| 4 /12 ans, bafoués violés.**Et voilà comme de bien entendu, ça tombe tout particulièrement sur Xavier, par rapport à son aspect physique un peu léger pour son âge ? Les vannes vont bon train (hé petite bite, va la faire gonfler chez Michelin), l’usine où son père travaille comme par hasard. (Tient encore une qui ne va pas déchirer, tu veux une loupe, tu veux un treuil pour la levée). J’en passe pas forcément des meilleurs, vu leur vocabulaire restreint, mais plus sujet aux méchancetés. Cela suffit pourtant à faire marré une bonne partie du groupe, même si au début, je rigole un peu amèrement avec ceux de mon groupe, je me reprends vite. Je n’accepte toujours pas l'injustice, la méchanceté gratuite, ce qui me provoque souvent pas mal de déboire. Il faut que je ramène ma science à chaque fois, et c’est encore le cas aujourd'hui. Ce jour-là ! Je trouve que ce grand con en rajoute un peu trop, et je me prends de gueule à son encontre, en lui disant qu'il n'avait pas à être mélangé avec nous, en faisant la tentative d’ameuter à ma cause les pensionnaires, afin de le perturber. P91
**Rajoutant une belle vanne ! Du style < qu’il n'a pas forcément plus grand, mis à part sa grande gueule, et sa suprême bêtise>. C'est réussi tout le monde se fout de sa gueule, mais lui ça l'énerve bien plus. Moi comme un super héros, je lui en balance d'autres plus marquantes et vexatoires. J'y suis peut-être allé un peu fort, car ça ne plaît pas à M. François, qui rumine dans son coin, et comme les autres garçons ce marre à mes vannes ciblées sur son physique, alors me fonçant dessus comme un taureau ayant vu rouge, d'emblée il veut me marronner. Coup de chance pour moi, le surveillant ne se trouvant pas trop loin intervient à temps, jetant l'intrus dehors ! Mais en sortant, il me jure que l'on se recroiserait. Évidemment, moi trop content de lui avoir mis la super honte, je le rembarre illico, < J'en tremble déjà pauvre pomme>. Pour le coup, je l'envoie carrément et grossièrement se faire foutre. Du style va te faire (en---é) bref, disons empapaouter et pleins d’autres grossièretés top cru ), je suis tout à fait sûr dans ma petite tête de ne pas le revoir de sitôt devant moi. P92
**Une belle certitude qui va se révéler d’ici peu complètement fausse, dans un centre aussi petit, tout le monde finit par se rencontrer, cela même si vous faites le nécessaire pour que cela ne se produise pas. Je vais à mes dépens faire des découvertes, plutôt inattendues et pas forcément des meilleurs. Mais surtout du fait de ma timidité et naïveté ! Nous avons école tous les matins, et les après-midi sont réservé à la relaxation et psycho je ne sais plus quoi. Nous profitons de la plage ou l'on nous laisse la possibilité de faire différents sports selon nos désirs ou aptitude. Une nouvelle façon thérapeutique de faire décompresser tous ces jeunes hypernerveux et maladifs. Certains gamins ont été abandonnés et se trouvent bien désœuvrés, d'autres furent maltraités par la société où leur propre famille et dans le lot, il y a des cas tristounets, inceste, brutalité, ETC. ! Je n'ai pas à me plaindre de ce côté-là malgré tout. On se retrouve chaque jour de la semaine à la cantine pour midi pétant, la punition pour les petits retardataires, et de prendre son repas à la table des profs. P93
**Les menus sont simples, mais à nos âges, cela n'a pas une grande importance. Personnellement, je trouve que tout et bon, sauf les carottes vichys, elles me donnent envie de gerber ce que je n'ai pas manqué de faire le jour de mon arrivée. Il y en avait au dîner, la prof ma forcée a les mangé, je ne me suis pas forcé à les lui rendre. Au cours du repas, j'ai rencontré Olivier, un garçon gentil et souriant, il a 14 ans et demi, alors que je suis plutôt d'une tristesse journalière, il a flashé sur moi pour une raison que je ne connais pas, en cela dès le premier jour. Cela s’est passé la fameuse journée de Pâques où je me suis retrouvé seul à regarder tout ce petit monde. La plupart des enfants ou adolescents avaient en visite leurs parents ou grands-parents, les adultes bichonner leur progéniture avec intérêt. Pour moi, ils étaient devenus des privilégiés, car ils avaient reçu des colis et plein des friandises (œufs en chocolat ou en sucre et bonbon divers). Ils étaient tous assis là sur l'herbe à défaire leur colis, et les adultes riaient de voir les plus petits chercher les œufs de Pâques cacher dans les taillis. P94
**Moi et bien, je regardais tout cela avec envie, je me sentais de plus en plus seul et des larmes commencées à glisser doucement sur mes joues. Je m'étais instinctivement retiré un peu plus à l'écart, près des jeux de plein air afin que l'on n'aperçoive pas ma peine. Quand Olivier m'a abordé, sa première phrase a été celle-ci (salut belle petite gueule ? tu es super mignon et craquant, je t’aime déjà). Moi qui en ai tout juste 12 je n’ai pas trop bien compris ce qu’il voulait dire. Tout en me disant cela, il me proposait de partager ces sucreries, puis il se mit à faire quelques pitreries et me conter quelques blagues marrantes. Je l’ai trouvé de suite sympathique, je l'aime bien, il me fait trop rire, et à partir de cet instant, il lui arrivait souvent à se trouver près de moi durant les repas, même si dans la normalité du centre, il ne doit pas être à notre table. Mais bon lui, il y arrive, je ne sais pas comment, mais ce qui l'aide à passer inaperçu. C'est certainement le fait qu'il n'est pas plus grand que moi et aussi son côté doux et blagueur. P95
**J'ai appris au bout de quelques jours qu'il s'était arrangé avec le responsable des gamins de notre table, le lui promettant s'il accepte de lui laisser une place, et qu’en contrepartie il aurait une fraction du contenu de ces colis, Olivier en reçoit un tous les trois jours. Le garçon de 16 ans s’en fit une joie, lui qui n’avait pas trop de copains de son âge et comme il nous dit lui-même, je n’en ai rien à foutre de toutes ces conneries, du moment qu’Olivier tiens sa promesse, vous pouvez bien faire ce qui vous chante. Quand Olivier c’est incrusté à notre table, les autres n’ont pas râlé, ils l'apprécient pour sa simplicité et gentillesse. Olivier durant les repas me parle de chose quasi différente, mais surtout de sa famille, qui de ses dires l'aime plus que tout. (Dans ma petite tête, je ne sais pas trop à quoi le mot aimer peut bien avoir dans ma vie en correspondance). Pour moi aimé s'est apprécié quelque chose, voyons heu ! Manger un croissant, avoir un lit pour soi, ou une paire de chaussures neuve. Mais pour Olivier ! C’est en particulier sa sœur, il lui voue une très grande dévotion ! P96
**Alors évidemment, moi, hé bien, je l'écoute avec un intérêt tout particulier, d'autant plus que, je ne sais pas si mes parents m'aiment, ainsi que ma famille, une question que je ne m'étais jamais posée auparavant. Un mot dont je ne connaissais pas vraiment la signification exacte. (On ne devrait jamais se poser cette question, nos parents et proches doivent forcément nous aimer, même s’il ne nous le démontre pas toujours, c’est ce que je pense pour le moment). L'écoutant, et me sentant en pleine confiance avec lui, qui dans ce cas, ma timidité, s'efface totalement et en devient du culot. J'en module tant, que parfois même du trop confiant, je vais jusqu'à une totale exubérance et souvent à la limite d'une tolérance. Un midi, je me suis décidé à lui demander, s’il veut bien m'aider dans mes études et à me faire comprendre mes devoirs, si possible les corrigés par la même occasion. Pour moi, c'est le calcul qui reste ma bête noire, comme il ait doué aussi en grammaire, français et vocabulaire, je le prie de m'y assister par la même occasion ! Ce qu’il a accepté sans rechigner. P97
**Sans rien me demander de retour, mais une de ces conversations préférées vers moi, c'est le sexe, je n’y connais rien alors, je l'écoute avec intérêts, en pensant qu’il va m’apprendre plein de choses. Il me répète souvent que tous les garçons peuvent s'aimer, s'embrasser, se faire des câlins. Que beaucoup d'entre eux font la fameuse chose. Question ? La chose, c’est quoi ! je l’interpelle sur cette phrase n’en connaissant pas le fond ! *Ha ouais, hé Olivier, c'est quoi faire la chose ! **<Silence> ? *Réponse d’Olivier ! C'est tout ce qu'il y a de plus normal entre nous ? Il n'a pas répondu à cette question ! Comme il mélange le sexe avec à peu près tout ce qui lui passe par la tête, que ce soit direct ou indirect, je reste donc sur ma faim. Un peu plus tard, je lui redemande ce qu'il a voulu dire par faire la chose, la chose de quoi et pourquoi, c'est quoi cette chose ! Il se marre, et me dit qu'il me le dira au moment le plus opportun, sur ce il m'embrasse sur la bouche et me dit voici, un début de réponse à ta question. P98
**Ou par exemple ! quant chaque fois qu'il veut m'expliquer la résolution de mes problèmes ou devoirs, il ne peut s’empêcher de me tripoter à chacune de ces explications. Il me caresse doucement pendant qu’il me parle, il pose sa main sur mon haut de cuisse à l’échancrure de l’aine. Du même coup me frôlant le sexe et les joyeuses, puis me demande si j’ai bien compris, en tapotant sa main sur mon ventre. Ensuite ! Il pose sa main sur ma joue la caresse très doucement, tourne ma tête vers lui et si j'ai pigé ou pas d'ailleurs ! Pour entériner ma réponse ou son contentement, il pose un baiser prêt de mes lèvres tout en me disant ! Tu vois, ce n'est pas bien compliqué ! Et moi je le laisse faire, je commence à apprécier ces petits attouchements qui me filent la trique, je les attends souvent avec impatience. Mon constat est que tous ces frôlements, même des moindres me travaillent l’esprit et le corps. Tout cela m’envoie des frissons tout en parvenant à me donner ce désir incontrôlable à me masturber, ce que je fais sitôt que cela m'est possible, le plus souvent dans les toilettes où sous mes draps. P99
**J’en ai parlé à Olivier, il m’a dit que tout cela est normal et si je veux, il peut le faire à ma place avec un immense plaisir, même sans les mains. Et bien là ! Je n’ai rien compris une fois de plus à ce qu’il a voulu me dire. Je lui ai demandé tout de même, qu’il me montre, comment il fait ça ? Sa réponse a été ! Ne te bile pas, on verra ça très bientôt. Eh bien oui quoi ! À 12 ans, on ne connaît pas grand-chose sur la sexualité, et moi encore moins sur la mienne. Mis à part mes séances, made in tripotage en solitaire depuis mes neuf ans. Et puis tous les copains de mon âge aux 212 ou à l'école n'étaient pas plus aguerris que ma pomme sur les questions et connaissances du sexe. Il faut dire que dans les années 60, tout ce, qui avait un rapport avec la sexualité, n'était pas à l'ordre du jour, tout particulièrement tabou. La télé n'était pas aux summums, absentes de la plupart des foyers. Cela me rappela que Josette ma embrassée plusieurs fois sur la bouche, à titre d’essai, me disant qu’il fallait qu’elle sache l’effet que cela faisait, quand elle serait avec un garçon de son âge, une crise de rire a chaque fois. P100
**Je ne savais jamais comment positionner mon visage, mais moi ça ne m'avait jamais vraiment dérangé, je trouvais tout cela juste un petit peu bizarre, et marrant sans plus. Par contre, quand, je matais mes copines d’école et surtout leurs fesses où leur petite bouche rose vif, cela me faisait instantanément raidir le sexe. Sans encore vraiment comprendre le pourquoi du qu'ès de cette remontée de mat, le long de mon ventre ! À neuf ans, je trouve ça plus que plaisant, je faisais en même temps le constat naissant, d'un liquide clair et collant. Je trouvais bizarre de voir, que cela sorte de mon appendice urinaire, je pensais que l’objet servait uniquement à faire pipi, ma mère m’a dit une fois, tu es précoce pour ton âge. C’est à cette période que, j’ai commencé mon intensive masturbation, faisant des concours avec certains de mes copains plus âgés, aux toilettes de l’école, le local vélo de l’immeuble. Je me sentais attirés par certaines copines de l’école, uniquement parce qu’elles avaient les yeux pleins de malice, en me détaillant de bas en haut avec un petit sourire enjôleur. P101
**Tout comme certain garçon, qui eux aussi me matent avec des yeux de filles aussi malicieux, quand je me balade en ville où a la piscine de pantin. Il me demande si je veux entrer dans leur cabine pour me changer en même temps qu’eux, en ayant pour prétexte d’éviter que j’attende qu’elle soit libre, et ainsi je profiterais de la piscine plus rapidement, ou encore quand je sors des douches de rinçages. Ils ne sont parfois pas beaucoup plus âgés que moi, certain mec devait avoir l'âge de mes cousins éloignés du côté de mon père, des vieux de 18/20 ans. Mais, si par hasard j'accepte, aussitôt dans la cabine, il me caresse le sexe et me demande à faire pareil avec le leur. Ceux-là sont pressants et nerveux, leur zizi très gros, droit et long avec des poils à la base. Je refuse leur offre n’en voyant pas l’intérêt, je ressors de leur cabine sans comprendre tout en leur disant que ça ne m’intéresse pas, mais, certains insistent lourdement. Ils reviennent parfois à la charge dans la piscine, voulant s’amuser avec moi, il me soulève par dessous l’eau. P102
**En faisant cela, il place leurs bras entre mes cuisses pour me projeter hors d’elle comme si j'étais sur un tremplin. Dans le bassin à chaque fois, qu’ils le font ils me tripotent les bijoux de famille et les fesses tout en se collant à moi d’où je ressens leur sexe raidi d’envie. Mais aussi bizarre que cela paraisse je n’ai pas peur, mais plutôt une envie qui s’immisce. Ce même genre de rencontre m’est aussi arrivé une fois devant un cinéma, je matais avec envie les affiches du film en projection. Je n’avais jamais vu de filmes encore, il me semble qu’à cette période, je devais avoir 11 ans, enfin, je crois. Ouais ! C’est ça juste après le décès de ma copine, celle qui s’est fait écraser par un camion. Un jeune garçon plus âgé que moi m’a invité à une séance, ce que j’ai accepté prestement, moi le naïf que j’étais, rien ne me laisser supposer autre chose. Mais durant la projection, il a commencé à me caresser le sexe, puis il à déboutonné ma braguette et sortit mon objet de sa cachette, et moi j’étais tétanisé ne comprenant pas ce qu’il voulait. P103
**Je le regardais me tripoter mon sexe et il grandissait a cet attouchement, et aussitôt qu’il vu que mon érection lui plaisait, sa bouche s'est refermée dessus. J’ai eu très peur en me tassant contrer le siège, essayant de repousser sa tête, mais je ne pouvais pas lui échapper. Mais la peur s’estompa quand il entra mon bijou et le ressortit d’entre ses lèvres souvent et rapidement, je ne comprenais rien, mais j’aimais bien ce qu’il me fit. Lui a priori s’amusait comme un fou avec mon sexe en érection dans sa bouche, jusqu’à ce que je me relâche de ce plaisir inconnu. Une séance que j'avais complètement oubliée, vu que mon intérêt se trouver plus à regarder le filme, un dessin animé de Walt Disney au titre de (cendrillon). Mais mon subconscient fonctionner dans les deux sens, ce qui m’arrivait ce confondez d’un double plaisir, tout aussi différent, j’avais l’impression d’être ailleurs. P104
Une découverte effroyable.
**Enfin, bref revenons à mes aventures futures au centre. Dès le lendemain de notre arrivée et les jours suivants, l’après-midi tout le centre se rend sur la plage, on nous occupe l’esprit et le corps à des sports différents dont les stages incontournables tel que la natation, le volley balle, le rugby ou le foot. Une pionne surveille notre petit groupe de 11/13 ans. Pour ce qui est des sports d’équipe, pas pour moi, merci. Chaque fois que j’en ai fait, je me suis retrouvé en fin de parcours avec mes fringues déchirées, des blessures, sans compter les nombreuses ecchymoses et une engueulade de maman. Alors depuis, bah j’évite autant que je le peux les jeux de groupe, ou le défoulement auto agressive pour certain prévaut au sport. Le soleil de mi-mars en Normandie n'est pas très puisant et les vents des plus constants en cette région n'améliorent en rien, cet effet de froid. Mais ! Cette journée à un ensoleillement rare et va être à tout point singulièrement des plus surprenant. P105
**J’ai toujours aimé patauger dans les éléments liquides, ma prédilection étant la natation, j’osais me plonger dans cette mer qui au premier abord ne me paraît pas si froide. Olivier m’ayant repéré sur la plage en a profité pour lâcher le groupe ou il évolue et me suit de près. Une seule phrase nous vient à l'esprit quand nous pénétrons dans l'eau < Bordelle, elle est glaciale cette flotte>. De cette mer gelée, nous en sommes ressorties aussi rapidement que nous y sommes entrés. Je suis complètement transi de froid, Olivier s'est collé à moi, et je ressens ce qui lui reste de chaleur. Alors nous sommes partis vers les dunes afin de nous sécher, mais en courant vers cet endroit abrité, je me suis pris les pieds dans un paquet d’algues. Voilà que, je m’affale de tout mon long dans le sable la tête dans le goémon ! Olivier éclate de son rire si communicatif en me voyant déguiser en bonhomme de sable, avec un chapeau d’algues sur la tête. Je repars sitôt pour me nettoyer, mais moins gaillard qu’à l’aller, en me dégageant de l’eau, j’ai encore plus froid et je claque des dents. P106
**Au bout de trois minutes, je n'arrive plus à contrôler mes grelottements, j’ai les dents qui jouent des castagnettes, je suis gelé à cœur. Et très rapidement des crampes sont à bloquer ma mâchoire, vigoureusement chacun essuyant le dos de l'autre, Olivier m'essuie énergiquement, mais quand il est sur mes fesses ou le long de mes jambes à hauteur de cuisses, il le fait très lentement, ensuite on s'allonge sur les serviettes, entre deux grandes dunes, à l’abri de ce vent glacial. Allonger sur ma serviette, Olivier continue à m'essuyait le ventre allant jusqu'au pubis, il commence à s'approcher plus près de moi et pose sa tête sur mon bas ventre, je trouve que c'est super agréable. La chaleur que dégage sa tête me réchauffe l'estomac, mais ça me donne la chair de poule. Pour le moment je ne comprends rien à ce qu’il trame. Le petit novice que je suis, na aucune idée de la suite ! Pour moi tout ceci n’est qu’un moment agréable, sans aucune importance. Mais au bout de trois minutes ! Il me dit d’une voix douce en posant sa main sur mon ventre. P107
**Hé bien dis donc, je constate que tu as déjà quelques poils sur le nombril et ça descend plus bas, dis-moi ? *Je lui réponds machinalement, bah oui ! C'est-ce que certains garçons de mon groupe mon déjà dit, par rapport à eux-mêmes et alors quoi, tu trouves ça bizarre. C’est à ce moment-là ! Qu’il s’aventure à écarter légèrement mon slip, comme pour confirmer ces paroles. *Puff, ça alors ? Hé sur le pubis aussi ! Waouh la belle bite, c’est mignon tout ça. **Je suis tout de même surpris par son geste et cette phrase en ne mit attendant pas. Mais pour la seconde fois, je n’en fais pas trop de cas. Je lui dis bêtement la première phrase qui me venait à l’esprit. *Je n'y peux rien c’est venu comme ça, en lui retournant aussitôt son étonnement, toi aussi tu as des poils sur le ventre, plus bas aussi, non. *Bah ouais qu’il me dit ! Je te ferais voir tout ça dans un moment, mais ferme les yeux, j’ai une surprise pour toi. P108
**Sur sa demande, je ferme mes mirettes, mes pensées à ce moment précis vont en direction de mes copains et Josette. Olivier commence à me caressait, avec une extrême douceur le torse, le ventre, puis les cuisses en arrêtant sa remontée à mon entrejambes. J’ai le sexe en érection, il le voit forcément. Cela me procure des frissons partout, mais je trouve ça très agréable. Je n'ai pas envie de lui dire qu’il arrête, mon corps commence à ressentir de nouvelles sensations. Elles viennent de naître en mon esprit et mon corps, ce sont des chatouilles des plus bizarres, qui se propagent dans mon ventre bas-ventre. Comme si plein de fourmis s'étaient donné rendez-vous en se baladant dans mon intérieur. Sans compter que ces doigts sur mon ventre le font tressauter de plaisir, le peu de malheureux poils sur mes bras et jambes se sont levés, je suis devenu érectile, alors me redressant sur mes coudes, cherchant bonnement une excuse, je lui demandais à quoi il joue, et illico je me retournais sur le ventre afin qu’il ne remarque pas trop mon érection. P109
**Ne t’énerve pas me dit il ! Je vérifie si tu as une belle et grande sensibilité à mon toucher. *A ouais et bien tu arrêtes ça, tu me donnes froid bordel ! Que je lui réponds d'un ton sec pour donner le change. *Quelques minutes plus tard, je me replace sur le dos et Olivier me refait la même chose, mais ce coup-ci mon esprit est à l’écoute. J’ai aussitôt le retour des fourmis, et une super érection. Je ne comprends pas le pourquoi à la réaction provoquée par Olivier. Voilà qu’il mate avec insistance cette bosse, qui fait tendre et remonter mon slip a chaque contraction, ça ne me gêne plus vraiment. Mais lui ! Afin de ne pas brusquer les choses, pose sa tête dessus ma bosse. La chaleur dégagée par sa nuque me le fait durcir encore plus. L’effet provoqué à ce moment, je l’apprécie volontiers. Mais en sexualité, je n’y connais pas encore grand-chose, mis à part ma superbe branlette où ces quelques bribes glanaient par-ci par-là qui ne me rappelle pas grand-chose qui me soit d’une correspondance. P110
* *(Oui ! Ho, ça va bien, je sais bien que je me répète, c’est pour vous faire comprendre à quel point je suis d’une très grande naïveté à ce moment-là). **Bon ! Continuons ! Mais le lendemain comme par hasard, qui n’en est pas un pour Olivier, nous nous sommes retrouvés tous les deux au même endroit dans les dunes. Il porte un maillot un peu serré, ce qui lui dessine ces attributs de manière bien significative. Lui faisant la réflexion, comme quoi je le trouve un peu à l’étroit, il me dit qu’il n’a pas trouvé son autre slip de bain. Il s’allonge à côté de moi et se colle au plus près de ma peau, voilà qu’il recommence à me titiller les sens. Je pense en moi-même, encore un de ses essais de frisson. Erreur mon petit bonhomme. Ce coup-ci, il a changé sa façon de faire, il me couvre de petits baisés appuyés sur la poitrine. Ensuite sur le ventre et le bas-ventre allant jusqu'à écarter et descendre mon slip d'une main. Dévoilant ainsi mes poils pubiens, et précipitamment il y déposa plusieurs baisers sur le bas de hampe, ma verge est déjà rigide. P111
**Tout cela me plaît tellement, que j’ai envie de me branler, alors je garde les yeux fermés et ne dit plus une parole, restant dans l’expectative de son savoir. Avec sa bouche, il remonte sur ma poitrine et redescend jusqu'à mon pubis, ces caresses me provoquent une dure érection. Je ressens mon slip se tendre à chacune de mes contractions du sexe, Olivier écarte mon maillot de bain, et de ses mains, le fait glissé tout en disant. Il faut de l'air à tous ces joyaux hein, qu’en penses-tu mon Sergio d’amour. Sitôt dit ! Sitôt fait, mon sexe et entre ces mains expertes, qu'il engloutit dans sa bouche et masturbe avec gloutonnerie. C’est pour moi à ce moment présent tout ce qu’il y a de plus impensable. J'ai un mouvement, de recul dut au fait de la surprise, mais il me maintient par les hanches avec force, je ne sais quoi dire ni penser. Mon esprit s'est tétanisé et mon cœur bat la chamade de ce moment délicieux. Ce temps de béatitude, je n'ose ouvrir les yeux, par crainte que tout cela s'arrête, ma verge est tellement tendue que sa en deviens presque douloureux. P112
**Puis je décide d’ouvrirent les mirettes tout de même pour voir mon plaisir, je constate que mon sexe sort de sa bouche et sursaute à chacun des va-et-vient buccaux. Mon envie devint encore plus grande, quand aussitôt il absorba comme une nouvelle gourmandise mes testicules, les faisant voyager dans sa bouche comme des bonbons, un moment fort agréable. Cela me rappela le garçon du ciné que j’avais oublié, jusqu'à présent. Après bien dix bonnes minutes de ce plaisir, Olivier arrêta de me sucer et me dit ! Hé bien dit donc, tu es chaud comme mec toi. Tu caches bien ton jeu, c’est la deuxième fois que tu éjacules dans ma bouche. Ton sperme a un goût sucré, il est trop bon crois-moi. *Hé bien, j’ai joui sans savoir le pourquoi de cette situation. Je sais pertinemment qu’un immense plaisir ma parcouru tout le corps, et provoqué comme un feu d’artifice dans les neurones et dans le ventre, un truc difficile à définir. Comme si on m’avait balancé une décharge électrique dans le crâne et le long de ma colonne vertébrale, j’ai adorer cette instant. P113
**Mais, j’étais tellement absorbé par ce qu’il me faisait, que je m’en suis à peine rendu compte ! Tu parles d’un nul. Dans ma tête, c’est tout emmêlé quand je repense à ces superbes caresses, moi qui ne connaissais que mes manipulations mêmes si je les croyais suffisantes. Je ne connaissais pas cette forte montée d'envie de sexe, un plaisir que je ne contrôlais pas ! De ces mains libres, olivier continu à me caresser le corps avec beaucoup de tendresse, puis il vint à s’attardait très volontiers sur mes deux petites fesses rondes, y faisant le tour plusieurs fois. Il va jusqu'à me frôler l'œillet avec ces doigts à plusieurs reprises, qui de se fait ce contracta à chaque passage, mais il ne chercha pas à en faire plus pour le moment ! *Personne sur la plage ne faisait attention à nous, nous sommes bien cachés, grâce à de hautes dunes. Il continue de me biser le corps, de me le lécher, j’ai la respiration haletante, puis soudain il fut pris d’une envie extrême, saisissant ma main, il la glisse dans son maillot qu’il a descendu un peu plus bas, et la serre autour de son sexe qui est dur et sautille tout comme le mien. P114
**C’était comme si je ressentais chacun de ces battements de cœur, du a son envie, je resserrais ma main fortement sur son objet. Je suis couché le long de son corps, il fit un demi-tour sur lui-même et me voici face à ces poils pubiens et son bâton de jouissance. Je ne sais pas trop ce que je dois faire, et, pourtant je fais glisser son slip pour avoir plus d’aisance. Je trouve que sa peau est douce et qu’elle sent bon, son sexe est près de mon visage aussi important que le mien. Je décide de tenter l’aventure hésitant sur la façon, puis je fais comme pour moi, lui faisant de belles caresses. Pour ensuite le balloter d'une main, décalottant son gland rouge d'envie et de l'autre, je tripote ces bonbons de chair que je serre fortement, et les faits roulés entre mes petits doigts. Mes mains de tant à autre voyage sur ces petites fesses bombées, et au passage de mes doigts sur son anus, le fait se tortiller de plaisir. Je ressens son souffle chaud s’accélérer sur mon bas-ventre, et sur mon sexe, qu’ils sucent avec un délice certain. Puis j'entends de petits bruits de gorge en prière, il est à déglutir. P115
**HAA ha oui, hum, plus vite mon Sergio, c'est trop bon, je t’aime-toi, je t’aime trop. J’accélérais mon mouvement, quand soudainement il lâcha un (HAA) de soulagement ma main devint poisseuse et collante, Olivier venait d'éjaculer de ce bon plaisir. Puis en levant la tête de mon entrecuisse, il aperçut d’un in extremis la pionne qui venait dans notre direction. Décollant rapidement son corps du mien, il essuya ma main puis sa cuisse souillée de sperme avec sa serviette. *Je n’ai rien vu de ce qu’il veut me faire savoir étant donné que j’avais le dos tourné, un petit peu agacé je lui demandais ce qui se passe et pourquoi il ce trouve surexcité. *Hé Sergio, tu dors, regarde qui vient à nous ? *Moi évidemment je ne l'ai pas vu venir, trop occupé à mon plaisir et tendant à lui en donné aussi. Je me sens un peu bête et surpris du fait qu’une femme autre que ma mère me voit totalement à poil. Maintenant, elle est devant nous ! Comme l'on ait nu comme des vers, celle-ci face à nous prend bien son temps et nous reluque un petit moment. P116
**Puis, nous signifie d'un ton des plus mielleux de rapidement nous rhabiller, nous regardant avec un grand sourire. On renfile nos slips devant elle, moi un perdu quant Olivier sans peur me dit. *Viens, on va se taper un plongeon dans l’eau, sitôt dit, il se lève, court dans sa direction, moi sans réfléchir, je le suis dans sa course comme un automate, ayant oublié que l’eau est gelée. J’ai l'impression d'être ailleurs, comme dans un rêve éveillé. Mais à peine, je me trouve les pieds dans l'eau, avançant jusqu’à la taille qu’une seconde exclamation nous vint à tous deux en cœur. *Putain, elle est toujours aussi froide la flotte. On ressort aussitôt de l’eau tellement, elle nous a glacé les os, alors là c’est sûr, je me sens réveillé ! On s’essuie rapidement à cause du froid. Chacun, de nous frotte l’autre rapidement pour empêcher que le froid ne nous provoque des tremblotements incontrôlables. En matant Olivier qui s’essuie, j’ai une pensée en mon intérieur, qui me remémore cet excellent instant, celui de mon premier acte sexuel probablement et ce n'était pas du tout l'idée que je m'en faisais. P117
**Il est vrai que j’en ai entendu si peu jusqu'à présent sur ce que l’on peut faire de son corps, mais, cela ne correspond pas vraiment, même si j'ai trouvé un plaisir plus que certain. Olivier a rejoint son petit groupe, faisant avec d’autres des exercices de respiration. J'ai, beaucoup de questions à lui poser ! Alors un peu plus tard, je parviens enfin à l’agrippé alors, qu’il ait assis pour reprendre son souffle. Je lui pose la question de confiance sur notre petit amusement. Olivier hésita un peu puis il me dit d’un ton du plus convaincant ! C’est ça faire en partie la chose, je t’en ferais voir plus la prochaine fois, tu verras, c’est super bon, tu raffoleras de ce moment ? Bon et bien je n'en sais pas plus qu'hier matin, enfin presque, vu le jeu auquel je venais de m'amuser. Le souvenir du garçon du cinéma me trotte dans la tête, me demandant si ce n’est pas cela le fameux secret d’Olivier sur la chose. Je pense vraiment être passé tout près de quelque chose d’autre. Mais quoi ! Enfin, bref, je verrais plus tard, et en apprendrai surement plus par la suite comme me la promît Olivier. P118
**Avec nos agissements à l’aveuglette, ce que l’on n’a pas remarqué le jour même, ce sont les trois ombres cachées dans la dune, justes au-dessus de nous et ceux-ci n’avaient rien loupé à cet ébat ? Effectivement ! Le jour suivant, toujours entre nos dunes, mais ce coup-ci on est tout de suite à poil, Olivier fait tout ce qu’il m'a dit ! Étant à me faire voir sa science sur le sexe, donc à m’en montré plus. Au début avec pas mal de réticence, je tente ma première entrée de masturbation buccale, je ne trouve pas ça extraordinaire, dans la limite du dégueu, son phallus est dans ma bouche, mais ça me donne des hauts le cœur. Puis à force de la rentrée et la sortir d’entre mes lèvres, je finis par trouver cela même motivant. Mon sexe est devenu très dur, Olivier me fait la même chose, m’encourageant de ces caresses savantes. Juste après cette action buccale, Olivier s’est placé contre moi, il a collé ses fesses contre mon bas-ventre. Il n’arrête pas de se lustrer contre moi, et après avoir déposé de sa salive sur mon gland, nerveusement il le frotte sur son anus brûlant. P119
**Presque aussitôt, il le pousse légèrement en son intérieur avec conviction, moi j’ai le sexe hyper tendu, je me rends compte instinctivement que je l’aide avec force à entrer en son passage. Mon gland est entré entièrement, lui écartant sa rondelle. Je sens que je vais jouir, quand mon esprit en alerte me fait lever la tête ? On n’a pas le temps d’aller plus loin. J’aperçois trois garçons qui nous épient sur la dune au-dessus de nous, ils ne font rien pour se cacher. Tout affoler je le fais savoir à Olivier ! Mais, celui-ci me dit de ne pas trop m’inquiéter que ce soient probablement que de simples voyeurs inoffensifs. Ha ouais, tu crois. Tu parles, cela a tout de même freiné nos ardeurs, nous nous sommes rhabillés et chacun et repartis en direction de son groupe respectif. Il est 17 heures, et tout le monde rentre au centre pour se préparer avant le dîner. Douche collective et tenue propre pour tous, avant la rentrée dans le réfectoire en silence, où chacun doit reprendre sa place habituelle. Je me retrouve donc assis au côté d'Olivier, qui a toujours des envies de sexe, vu qu’il est resté sur sa faim. P120 |