cela gentil et hyper sympa, qu’enfin quelqu’un me trouve d’un intérêt. Il me parlait aussi beaucoup de lui, il m faisait savoir qu’il n’avait plus de fiancée, depuis une déception. Au bout de quelques semaines, il me conta son histoire avec cette fille, elle avait voulu lui faire croire qu'elle était enceinte de lui. Alors qu'elle coucher avec son copain depuis deux ans, et que lui de toute façon il ne pouvait pas avoir d’enfant. Depuis, il ne faisait plus confiance à ces demoiselles, il me fit comprendre qu’il était dans le célibat et comptait bien le rester. Il avait acheté un vieil appartement de trois pièces sur le Raincy dans un ancien immeuble bourgeois. Et il l’avait retapé lui-même du sol au plafond, mais comme il n’avait que ses week-ends pour faire les travaux, ça lui pris deux ans. Il se sentait fier d'avoir un chez lui, montrant à son frère ainé qu'il pouvait, lui aussi, construire son nid. Revenons à l’essentiel de ce garçon plein de surprise ! Un soir, il se proposa, de me le faire visiter, quand cela me conviendrait. P309
Mon histoire avec Florent en 1966.
**Un jour, nous sommes rentrés plus tard que d’habitude, il fait déjà nuit noire, il m’invita donc à prendre l’apéro chez lui, et par la même occasion de me faire visiter son nid refait avec amour. Vu le retard pris pour la soirée, je me suis laissé convaincre, de toute façon je n'avais personne qui m'attendait à la maison. Il en vint à me proposer de rester diner chez lui, comme ça, il ne resterait pas seul pour son repas du soir. J’ai accepté son invitation étant donné que ma soirée n’était en rien compromise par autre chose depuis que je vis seul. Mon logement était petit, et pas très bien éclairer, presque insalubre, malgré les travaux faits par JC, pour le rendre vivable. Mais ce soir je n’avais pas envie d’être seul, j’avais un sacré bourdon ! Cela m’arrivait de plus en plus, depuis mes démêlés avec la race humaine. J'avais donc accepté de l'accompagner pour finir ma soirée chez lui, durant le trajet fait avec une 404 Peugeot bâchée de la société, il m'avait offert une cigarette bastos blonde. P310
**J'aimais son odeur et au début je me mis à tousser un peu n'ayant jamais eu l’opportunité de fumer, le problème avec la cigarette c’est que l’on s’y habitue vite, principalement quand on possède un fort stress. Quelques minutes plus tard, une seconde clope prenait possession de mes lèvres et quand je me suis mis à avaler la fumée, elle me fit encore plus tousser jusqu'à me sortir des larmes. Florent s'est mis à rire en me disant que cela lui avait fait la même chose la première fois ! Fin de cette discussion banale sur le pouvoir de la clope ! Nous sommes arrivés chez lui, je pénétrais dans son appartement avec tout de même une petite crainte. Je n’en connaissais pas la raison, mais, cela m'arrivait à peu près partout depuis mes déboires, surtout quand je n’étais pas habitué a l'endroit. Son logement était superbe, meublé avec goût et finesse, très moderne ! Et pour me mettre dans une ambiance cool, il me fit écouter un morceau de musique connu de Cat Steven, il me servit un verre, moi qui lui avais dit de me servir n’importe quelle boisson, je ne savais pas que les alcools me réussiraient si peu. P311
**Ce fut mon premier whisky coca, je n’en avais jamais bu, alors aux seconds verres cela ma suffi largement. La tête me tourna ! Je ne me sentais pas bien avec ces nausées plus des bouffées de chaleur. Aussitôt Florent me dit, de m’allongeais sur le divan, et de me mettre à l'aise. Puis il alla chercher quelques glaçons qu’il posa sur mon front. J’acceptais tout ce qu’il me disait, vu que je n’allais vraiment pas bien, j’avais fermé les yeux à cause de la pièce qui vacillée. Il m’aida à ôter mon pull et dégrafa ma chemise, puis il desserra ma ceinture, je me laissais faire tant, je me sentais malade. De toute façon, j’étais persuadé à n’avoir rien à craindre, même si mes pensées redoutaient le mal, il aimait les filles. J’étais bien allongé sur son canapé à moitié nu, il épongeait mon corps en sueur d’une serviette. Sa main était posée sur mon ventre qu’il massait délicatement remontant sur ma poitrine ! Un petit moment plus tard, je lui disais que je ne me trouvais pas bien du tout, et que j’allais certainement mourir. Il éclata de rire, et en me souriant me rassura sur mon état de garçon un peu alcoolisé. P312
**Et là tout en me disant des mots pour calmé mon angoisse, il profitait de cet instant pour s’excuser de mon état, je le comprenais à peine pour le moment, je suis un peu ivre et de cette façon profondément perturbé, surtout depuis tous ces viols. Il finit par se décider à m’avouer qu’il avait usé de ce stratagème pour m’attirer dans ces bras, et son lit, si l’occasion s’en faisait. Je suis désolé Sergio, mais j’avais vraiment une trop grande envie de voir ton corps nu et le caressé avec amour. Juste après cette petite parenthèse, et comme je ne répondais pas a ce qu’il m’avait dit, au bout de trois minutes, ne pouvant plus contrôler ses envies lui-même, il retira ma ceinture, descendit ma braguette et fit glisser mon pantalon puis mon slip. Il attendit de nouveau à voir ma réaction, mais je ne disais toujours rien à cause de ces satanées nausées qui persistaient allègrement. Il se mit à caresser et à embrasser mon ventre, mes cuisses et de chaque côté de l'aine, saisissant mon sac et le plaça dans sa bouche, puis promena sa langue sur mon pénis de haut en bas, et très vite l’engouffra. P313
**Il me dévorait de sa bouche, tout comme le fit sa main qui était à se promener avec une douce rage sur mes fesses mon corps, j'avais toujours mes nausées, mais ça ne m'empêchait pas de triquer telle une bête qui est en rut au milieu de l'été. À un moment précis, il mouilla son pouce et frôla mon anus, et il me l'introduisit, cela me titilla tellement que j'éjaculais, je l’entendais déglutir, mais je n’allais pas mieux. Quand je me décidais à ouvrir les yeux, je l’aperçus nu devant moi, il avait un superbe matos avec une sacrée touffe de poil pubien d'où apparaît son érection. Elle était tel un geyser de chair surgissant entre deux vallons, et ma main se posa sur son objet. Il m’embrassa et me roula une vraie galoche, puis retourna sur mon bas ventre. Son sexe se trouvait à la hauteur de mon visage, il me le glissa dans la bouche, voulant que je lui fasse une fellation, ce que je lui fis jusqu’au moment où je ressortais son sexe de ma bouche, j’avais envie de vomir. Il éjacula autour de ma bouche et dans le cou, alors se penchant vers moi il me lécha tous les endroits où son sperme m’avait aspergé. P314
**Mon envie sexuelle était au plafond, et mon corps était parsemé de tremblements, j'avais un besoin beaucoup plus harde, il me fallait autre chose. Je commençais à resurgir de mon néant alcoolique. Florent ayant ressenti mon envie, m'aida à me lever et me prenant par la main m'attira dans sa chambre. Je titubais un petit peu, l’alcool n’était pas totalement dissipé, il me poussa sur son lit, puis il se tint au-dessus de moi et renouvela ces chaudes étreintes, et de plus en plus précises à son abandon. Il me léchait les sœurs et le phallus qui par intermittence le fit entrer dans sa bouche. J’avais maintenant cette envie folle de lui fouiller l’intérieur de son trou, il était très excité. Il me regarda en s’agenouillant sur son lit les fesses en l’air, attrapant mon sexe, il le plaça devant son ouverture de reproche mâle. Florent d'une voix doucereuse me demanda à lui éclater sa rondelle rasée de près, et mon gland entra à l’intérieur de son corps impatient ! Il fit alors un brusque recule afin que je rentre plus profondément dans son fourreau, qui se trouvait brûlant de partage. P315
**Puis en prenant ma main, il la passa entre ces jambes, saisissant son sexe pour que je le tire sur l’arrière, ceci pendant que je rentrais en lui. Je fis donc ce qu’il me demandait et tirer donc son sexe entre ces jambes, il poussa de forts cris de jouissance. Et tout en se caressant le bas-ventre et son faisceau de combattants sexuel, il finit par se déverser sur le drap. On faisait l’amour depuis plus d’une heure entre hommes, j’étais fatigué et mes yeux se fermaient tous seuls, certainement à cause de l’alcool. Lui aussi semblait fatigué, et nous nous sommes endormis, et quand enfin je me réveillais, il avait sa tête sur mon ventre avec mon sexe en érection en partie dans sa bouche. Je me retirais doucement et me rhabiller sans faire de bruit afin de ne pas le réveiller, nous étions sur un dimanche matin, jour de repos. Au moment où j’allais partir ! La voix de Florent m’interpella. *Tu pars déjà ! Comme ça, sans rien me dire. Si tu veux Sergio ! Tu m’attends, et je te raccompagne chez toi, il faut juste que tu me laisses le temps de m’habiller, je n’en ai pas pour bien longtemps, prend un café en attendant. P316
**Je me trouvais un peu con sur le moment puis, j’acceptais sa proposition ne sachant pas du tout comment rentrer chez moi, nous avons pris cette collation matinale tout deux et dans le silence. Nous voici dans sa voiture, et pendant le trajet, il me demanda si je lui en voulais pour ce qu’il a fait, et si l’on pouvait se revoir en dehors de notre travail. Je boudais un peu, et lui répondit que je devais réfléchir à sa demande, il s'excusa encore, de m'avoir fait boire et du reste qui sans suivi. Tu me pardonnes de t'avoir un peu abusé, je t'ai trouvé super sexe malgré ton âge, tu m'as rendu fous de toi. Tu aurais dès vendredi qu'à me dire d'accord pour l'apéro de dimanche, si tu le veux évidemment. Moi, je restais silencieux ne sachant pas où cela allait encore m'emmener, une fois de plus je tombais sur un mec qui aimer les mecs. Et le lundi matin en arrivant dans l'atelier, je fus convoqué avec un autre apprenti par un des chefs de chantier. Celui-ci me fit savoir que je partais travailler à Aulnay-sous-Bois, une future citée de mille logements et qu’il me prendrait le matin devant chez lui à La Courneuve. P317
**En sortant du bureau, il y a Florent qui me dit de le suivre avec empressement dans la réserve, il m'embrassa sur la bouche tout en glissant une main dans mon slip. Je le lui disais d'accord pour l'apéro afin d'écourter ces envies, il repartit aussitôt en prenant l'autre sortie. Lui par contre, il allait continuer ces dépannages avec un apprenti 2 ans plus âgé que moi. Florent ne m’a pas donné de ces nouvelles de la semaine et de la suivante. Je m’en foutais un peu vu que je lui en voulais un peu malgré tout de m’avoir trompé, et le lundi suivant mon patron me convoqua. Il me fit savoir que j’avais fait beaucoup trop d’heures, et qu’il m’octroyait une huitaine de congés pour la fin de la semaine. Au moment où j’allais sortir, le boss me donna une petite enveloppe de tunes pour mes heures faites tardives, ceci sur l’avis de Florent. Je fus surpris, tout cela tombé plus que bien, j’avais peu d’argent, je me sentais très fatigué. Dans cet entre-temps mon frère m’avait laissé son logement, il avait emménagé avec sa copine sur Drancy, maintenant je vivais vraiment seul, et je trouvais cela normal. P318
**On ne se voyait que très peu, sauf quand on se retrouver en visite chez maman frères et sœur, pas aussi souvent qu’elle le voudrait. Mais en ce moment, le soir, je suis trop nase pour faire une sortie, mis à part pour faire les courses et ça me suffisait largement. J'ai du goût à rien en entrant le soir mis à part écouter la musique que j'aime, je suis sur les Beatles et autres musicien. Ce dimanche matin, il sonne huit heures à mon réveil, je me sens en pleine forme et je pris ma douche en sifflotant. Quand on frappa à ma porte, je ressortais de la douche et me recouvré d’une serviette autour des reins. Quand j’ouvrais la porte ! Devant moi se trouvaient deux jeunes et beaux garçons d’environ 16 ans. Ils sont très fins et sexy, avec de longs cheveux retombants sur leurs épaules, et des yeux vert clair pour l'un et Noisette pour l'autre. J’allais pour leur demander ce qu’ils veulent ! Quand une voix m’interpella, et ce fut mon Florent qui apparut devant ma porte. *J’en restais bouche béer ? Il entra et aussitôt déposa un baiser goulûment sur ma bouche entrouverte. P319
**Il fit cela avant que je n’aie eu le temps de dire quoi que ce soit, et dans la lancée me demanda un petit service. *Salut Sergio, ça m’arrangerait si mes neveux pouvaient attendre chez toi, juste le temps que je fasse une course urgente. *Bah oui que je lui répondais encore surpris, sur ce il fit demi-tour et repartit aussitôt. *Les jeunes entraient sans aucune hésitation et m'embrassait sur la joue, moi bêtement, je leur demandais leurs prénoms et l'âge qu'ils avaient. *Le premier me répondit moi c'est Joan, j'ai 16 ans et lui c’est Yann, un copain il a 15 ans. Je les questionnais évidemment, afin de savoir ce que je pouvais pour eux sur l’instant. Bon ! Que voulez-vous que l’on fasse en attendant le retour de Flo. Et bien me dire-il ! Si l’on pouvait se doucher, ce serait pas mal, on est partis assez vite ce matin. Bah ! Tiens, hein pourquoi pas que je répondis en pensant que c’était une jolie blague d’écolier. Sur mes mots, ils se déshabillèrent sans complexe, ils furent nus tous deux en quelques secondes, en matant si je m’offusquais de ce fait. P320
**Il y a au moins une chose que je voyais à coup sûr, ils étaient bien foutus et leur sexe était au garde à vous. Ils s'approchèrent de moi et en même temps tiré sur ma serviette, voilà, et bien maintenant, je suis dans le même état qu'eux. Je les regardais les yeux froncés et leur fis ! Ouais ! Tu parles d’une douche, surement à prendre sans eau a priori ? Yann qui était devant moi, se colla plus près de mon corps, posant sa main sur mes trois pièces et les caressa. Joan se glissa derrière moi, frottant son sexe sur mes fesses, bisant mon dos jusqu’aux reins. Moi, je restais hésitant et leurs demandais, ce qu’ils voulaient, quant bien même si je voyais où ils désiraient en venir, j'attendais avec nervosité, la positive confirmation de leurs caresses. J’avais envie de faire la chose avec ces deux jolis cœurs, le matin pour moi me donnait une force sexuelle peu comparable à celle de la journée. Ne me dit pas que tu n’as pas compris me dit Yann, l’air un peu vexé, on voudrait faire l’amour avec toi, ce n'est pas plus compliqué, ou alors c’est que l’on ne te plait pas tous les deux. P321
**Bah non, vous êtes trognons, je m'en doute que je leur rétorquais, mais il va en pensé quoi votre oncle Florent s'il apprend ça hein. Les deux en cœur éclataient de rire ! C’est lui qui nous a dit que tu es une bête de sexe, c’est pour cette raison qu’il est reparti. On t’a pour nous tout seul, c’est bien non. Yann se baissa vers mon érection et absorba mon pénis, cependant que Joan en continuait à me caressait me lécher les fesses. Puis il se releva et glissa sa langue entre mes lèvres pour une pelle, et tout cela devint un peu plus harde finissant par me faire tomber sur le lit. Ce sont deux diablotins d’amour, ils sentaient le pain d’épice, leur peau avait un goût suave. Joan son fessier au sol avait la tête posée sur le lit, Yann lui mit son sexe dans la bouche et ses deux mains en appui sur le lit. Joan l’aidait à faire le va-et-vient dans sa bouche de ses mains sur ses fesses. Ce fut alors que Yann me demanda de l’introduire, je plaçais mon sexe sur son trou et m’introduisait en lui. Plus je rentrais en lui, plus mon sexe devint dur et gros, mon mouvement de bassin suivait le leur au son du pendule. P322
**Tous deux n'arrêtaient pas de faire des (hum, c'est bon, ha oui va encore plus profond en moi). Joan arrêta de sucer Yann, qui s’était faufilé entre nos jambes, moi je suis toujours encastré dans Yann qui a sa tête posée sur le lit, les fesses bien en arrière. Joan est derrière moi et il me poussa un coup sec, je tombais sur Yann, mon sexe entra complètement avec violence dans son anus. Il poussa un cri (ha, ho oui encore plus loin). Joan c’était aventurer derrière moi, et glissa son sexe entre mes fesses, il s’y frottait et du même coup en chatouiller mes calots. Yann s’était décollé de moi, et me sucer le cylindre, je me retournais et joué avec le matos de Joan, puis il c’est allongé sur le lit ! Je lui élargissais sa jolie rondelle, lui défonçant son joli petit cul, presque vierge tant son chaud fourreau me semblait serré. Yann monta sur le dos de Joan à califourchon, comme cela je pouvais titiller son bâton avec ma bouche. Et l’on a fini par se calmer pour cause du manque en sperme, il est dix heures trente, je suis vidé et les deux petits monstres se sont endormis, j'en avais un de chaque côté de moi. P323
**Ils avaient leurs mains posées sur ma devanture quelquefois quelle s'envolerait, tout en me caressant en dormant, je me disais que malgré tout ce que je pensais honnir auparavant, j'aimais faire l'amour à des garçons, j'appréciais ce côté glissade masculine. Je les dévorais avec mes yeux d’amour et d’envie, ils sont vraiment très beaux un vrai bonheur, et rien qu’à cette pensée, je me remis à triquer. Les petits étaient sensibles aux variations, ils resserrèrent leurs doigts sur mes bijoux. Moi, je caressais leur sexe et le corps, avec un vrai plaisir, et cette petite manipulation a tôt fait de redonner des envies à Joan qui se colla à mon sexe toujours en érection. Ses fesses bien en arrière, il ne m’en fallut pas plus, je lui enfilais mon phallus dans son petit trou rose tout juste défloré qui me faisait des appels. Et Yann se réveilla saisissant mes roustons et les tira en arrière, donnant à mon sexe plus de raideur et longueur. Puis il me fouilla l’anus avec ces doigts et sa langue, je me laisse pénétrer par lui, son sexe n’était pas bien gros, mais plutôt longiligne et brûlant de désir. P324
**Il me fit mal quand il alla trop loin en mon intérieur, après cela, je me suis assoupie tout en rêvant à ces deux petites merveilles, au corps fluet imberbe, de surcroît proportionné à souhait et vicieux ! Sa frappa à la porte. Je sortis de mon rêve en sursaut, et me lever, enfilant mon fute rapidement, j’ouvris à Florent qui était de retour, il avait fait les courses pour ce midi. En entrant, il regarda vers le lit, et il me dit, alors Sergio tu en penses quoi de mes deux petits monstres. Je lui répondis ! Ils sont très chaud les chéris et très sympas, et de surcroit, super bons au lit. Tu me les as laissés exprès, c'est sympa de ta part, je ne pensai pas du tout que des garçons de mon âge pouvaient en savoir autant. Il me répondit, tu les as aimés ! Alors, tu me pardonnes pour la dernière fois entre nous mon chéri. Ce mot, mon chéri m’interpella, c’est la première fois qu’un garçon me le dit avec cette douceur dans la voix. Les deux petits princes s’étaient réveillé, se levant, ils enfilèrent juste leurs jeans, et quand ils passèrent devant moi, je ne pus pas m’empêcher de leur caresser le ventre les fesses. P325
**Puis je posais un baiser sur leur visage, ils avaient la peau aussi douce que celle d’une fleur, et on se prépara à manger, on avait tous faim et le repas fut vite bâclé. Après le repas, on avait décidé de se faire une toile dans le cinoche du quartier. Il passait le Décaméron, de Pier Paolo Pasolini, un film italien que je ne connaissais pas. Le choix de Florent ne m’étonna pas, c’est une histoire de cul de l’époque romaine, un très bon film puisque nous en sommes ressortis vraiment ravis. Ensuite nous avions entrepris de retourné chez moi, en arrivant on s'est avalé un café, et Florent commença à ce déshabillé, il fut suivi des deux diables. Ils me demandèrent que l'on fasse l'amour à quatre, j’étais la base de ce fantasme, le mien aussi probablement ne me l'avouant pas intérieurement. Allongé sur le lit, Florent c’était encastré sur mon sexe, Joan s’amusait avec ma bouche poitrine et bas ventre, resserrant sa main à la base de ma hampe. Yann sucé avec gourmandise Joan et par la suite chacun prit la place de l’autre. J’étais devenu le porteur de fanal à nos jeux sexuels. P326
**J’échappais à l’écartement de ma fleur anal pour le moment, fin des ébats, puis Florent alla se doucher, et pendant qu’il se lavait, les deux jolis blondinets me matèrent, et me demandèrent de leur défoncer le cul une seconde fois. Ce fut Yann qui demanda à passer le premier, et il s'empalait doucement. Il cherche à ce que je sente bien que je l'élargisse, Joan posa sa tête sur mon ventre et suça Yann. Tout en me caressant mon univers intérieur, il inversait leurs places respectives, et nous faisons l'amour avec autant de désir qu'à leur arrivée. La partouze prit fin, tout le monde fut content, Florent aurait aimé que l'on se mélange une fois de plus, mais il était tard et les gamins devaient retourner chez eux. Ils étaient prêts à partir, mais les blondinets continuaient à m'embrasser sûr la bouche. Puis ils me posèrent une question, pour l’après. Ils me demandèrent s’ils pouvaient revenir me voir, il habitait à moins de 20 minutes de la maison. Je leur disais ce qu’ils voulaient entendre sans me forcer, leur expliquant la situation d’où je me trouvais par apport à eux et leurs parents. P327
**C'est qu'en vous voulez mes chéris, que je leurs disais, mais faites gaffent, il serait désagréable d’avoir un problème avec l'entourage, les gens se bercent souvent dans la médisance, méchanceté gratuite. Mais ils voulaient absolument que l'on se revoie, les jours suivants à chacune de leur visite parfois même après minuit, je me devais de les aimer avec un seul délice, il n'aimait pour le moment que cela. Pour moi, c’était un véritable plaisir, chaque fois que je rentrais dans leurs corps imberbes, et qu’il s’endormait sur moi tels des bébés, j’avais l’impression de devoir les protégés. Je savais très bien qu’un jour ou l’autre il nous arriverait de prendre des chemins très différents. J’avais compris qu'ils n’étaient pas plus les neveux de Florent que moi bachelier, les petits chéris n’avaient aucune ressemblance avec Florent, mais cela n’avait pas d'importance. Nous n’avions que peu de mois qui nous séparaient, et je leur demandais souvent ce qu'ils voulaient faire dans la vie, mais la réponse fut toujours la même. Tu sais Sergio nous avons le temps et puis on est encore trop jeune pour y penser. P328
**J’avais bien essayé de leur faire comprendre que nous avions tous les trois pratiquement le même âge, à quelques mois près, et je travaillais. Et que sérieusement il devrait commencer à y penser, mais c’était peine perdue, ça ne les toucher pas le moins du monde. Leurs phrases suprêmes n’étaient autres que (nos parents sont riches, alors le boulot pour nous ce n'est pas la priorité, tu comprends). J'ai fini par ne plus en parler, mais ces deux-là, ils étaient amoureux de ma pomme, ce que je ne pensais pas être autre chose que du sexe, était devenu une affaire de cœur. Et ça je les compris qu’a fur et à mesure, quant ils venaient trois fois par semaine avec de la bouffe, des alcools, pour finir ils m'avaient offert une gourmette et une chevalière en or massif, des fringues de grande marque. Quand la première fois, ils sont arrivés avec ces bijoux, je leur ai de suite demandé s'il ne les avait pas pris à leurs parents respectifs. Je ne voulais pas d’emmerde avec leurs parents, ils m’ont regardé avec un air contrit, et vexé ! J’avais aussitôt compris ma bévue et m’en excuser. P329
**Puis un dimanche matin, ils sont arrivés chez moi très tôt avec le regard triste et une envie de faire l'amour à casser le lit ! Ils m'expliquaient que leurs parents avaient décidé de déménager en province, et qu'ils seraient admis d’ici une semaine dans un lycée privé belge. J’écoutais et mes perles de cristal glissaient sur mes joues, une fois de plus la vie me retirait un petit bonheur. Mes deux petits princes pleuraient abondamment aussi et nous avons essayé par le contact furieux de nos corps d’oublier ce que serrait ce lendemain désenchanté. Trois semaines passèrent, et je venais de faire une autre belle rencontre, elle m'est arrivée par le plus grand des hasards. Je travaillais toujours sur le chantier d’Aulnay-sous-Bois, et un nouveau compagnon d’apprentissage s’occupait de moi. Il était marié et j’étais pour le coup, sûr de ne pas être un apprenti pour le cul ! Je le rejoignais tous les matins chez lui, et de là il m’emmenait aux (1000 milles) unes futures citées ouvrières. Un matin, sur le coup de sept heures, je ne l’ai pas vu m'attendre devant son immeuble, alors je suis allé à son appartement. P330 |