| 7 /12 ans, bafoués violés.** À la terminaison de nos ébats, elle décida de me divulguer son petit côté secret sur ces envies. Et cette nuit m’apparaît comme sortie d’un autre monde, je n’ai plus peur et j’ai cette impression de me voir naître, je me sens heureux ! Et sa voix me parvint comme un doux appel. Tu vois petit cœur, j’aime faire l’amour avec des adolescents, j’adore vos brûlantes petites mains juvéniles. Tu es le seul, de cette saison avec qui, je me suis lâché, tu me faisais tant envie après t’être vu si joliment nu sous les douches. *La tête basse, je l’écoute en la buvant des yeux comme tous les gosses qui ne pigent pas vraiment ce qui leur arrive. Puis elle me fit jurée de garder son secret, je juré cracher et j’embrassais ses lèvres si douces. Elle eut un sourire, puis me dit d’aller, me coucher le matin ferait, vite son apparition, de toute manière, je n'avais pas à divulgué cette belle nuit, du principe et l'on ne m'aurait jamais cru. Une heure a passé et me voilà de retour dans mon lit, je crois, bien que c’est la seule fois où j’ai vraiment, mais vraiment bien dormi ! Comme un bébé. P181
**En m’endormant je pensais à ce plaisir que m’a offert cette femme et qui m’à transporté dans un tout autre univers, peut-être que l’enfant est à laisser sa place à un futur jeune homme. Je sais pertinemment que j’ai fortement évolué, depuis mon arrivée au centre, beaucoup de choses me son arrivée sur plusieurs points. La première étant ma sexualité, je ne sais pas trop où tout ça va m'emmener, je pense en moi-même, que depuis mon arrivée, je suis pourchassé par le côté mâle, mais il parait que cela est normal. Seulement une femme m'a apporté autre chose, même si cela ressemble bougrement à la même jouissance faite avec un garçon. Le mieux serait peut-être que j’oublie, toutes ces rencontres avec les garçons, Olivier ne m'a probablement pas dit toute la vérité, mais y a-t-il de la sincérité à tout ce que l'on m'a dit. Le lendemain des cinq heures debout et vers sept heures, nous sommes tous parés pour retourner chez nous, trois cars bleus attendent devant le portail. Il y a la même effervescence qu’à l’arrivée, mais pour la plupart une grande tristesse nous habite. P182
**Chaque groupe avec un professeur monte à l’intérieur du car, mais, au moment où je vais grimper dedans, la jolie surveillante de ma nuit m'apporte une lettre qui a été postée il y a six jours d'Aubervilliers. Ils ont oublié de me la donner voilà deux jours, vous, vous doutez ! Eh bien oui ! c’est mon Olivier. Il me propose pour le lendemain de mon arrivée, un rencard face à la mairie de Blanc-Mesnil. Il m’y attendrait durant une heure, après ce serait à moi de le contacter, dans le cas où je ne viendrais pas ce jour même. Ce courrier me remplit de joie, car un petit peu avant, je me suis rappelé ce que maman disait parfois rapport aux gens. Loin des yeux loin du cœur Sergio ! Moi qui voulais tant mettre de la distance à nos jeux sensuels de garçon, voilà que maintenant ça me tarabuste de lâchement les effacées de ma mémoire. Ces deux garçons ont été gentils avec moi, comme leurs premières caresses, je ne les ai pas oubliés, il me semblait que cela fut plutôt moche de le faire sans aucune explication de visu. P183
**Mon instinct me disait malgré tout d’essayer d’éviter cette rencontre, malgré tout ça me turlupine quand même. Je finis par trouver ça dégueulasse à ne pas leur faire savoir, même, s'ils ont, a priori, profité de mon non-savoir. Je décide donc malgré tout, enfin pour le moment de ne pas aller à ce rencard ! Bah ouais, enfin, houla-lala qu'elle merde toute ça, c’est tout de même très compliqué tout ce bordel. J’ai envie de leur dire de fermer leurs gueules à cette bande de petits gueulards, depuis qu’ils sont montés dans le car, ils font un bruit à réveiller les morts. Bref ! Je n’arrive pas à me concentrer et je verrai plus tard à prendre ma décision sur place. Je suis à nouveau dans le fond, du car et mes superbes nausées reprennent, dès que le car roule, mais cette fois pas de Cédric pour me dorloter. Nous sommes moins nombreux dans le car, ils ont chargé des matériels aux places libres, ma prof isabelle est venue s’asseoir près de moi en me voyant blanc comme neige. Elle a pris ma tête et la posée sur ces cuisses chaudes et parfumées, et une de ses mains s’est glissée dans mon short. P184
**Elle caresse mon sexe et mes fesses, elle a mis une couverture sur nous, pas pour que j'aie froid, mais, tout bonnement pour cacher ce qu’elle fait, tout en épongeant la sueur qui perle à mon front. Je suis malade, mais mon phallus ne l’est pas, vu la trique que je me tape. De tant à autre, j’ouvre les yeux et la prof me sourie et son sourire cherche ma bouche. Elle me demande si je vais mieux, mais ce n’est pas le cas, j’ai toujours ces envies de vomir, elle continua à me caresser. Maintenant, voilà qu’elle m’embrasse sur la bouche, elle a pris une de ses serviettes, puis a dégrafé ma chemise essuyant ma poitrine couverte de sueur. Je me suis retourné pour placer ma tête sur le côté, cela diminue mes nausées. Sa robe semée de boutons de haut en bas est pour moitié déboutonner. J'ai le visage collé à son ventre et je sens ces odeurs de femelle en chaleur, une de ses mains et glissé entre ses cuisses, elle se caresse avec ferveur. Moi, je ne peux rien pour elle étant de plus en plus malade, alors se trouvant un peu agacé à mon impassibilité, au bout d'un moment elle fouilla dans le fond de son sac. P185
**Elle sortit de son sac un petit flacon de menthe réglisse ANTESIT, et un morceau de sucre, sûr lequel, elle y a fit tomber quelques gouttes de ce breuvage. J'ingurgitais le carré de sucre, puis refermer les yeux, et 15 minutes plus tard mes nausées avait disparu par enchantement. Je me suis alors assis à côté d’elle, avec une pêche de première, la laissant me rouler une galoche de bienvenue, dans son univers du cul. Elle dirigea ma main vers sa tendre bénédiction, je me suis mis à lui trifouiller l’entre-jambes. Elle devint nerveuse, en descendant mon short mon slip, elle avala mon sexe comme une friandise tant attendue. Je suis assis sur la banquette recouverte de Skaï et avec la chaleur de nos ébats, j’y suis collé comme un timbre. Elle s’est redressée, et relevant sa robe, c’est assis sur mon phallus qui ripa dans sa fente. Je ne connaissais pas ce genre d’attaque, mais avec ma sueur et la pionne qui mouillait tellement que mon bas de hampe fut trempé, en inondant même le Skaï de notre siège. Toutes ces odeurs de sueur, et de sexe en chaleur me démolissaient petit à petit le cerveau. P186
**Elle en vient à me griffer les cuisses dans sa fureur, moi je commençais a la trouver lourde, et heureusement j'arrivais à la fin de ma jouissance. Je lui larguais ma semence avec un soulagement non feint, car mes nausées recommençaient à faire leur apparition. Les gamins dormaient bien et ne se rendaient compte de rien, ce qui nous arrangeait. De toute façon, nous étions seuls à l’arrière, plus la couverture qui heureusement nous cachait totalement. Un des gamins se mit à pleurer, la prof isabelle se redressa un peu affolé et vite fait enfila son slip, y mettant à l’intérieur son mouchoir. Elle repartit à l'avant du car, il était temps, car tous mes camarades du centre s’éveillaient les uns après les autres quand nous arrivons à la hauteur de la mairie de Blanc-Mesnil. Tout ce petit monde a les yeux grands ouverts, et moi j’ai un immense soulagement quand le car s’arrête. Tout le monde descend dans un bruit infernal comme à notre arrivée au centre dans des piaillements. Et moi à l’arrière du car j'ai encore le short descendu et les fesses collés au Skaï, quand Xavier tourna sa tête vers moi. P187
**Il me sourit en me voyant avec la bite à l’air, puis en rigolant disparaît à l’extérieur, la plupart sont accueillis par leurs parents, ou une personne de leur famille, je scrute la foule et je vois que maman est là avec mon petit frère Jacky et mon beau-père. La prof me suit de près, nous sommes les derniers à descendre, par l’arrière du car, ce qui lui donna le temps de me refiler un dernier baiser sur mes joues et les lèvres d’où quelques larmes tombant de ses yeux meurent sur ma bouche. Ce qui me provoqua aussi des larmes, quand on est une grande sentimentale, il est bien difficile dans contrôler ses émotions, d’autant que je retrouvais toute ma famille, après deux mois et demi d’absence et bientôt mes amis de la cité et de mon école. Fin du périple Normand ! P188
Nana.
**Je sais pertinemment que ce passage ne peut que rarement vous intéressez, mais je suis obligé de vous parler de notre arrière-grand-mère nana, elle fait partie de mes plus beaux souvenirs. Un grand cœur chargé d’amour et de bienveillance, un don de la gentillesse hors du commun, elle fait de la très bonne cuisine, et ne compte pas sa fatigue. Nos vacances chez elle, à Montdidier ! Sont les meilleurs souvenirs que j'ai retenus de ma petite enfance ! Je pleure déjà de sa disparition et tout autant de sa joie de vivre en pensant à elle, mais la première chose, serait de vous faire savoir ou elle habitait. Sa petite maison ce trouve à la sortie de Montdidier, sur la route de Saint-Quentin, juste après la sortie du pont, sur votre droite se trouve cette ancienne bâtisse avec un très grand terrain de culture diverse. En arrivant chez elle nous entrons dans un passage et une courette, sur le côté droit avec une quantité de rosiers variés d’ou il en ressort toutes couleurs chatoyantes d’un printemps a naitre. P189
**Un grand garage récent sur la gauche, et face à son habitation une grange ouverte sur le devant, ou sur une des poutres nana a fait installer une balançoire. Puis sur la droite de la maison, accolé à celle-ci une grande basse-cour. Petit endroit privilégié ou poules, coq et lapins se côtoient à l’ombre d’un haut réservoir en fer, qui capte l’eau coulant des gouttières du toit principal. Juste collé a la basse-cour il y a WC a l’ancienne, un plan en bois où ce trouve un petit trou. Dans la grange ouverte, tout au fond de celle-ci une porte donne sur une serre qui s'épars du côté gauche et droit. Nana y fait ces semis ainsi que ces potées de fleurs, endroit habité par de grandes familles d'araignées et d'insectes divers près à se faire bouffer par nos très chers arachnides. Il y a juste accolé à la serre, un grand réservoir en ciment sur ciel ouvert, ce second récupère la pluie venant du toit de la grange. À la surface de l'eau, on voit dames grenouilles et dans le fond quelques têtards qui pataugent dans leur élément favori. Il n'y a pas encore l'eau courante chez elle, mais elle un puits accolé à la basse-cour. P190
**Juste après la serre un grand potager, où elle cultive tout ce qui peut y pousser de la patate aux légumes les plus courants. Tomates, choux de variétés diverses, carotte et poireaux, radis et oignons. Puis, un grand verger avec plusieurs sortes d’arbres fruitiers de diverses espèces, dont un Noyer qui n’a nul besoin à être sauvé par un marin pompier. Des poiriers qui ne vous obligent pas, à en rester la tête en bas et pieds en l’air. De grands pommiers, qui ne me firent pas tomber dans les pommes, un grand prunier qui vous invite à prendre une prune sans pare-brise. Un bel abricotier, sans pouvoir vous protéger en cas de tempête. Un pêcher qui ne vous demande nullement d’aller à confesse. Des fraisiers ne voulant en rien que vous rameniez la vôtre de fraise, des taillis de mûriers avec nul bâtisseur et cassissiers sans se voir qu’assis. Un grand vieux majestueux cerisier, sous lequel on plante notre tente de camping chaque été quand on est en vacances, chez elle. Accolé à son terrain un champ de blé qui ne nous remplit jamais les poches, et à l'autre bout un pré avec des vaches. P191
**Sur la gauche attenante à son terrain, plusieurs maisons, dont celle de la famille Burgess, nous avions fraternisé avec les enfants des maisons voisines, dont certains étaient de nos âges. Et tous en général ont se retrouvaient sur un terrain vague, un espace ou ce trouvé une ancienne usine de métallurgie. On récupérait des calots en acier, qui se trouvait éparpillés sur le terrain, nous les utilisons dans nos lances pierre, près d’un petit bois qui se trouver de l’autre côté du fameux champ de blé. C’est en fouillant dans le reste du bâtiment encore debout que nous ramassions les morceaux de métaux que l'on pouvait encore y trouver, pour ensuite aller les revendre chez un ferrailleur, Nana nous prêtait sa brouette pour transporter cette ferraille. Cela nous procurait un peu d'argent de poche, en même temps, je livrais chez cet homme toutes les peaux de lapin que nana avait suspendu à sécher sous la grange avec les feuilles de tabac. Et avec les tunes obtenues par la vente de la ferraille, j'achetais des bonbons, plus des pétards que l'on faisait exploser dans des terriers de renard. P192
**Mais, la plupart du temps on les faisait sauter dans des boîtes de conserve vides, à l'orée de la forêt. On aller maintes fois sous le fameux pont, un chemin nous y emmener en contrebas, juste devant d'ex-porcheries, et les bâtiments d'une ancienne ferme abandonnée. Je m'asseyais très souvent sur le seuil de ces ruines, la transformant à ma façon, car mon côté rêveur serait de pouvoir la reconstruire, et en faire cadeau a maman. En fin de matinée, je retourne vite chez Nana bien avant l'heure du repas, surtout pour ne pas me faire houspiller. Et quand au petit matin, nous l'aidons à la cueillette des fruits et légumes ce qui est le moins drôle pour moi c’est quant nana saigne un lapin ou une poule. Je ne peux pas m'empêcher de pleurer malgré le fait que je dégusterais l'animale à un des repas de midi. Durant la période où nous sommes arrivés, nous resterons seuls, car nos parents sont remontés sur Paris à cause de leur travail. Ils nous ont laissés à la charge de nana, qui arrive à nous occuper facilement dans son jardin, il y avait beaucoup à faire. P193
**Elle nous faisait couper les branches mortes, le débroussaillement et brûlé les déchets, nous nous y mettons tous avec joie, c'est le moins que l'on puisse faire pour la remercier. Mais une surprise ce fut durant le débroussaillage, nous avions déterré un ancien abri de guerre en tôle. Il est resté à l'intérieur un tabouret, et au sol appuyer au mur de tôle un ensemble d'étagères pourries. Il y a encore dessus des assiettes en fer ainsi que des verres ébréchés, des ustensiles de cuisine. Sur un tonneau, il y a planté dessus deux vieux poignards, ainsi que des balles de fusil recouvert de vert-de-gris, des cartouches de chasse toute bouffée par l'humidité. Sur le sol traine encore des habits d'homme, plus deux vieux parachutes en soie d’ou certaines parties sont calcinées, Nana nous a demandés de tout jeté ou brûlé, sauf une sacoche en cuir et quelques vieilles boîtes en fer-blanc ondulé, et elles sont hermétiquement fermées avec de la cire. Elle nous fait savoir que dans cet abri, elle y a caché durant la guerre, de nombreux réfugiés, ainsi que des parachutistes Anglais et Français. P194
**Elle nous fit savoir qu’elle s'y abritait les jours de bombardements, mais quand je regarde l'abri et sa fragilité, je me disais qu'elle avait eu de la chance. La moindre bombe aurait tout écroulé sur elle sans aucune difficulté, mais elle s’en servait principalement pour y cacher des partisans en cavale. C’est malheureusement la dernière fois que nous sommes allées la voir à Montdidier avec nos parents, frères et sœurs. Hélas, quelques années plus tard on apprendra son décès, je n'ai jamais autant pleuré de n'avoir pas eu d'autre occasion de pouvoir l'embrassée et de lui dire que je l'aimais du plus profond de mon âme, je le fais aujourd’hui, avec toujours autant de peine dans ce livre contant cette histoire. Adieu, petite Nana d’amour et de tendresse. Aussi court ce passage s'en fut-il, qu’il est pour moi le plus beau de ma vie d'enfant, car il est né de l'amour d'une arrière-grand-mère…P195 Les filles.
**Nous sommes toujours dans la même année, de mon retour du centre, j'avançais doucement vers mes 13 ans. Je n'ai évidemment rien divulgué à mes copains et copines, ni à ma famille d'ailleurs sur mes aléas et découverte sexuelle du centre. Les semaines passèrent gentiment ! Nous sommes sur la fin du printemps, je m'amusais à me faire des frayeurs avec mon vélo, accompagné de deux copines et un copain habitant la même citée que moi, nous avons presque le même âge, un peu plus de 12 ans, sauf, Josette et Anne qui en ont 14 et demi. Pour s’amuser ont descendaient une belle pente et l’on passer entre plusieurs arbres que l’on devait éviter. Il faisait chaud dès cette belle journée printanière, et nôtre tenu vestimentaire pour les garçons, c’était d’être torse nu avec un short un peu juste. Les filles portaient une petite jupette est un corsage très décolleté et plutôt sympa pour la vue, Josette chantonne tout en pédalant, j’adore là regarder pédaler. P196
**Je regardais sa jupette remontée grâce au vent, qui découvrait ces cuisses et bas-ventres J’avais pleine vu sur sa petite culotte. Cela me rendit tout chose, j'avais envie d'elle et ça me chatouiller le ventre, le tout me faisait triquer j’avais la forte envie de pouvoir la touchée, j'aurais voulu qu'elle veuille bien m'embrasser. *Josi me demandait souvent à quel moment on aller s'arrêter, elle en avait marre de pédaler. Cela fait déjà un moment que l'on se fait la course sous-bois, et c'est vrai que moi aussi, je commence à en avoir un peu ras le bol. Sylvain et Anne se sont volatilisés avec leurs vélos prenant un autre sentier derrière les arbres en rigolant. Je me trouve donc seul en compagnie de Josette, à continuer mes prouesses de garçon immature. Arrive ce qui arrive quand on veut frimer devant les filles, j’en fis un peu trop et je ratais mon passage, entre deux arbres, je me pris une des grosses racines qui dépassait du sol, et me voilà projeté par-dessus mon vélo, j’atterrissais dans l’arbre voisin avec mon vélo qui me percuta dans le dos en retombant. P197
**Je me retrouvais couché dans l’herbe en ne bougeant plus, je suis sonné, et ma vue ce fut trouble. Josette avait poussé un cri de frayeur, et sautant dû sien elle couru vers moi. Au passage ramassant mes lunettes, qui avaient été éjectées de mon nez, je saignais légèrement d'une main, des genoux et d'un sourcil, se penchant vers moi elle me demanda si je ne souffrais pas trop. Elle est mignonne quand elle s’inquiète, ces yeux se sont embués. Elle commença à me tripoter un peu partout pour voir si je n’avais rien de cassé. Puis, elle me donna mes lunettes, en vérifiant que mes verres et sa monture ne sont pas cassés. Sa main s’est posée sur mon bas-ventre et de l’autre, elle essuie le sang qui coule le long de ma joue avec son mouchoir. Elle est tout à me couvrir de bisous sur le front et quand elle posa ces lèvres sur ma bouche, cela me surprit assez agréablement, elle ne m’avait jamais démontré que je pouvais lui plaire. Ou alors comme la plupart des garçons, je n’ai pas capté ses appels de fille, ce n’est pas toujours évident à comprendre pour un garçon qu’il soit rêveur ou pas d’ailleurs. P198
**Je ressentais sa main glissée vers le creux de mon aine gauche frôlant mes balloches, je suis un peu sonné, mais pas indolore à ce frottement. Je sens son souffle sur mon visage et son odeur sucrée. Un de ses seins vint à toucher mon tors, machinalement j’avais posé ma main droite sur le haut de sa cuisse, pratiquement sous sa jupette. je ressentais la chaleur de son corps, du coup mon sexe se dressa à cet appel de chaleur ! Josette remarqua la bosse que fit mon short et sa main descendit à l’intérieur de mon slip pour la saisir. Mon cœur se mit a battre très fort, je ne savais pas si elle voulait faire, ce donc à quoi je pensais. J'espérais être convaincant tout à lui faire ladite chose au féminin comme me l’avait appris cette femme, si cela fut son choix évidemment. *Voilà ma réponse, elle prit ma main et la posa sur son sein, quand elle m'embrassa sur la bouche en y mettant sa langue et y faisant jouer la mienne. Je fus surpris, ne sachant pas qu’elle avait ce savoir, je laissais toutes mes réflexions de côté, et me décidait à commencer ma petite aventure, en lui caressant ces petites fesses rondes. P199
**Tout a mon ardeur de garçon en chaleur, je triturais ses seins en forme de petit melon, puis délicatement j’atteignais son entre cuisses. Elle se redressa d’un seul coup, me faisant une putain de peur ! Croyant l'avoir blessé inconsciemment, je suis à lui demander de m'excuser ! Mais, non ce n’était pas cela qui la fit réagir. Elle retira très vite son corsage, puis sa jupette et fit glisser sa petite culotte. Elle était nue devant moi, quand elle s’agenouilla pour déboutonnait mon short, et me l’ôtait, mon slip suivit le mouvement, aussitôt elle empoigna d’une main mon sexe qu’elle branla. Je ne voulais pas être inactif, je glissais donc ma main sur sa fente, et j’y pénétrais un doigt entre les deux lèvres pulpeuses de sa fleur, tout en me faufilant à l'intérieur de ce fourreau brûlant et humide. Elle se mit alors à gémir de plaisir et son corps fut parsemé de petits soubresauts à chaque glissement de mon doigt dans son vagin. Et mon corps subissait les mêmes attaques, mon jouet sautait dans sa main comme un cabri, elle tira tellement fort sur mon sexe que mon gland en fut des plus pourpres. P200
**Ma peau se fut tant distendue, que j'avais une impression de déchirement quand elle tirait sur mes testicules vers le bas tout en les malaxant, je la sentais empressée de cet aboutissement. Nous étions allongés sur l’herbe, j’absorbais ses seins, l’un après l’autre dans ma bouche, je lui léchais le ventre, jusqu’à son entre cuisses. Elle dégageait une odeur particulière qui m'excita plus encore, je fus en sueur au moment ou je me couchais sur elle, et mon sexe se trouvait placé à l'entrée du bonheur des hommes. Bêtement, j'hésitais devant ce fourreau de béatitude, et comme me l’avait apprît cette femme du centre, je la pénétrais le plus doucement possible. Mais ce fut Josette qui se trouva d’une sorte d’urgence et elle s'empala brutalement sur mon bâton tout en poussant un cri de plaisir. On s’abandonna à l’acte de chair, et nous reproduisons cet accouplement pendant une heure. Et là tout nu sur cette herbe, où nous étions à continuer nos caresses, nous embrassait, quant à nous rappeler cette réalité, subitement des voies d’adultes vers nous s’entendaient et ils apparurent entre les arbres. P201
**Nous voilà vite sur pied, nous renfilons slip et short, jupe et haut, puis nous enfourchons nos vélos et dévalons le sentier derrière les arbres. Nous entendions le couple nous crier à tue-tête, petit voyou, vicieux, sale petit dépravé, et nous pas en reste, ont les envoyaient se faire foutre de première. Ce qui fit que dans un virage, nous avons failli percuter nos deux compagnons qui venaient nous rejoindre. Sylvain et Anne ont les yeux qui sont tout ce qu'il y a de plus pétillants, je me doutais qu'ils étaient devenus eux aussi des consommateurs d'acte réprimé. Les filles sont alors parties de leur côté et nous dû notre afin de donner le change aux adultes qui gueuler encore. Durant notre retour, les confidences de Sylvain sur sa journée furent intarissables, il me narrait son après-midi avec éloquences. Il m’agaçait et finalement, je lui ai demandais à ce taire, mais il continua son baratin sexuel jusque devant son immeuble, ce qui fit que je suis arrivé en retard à la maison. Je me foutais de ce retard, sachant que de toute façon personne n’y aurait vraiment fait attention, ce qui ne se vérifia exacte. P202
**Depuis cette fabuleuse journée, les autres jours vont passer sans vraiment être des plus intéressants. Mis à part durant la semaine mes rencontres avec Josi, qui se font en différent endroit de là cité. Et si jamais j'oublie un de nos rendez-vous ! Alors là, elle fonce à la maison et me demande à venir nous amusait dans le local vélo, ou ailleurs. Alors avec Josi on changeait souvent d’endroit, afin de ne pas éveiller de soupçon envers ces frères, par crainte de me faire casser ma jolie petite gueule, ce qu’ils m’avaient déjà dit plusieurs fois. Ces frères qui ont entre 18 et 25 ans, dont trois d’entre eux avaient déjà pris des vacances aux frais du contribuable, et leurs renommées n’étaient pas faites de finesse. *On s’arrange pour se retrouver le plus souvent possible vers le petit bois par beau temps, ou dans les sous-sols de la cité voisine quand il pleut. Nous avions repéré la cave libre d’un appartement qui avait cramé et qui ne fut jamais réhabilité, et j’en avais parlé à des copains de la cité pour nous en servir de cachette. P203
**Chacun de nous avait récupéré diverses choses afin de l’aménager, à fur et a mesure l’intérieur est devenu douillet à souhait. Un vieux matelas à ressort poser sur les planches d'un ancien meuble que nous avons recouvert de tissus différents, et une dizaine de coussins de couleurs diverses en agrémentent le dessus, des tentures effilochées sont à cacher la misère des murs. Une lampe à pétrole éclairait de sa lumière blafarde un vieux bahut, ou l’on rangeait à l'intérieur toutes les BD et les bouquins de cul que l'on avait récupéré en faisant les poubelles du quartier. Cette cache ne fut jamais découverte par qui que ce soit, et ceci pendant longtemps. Beaucoup de mes copains et copines furent dépucelés a cet endroit, j'y avais moi-même fait l'amour avec Olivier le matin et Cédric l'après-midi, plus un nombre incalculable avec Josette qui adorait mélanger nos corps. Mais, un jour la société des HLM a décidé de réhabiliter l'appartement, ce qui nous apporta bien du désagrément. Nous n’avions pas eu assez de temps pour dégager tout ce qui fut récupéré avec acharnement. P204
**Et mis à part les vélos et une bonne partie des pneus et autres matériels plus une belle quantité de livres divers, le reste à vu son retour a la décharge. J’ai été obligé de vendre les livres a mon bouquiniste à un prix dérisoire, sous peine de les voire jetés à la poubelle, mais bon c’était mieux que rien récupéré du tout. Pour mes parties de jambes en l’air avec Josi c’est devenu un peu la merde ! C’est elle en fin de compte qui nous a trouvé un endroit pour continuer nos mélanges, une de ses tantes possède une caravane qui se trouve en stationnement sur le trottoir adjacent à l’immeuble des gardes mobiles. Josi a récupéré une des clés de la porte principale, c’est petit, mais au moins on est à l’abri des regards, et aussi du froid intense de l’hiver à venir. Elle m’a donné un double, si Josi savait que, parfois je viens faire l’amour dans cette caravane avec deux mecs, je pense que notre amitié serait détruite. Quoique tel que je la connais, elle serait capable de me surprendre, vu sa façon de voir les choses quand nous discutons après nos ébats qui se font de plus en plus souvent. P205
**Pour ce qui est de ma sexualité, je peux dire que maintenant je sais plus ou moins dans quelle direction je vais. Je sais, en discutant avec des garçons du même bord, que mes envies sont basées de partage entre filles et mecs, je suis un bi voilà quoi, mais ça je ne le sais pas, vu que ce mot n’existe pas dans la société où je vis. À la maison c'est toujours la même merde avec beau-père qui picole, maman qui n'a pas le temps de s'occuper de nous. Mes frères et sœurs n’avaient vraisemblablement aucun doute sur ce qui m'était arrivé en ce début d’année. Je suis encore plus solitaire qu’avant en ne parlant que peu aux gens, je me méfiais de tout le monde. Il n'y avait que mes copains et copines qui me rassuraient sur mes craintes journalières. Il m'arrivait d’avoir encore des cauchemars assez violents, mais je parvenais à me réveiller de force pour arrêter ce rêve ! Je pleure souvent dans mes songes, et mes frères me réveillent, et moi évidemment je leur dis que je fais un terrible cauchemar, ce qui n'est pas faux… Mon viol me poursuit presque dans toutes mes nuits de sommeil. P206
**Ce qui m’intrigue c’est que je ne vois jamais les mêmes visages qui s’y profilent vaguement, dans mes rêves je suis toujours à courir, jusqu’à ce qu’un personnage m'attrape, il m'apparaît non visible ou flou quand je me retourne apeurer. Ou alors c'est une course dans l'appartement, où un loup essaie, lui aussi, de me bouffer, mais il ne peut pas me saisir quand je monte sur une chaise. Des songes sans fin, plus enclins aux cauchemars qui à chacune de mes nuits réapparaissent sitôt que je ferme les yeux. P207
Le marché et mes premières tunes.
**Depuis l'âge de neuf ans, et ce jusqu'à mes 14 ans ! Les jeudis et dimanches sont pour moi des journées de gain, vers les sept heures du matin. Je décharge un camion pour un commerçant-vendeur de chaussures sur le marché à Blanc-Mesnil. Un homme très gentil et généreux qui à cette époque me rétribue de 10F en pièces sûrs chacune des matinées de foire. Le déchargement des caisses de chaussures fini, il m’offrait un chocolat chaud et un croissant. À sa demande, je l'aide à tenir son étal en tant que vendeur, mais je ne suis pas très motivé, les gens sont chiants ils ont toujours quelque chose à dire croyant que je suis le fils de la maison. La première fois pour me remercier, il m’a offert des baskets en toile rouge, je chaussais ma première paire de neuve. (De nos jours on appelle cela des converse). Tous les mois, il soldait des chaussures en cuir passées de mode à un prix dérisoire ! 10F une paire. Et pour cette occasion, et bien, je ne me faisais pas rémunérer de mon labeur. P208
**Je préférais prendre une paire de chaussures au remplacement de mes piécettes, mais chaque fois il voulait m’en offrir une seconde paire, me laissant le choix pour la taille, ce qui tombait bien pour moi, vu que nous étions nombreux à la maison. Je ne refusais jamais ce cadeau, étant donné que cela arranger bien notre famille. Sitôt la fin du marché après avoir rechargé le camion, je me promenais dans les allées à faire de la récupération. Je ramassais tous les fruits et légumes, enfin tout ce qui avait été laissé et encore mangeable. Certains commerçants encore sur place m’offraient les non présentables, grâce à ma petite gueule et des mots gentils, j’avais parfois même des vendables de maraîchers en me sachant d'une famille nombreuse. Puis un matin sur le marché ayant fini plus tard que d'habitude et les maraîchers déjà loin. Je venais juste de fouiller dans les cageots éventrés, quant au détour d'un étal, vint à moi une surprise de taille. Je voyais dresser devant moi, mon Olivier et mon Cédric ! Mon visage s’illumina de surprise il y avait bien longtemps que l’ont ne c’était vu. P209
**De joie mon ventre me chatouillait étrangement à leurs venues, quand ils s'approchèrent de moi et d'accord commun à leur envie ils m'embrassèrent sur la bouche me serrant fortement contre eux. Fort heureusement, il n’avait personne à nous regarder. Chacun se mettant à palabrer sur les semaines passées et tout ce que nous avions vécu depuis notre passage au centre de convalescence. Tout le temps de notre discussion, je venais à remarquer que ces deux-là regardaient souvent vers mon bas-ventre avec l’air de rien. Tout en rigolant, ils discutaient beaucoup à savoir ce que je devenais, mais aussi avec les mains, tout en faisant de grands gestes à l'Italienne ils en venaient immanquablement à me peloter souvent. Ils posaient leurs mains sur divers partis de mon corps, le bras puis le ventre, la cuisse ou les fesses pour me dire que j’ai maigri. Cela m'agaçait un peu, mais ce sont de bons potes, et malgré tout, ça me plaît de savoir que je les fais baver d'envie. Ma matinée de travail étant finie, je repartais avec eux vers le parc qui ne se trouve pas très loin de la place du marché. P210 |