| 6 /12 ans, bafoués violés.Mon silence vers Olivier.
**Pour en revenir à Olivier. J’évite même de lui parler, il me demande plusieurs fois, pourquoi je lui en veux. Je lui réponds que ça n'a rien à voir avec lui qu'il se fait des idées. Il ne peut pas savoir que je fais ça afin de le protégé des trois violeurs, pour qu’ils ne pensent pas que je lui en aurais parlé de cette nuit aux douches. Les trois salauds sont partis très tôt ce mardi matin vers sept heures, le dernier jour de mon calvaire. De la fenêtre du dortoir, j’ai craché sur la voiture qui les emmène loin de moi. En descendant dans la cour, je repère Olivier assis sur la dernière marche du réfectoire, son visage est marqué d’une grande tristesse. Comme les violeurs sont partis, je finis par me faire violence me décidant à tout lui avouer en aparté dans un coin retiré de la cour, le pourquoi de mon silence vers lui depuis plusieurs jours. Je lui racontais ce qui m’était arriver en cette horrible nuit mouvementée, et de la fin de semaine qui suivit, d’où je tentais sans succès à leur échapper. P151
**Après m’avoir écouté très attentivement sans dire un mot, il me regarda ébahi et des larmes perlèrent sur ces joues, puis d’un coup, ces yeux se furent noirs ! Il me lança une terrible phrase ! Tu aurais dû me le dire quand même, tu n’as pas eu confiance en moi, j’aurais pu t’aider. Ces mots alignés durement me rendent des plus tristes, et m’étonne venant de lui, j’en reste muet, le cœur serré, je me suis mis à pleurer. Je me sentais d’un coup poignardé de son incompréhension ! Puis il se retourna et partit en direction de son dortoir. Olivier vient de meurtrir mon âme, moi qui ne voulais que le protéger ! Je ne le reverrais qu'à l'heure du dîner. Arrivant le dernier, il est venu s'asseoir près de moi, et quand de ces grands yeux, il me regarda fixement. Un sourire radieux éclaira son visage, il me demanda à lui pardonner sa mauvaise réaction, en signifiant d'un second sourire sa contrition. À la fin, du repas ! Nous retrouvant tous deux et seul dans un coin de la salle de jeux, il m'expliqua la raison de son départ après ma narration sur cette longue, désastreuse aventure d'une nuit. P152
**Il m’expliqua que lui-même avait subi cet avatar dès l'âge de treize ans, presque le même genre de mésaventure dans une cité d’Aubervilliers où il habitait. C'est pour cette principale raison qu'il a été envoyé dans ce centre pour la seconde fois. Mais il n'a pas eu ma chance, si l'on peut dire, c'est ce que je pense en écoutant sa narration. Dans une des rues de sa cité, les loubards qu'il a eu le malheur de croiser ont été très violents. Pour l'avoir d'abord roué de coups histoire de passer le temps et s’amuser un peu, avant de le violenter sauvagement. Ces sept garçons de 20 ans de moyenne l'ont laissé pour mort sur le trottoir tout ensanglanté et nu. Vu l'heure tardive à laquelle cela s’est passé, il n'y avait personne pour lui porter secours ! C'est sa sœur aînée en allant faire une promenade avec son ami, qui sur les coups de minuit, au hasard de leur ballade, l'avait découvert dans un état assez grave. Le couple le transportèrent eux même aux urgences de l'hôpital le plus proche ! et malgré la plainte qui fut déposée, ils ne retrouvèrent aucun des violeurs. P153
**Dans la région cela fit grand bruit, et depuis cette nuit, il garde toujours cette peur l’attente de devoir les recroiser, quand il fait une balade dans la citée. C’est pour cela que ses parents ont décidé de déménager de la cité, en s’installant sur Le Raincy. Je viens de comprendre maintenant le pourquoi de cet amour, tendresse infinie qu'il a pour sa sœur et ses proches. Il me dit aussi que depuis cet événement, il s'est vu confirmer sa propre sexualité. Ce serait elle aussi, imposait de ce non vouloir, dû à cette vicissitude. Depuis, il ne peut s'empêcher de draguer les garçons qu’ils croisent, quand ils les trouvent de toute évidence mignons. Il se sent attiré irrémédiablement vers eux, toujours en gardant cette peur et l'espoir d'être pourtant aimé. Le lendemain après être sortis du réfectoire, tout en discutant nous nous sommes trouvées derrière les cuisines. Olivier a pris la direction des taillis et du bouquet d'arbres situés sur la droite, nous nous sommes allongés sur l'herbe, à l'abri des regards. Olivier devient entreprenant en commençant à me faire de doux câlins et attouchements. P154
**Son envie devint trop grande, il me demanda si je veux bien faire la chose avec lui. (La chose ? la chose, je vais savoir enfin en quoi cela correspond pour lui). Après ce qu'il venait de m'avouer, je n'ose le décevoir et lui réponds très timidement ! Bah oui si tu veux, je t’aime bien. Je vais enfin savoir ce qu’est la chose, même si maintenant j’ai une certitude sur ce qu’il devait me dire. De toute façon, Olivier m’a dit que c’était tout à fait normal de le faire entre garçons. Alors bien entendu ? La question est ! Pourquoi ces trois garçons avaient-ils forcé mon passage, plutôt que de me demander ouvertement, où en me draguant. Il se met aussitôt à m’embrasser en glissant doucement sa langue dans ma bouche, c’est la deuxième fois qu’il me le fait, cela me surprend encore n’ayant pas l’habitude, j’ai eu un haut-le-cœur qui a passé très vite. Puis il retira ces vêtements et aussitôt m’aida à retirer les miens fiévreusement. Je le ressentais presser a me voir nu, on ne ressentait pas le froid, car nous sommes tous les deux chauffés par nos envies, notre âge aidant aussi à cet état de fait. P155
**Les murs de la cuisine faisaient une barrière à cette fraicheur, mais aussi grâce au taillis très touffu qui nous protégeait ! Mais les herbes et aiguilles de pin nous piquaient les fesses. Nous décidons d’éparpiller nos habits sur le sol pour plus de confort. Il en vient à me caresser, puis à me lécher le ventre, la poitrine, puis retourne sur mon bas-ventre. Il continua son aventure sur mon corps, le long de mes jambes pour finir entre mes cuisses, d'où il saisit mon sexe de la même façon à absorber une grosse sucette, je fais la même chose avec le sien. Se viole m’avait probablement d’écraser l’esprit plus vite que je ne pouvais me l’imaginer ! En mon for intérieur, je suis en train de trouver cela fort agréable. Une plus forte envie le tenta quant il se coucha sur moi, ventre contre ventre, sexe contre sexe tout à ce frotté. Puis, saisissant mon sexe il le plaça sur sa fleur à l'ouverture et se laissa pénétrer jusqu'à ce que ces fesses touchent mon pubis. Mon cerveau et mon corps furent en feu de me voir l’aimé en sachant que la chose ce faisait d’un commun accord pour la première fois. P156
**Mon sexe se trouvait dans un endroit chaud, et qui n’avait nullement besoin de mes mains ni de souffrances pour joui, tout cela se faisait sans arrière pensé avec nous-mêmes, Olivier poussait de petits cris de plaisir et quelques halètements. Puis il se retira et me lécha l'anus, et engouffra mon pénis et ensuite mon matos dans sa bouche, Je n'avais pas encore eu mon orgasme, mais ça monter et quant je me suis mis à jouir, il avala mon sperme et lécha le tour de mon gland comme une glace. Je me sentais dans un autre monde et j’avais adoré ça, devenais-je fou. Nous avons fini nos furieux ébats comme deux bêtes fauves en pleine savane. Je remarquais qu'Olivier n'avait cherché à aucun moment de ce mélange à me prendre ma fleur, contrairement à ce que firent les autres fumiers. C'est con, mais j'aurais eu presque envie qu'il me le fasse, cela m'a tenté de le lui demander, mais je n'ai pas osé. Le soir tombe vite en hiver, ainsi que le froid, il est tant pour nous de rentrée. Nous nous sommes rhabillés et nous avons repris le chemin du retour, tout au début nous restions silencieux. P157
**Puis l’on c’est mis à se parler de nous à d'autres choses, mais surtout de nos pâles déboires mêlés à ce que nous avions aimé, tout en marchant en direction de nos chambres. Je le trouvais rêveur et il ne me répondait pas, quand je lui demandais s’il veut toujours corriger mes prochains devoirs. Je le trouvais bizarre, il avait un air triste, et en cela malgré ce bon moment que l’on avait passé à être communié ensemble. J’avais cette impression mauvaise comme quoi il me cachait quelque chose, m’en voudrait-il encore de mon silence passé. Il me quitta devant l’entrée après m'avoir offert un très long baisé, accompagné de caresses. Il est plein de tendresse réussissant une nouvelle fois à me faire triquer. À demain lui dis-je à l’oreille en lui souhaitant une bonne nuit. Sa réponse fut vague en me disant ! Oui, surement. Merde ! Je suis en retard pour me laver et je vais me faire tirer les oreilles par la pionne, les autres de mon dortoir sont certainement déjà dans leur lit. La pionne de la plage et maintenant ma surveillante, et dès mon arrivée, elle n’est pas contente et me fait de suite la remarque de ce retard. P158
**Je me retrouve tout penaud dans les douches, quand elle m’y accompagne, je me déshabillais devant elle. Commençant à me savonner puis me rincer, je ne sais pour quelle raison, mais j'avais la trique, elle vint vers moi, me détailla en me souriant, puis me dit de me dépêcher, et pour que cela aille plus vite, elle me frictionna d’une autre serviette. Ses mains se promenaient, m'essuyant la poitrine, le ventre et bas-ventre. Elle insista assez volontiers sur mes parties génitrices, et mon érection devint plus forte encore, mais a priori, cela ne la dérangeait pas. J'enfilais mon pyjama, remontais dans le dortoir et me couchais sous son regard devenu pétillant. Près de mon lit, elle s’agenouilla et me donna une petite tape sur les fesses, puis déposa un baiser sur ma bouche. Elle me souhaita une bonne nuit sans cauchemar, sa robe de chambre est plus qu'entrebâillée, et mes yeux découvraient ces petits seins très sympas, ainsi que le bas de son ventre, il n'y a rien d'autre à regarder à part cette touffe de poils en triangle et j’en fus très étonné et mon regard resta figé sur vénus. P159
**Ce baisé sur la bouche que j'ai trouvée très doux, plus cette vision mon rendu tout bizarre, cette pensée ludique me fit redresser la bête. Avant de m’endormir, je me caressais en concluant par une masturbation sous mes draps. Après avoir éjaculé sur mon ventre, je pensais à un truc qui me tenta d’essayer ! Tiens au fait, je viens de me souvenir qu'Olivier avaler mon sperme, il m'a dit trouver ça bon. Donc ! Je devais pouvoir l’avaler moi aussi, je m’essuyais de mes doigts, les portés à ma bouche, je trouvais de ma raison ce goût sucré et acre en même temps. Ce n’était pas si mauvais, après tout c’est de moi, et pour ce qui est du reste, je m’essuyais au drap du dessus. Le sommeil me prit sitôt fini mon petit nettoyage de nuit, à la façon chat de gouttière. J’avais peur de m’endormir et de retomber dans mon cauchemar de viol, mais aucune crainte ne suivit mon sommeil. Au matin j’avais fait une belle nuit, mais il me parvint ce doute de la veille en faisant ma toilette avec les garçons du dortoir se trouvant à côté du nôtre, ils parlaient de ceux qui sont absents ce matin très tôt. P160
**Un petit nombre dès 14/16 ans sont repartis chez eux hier soir vers 23 h, même ceux qui sont retournés chez eux n’étaient pas au courant du temps qu’ils leurs restaient. Et oui c’est comme ça que j'ai appris aussi le départ d’Olivier au petit matin, sa cure étant finie, ses parents sont venus le chercher en voiture. Je comprends pourquoi il se trouvait si triste, je lui en veux un peu quand même de ne pas me l'avoir dit en tête à tête. J'ai horreur des mauvaises surprises, j'en ai subi pas mal, ceux venu du centre principalement ou de mon quartier avec les grands, plus ceux qui sont venus de ma famille. Je pris ma serviette de toilette pour m’essuyer et un bout de papier en tomba, Olivier y avait écrit ce qui n’avait pas su me dire. Je glissais le pli dans ma trousse de toilette en espérant que personne ne met aperçu, je n'avais pas envie de donner d'explications. Je terminais de m’habiller rapidement, je suis une fois de plus en retard pour le petit déjeuner, et cette journée ne commence pas bien du tout. Mais en arrivant à la cantine, la tristesse me gagna, et des perles coulaient sur mes joues. P161
**je pensais que je n’aurais plus mon petit diable de cœur à mes côtés, ses rires, ses caresses, ses bisous intempestifs. Merde me voilà encore d'une descente de larmes, je déjeune en pleurant et les autres gamins ne ce tentent pas à me faire rire. Il n’y a que Xavier qui essaie tant bien que mal à me faire sourire, il est loin d'être un con, depuis le début, il a compris notre petit jeu entre moi et Olivier. Il a tout de même réussi à me faire rire aux éclats en me disant qu'il m'aiderait pour la correction de mon vocabulaire, mais il est encore plus mauvais que moi à cette discipline. Vers les 15 h 30 nous sommes comme d'habitude sur la plage, à y faire notre sport quotidien, J'ai laissé supposer à ma prof que je ne me sentais pas bien du tout, elle m'a donc mis de côté sans me poser de questions. Je suis parti à l’écart, puis je me suis caché entre mes deux dunes pour y lire ma missive. Je me suis mis nu sur ma serviette, et je regarde ce bout de papier sans oser le déplier, bon il va bien falloir que je m’y aventure. Je me décide enfin à lire son courrier avec une certaine détresse, il y décrit les beaux moments. P162
**Il me remercie du temps que l’on à passaient ensemble, m'embrassant sur tous les endroits de mon corps qu'il a tant aimés et désiré. En PS, il y a laissé son adresse dans le cas où je serais sur Le Raincy. À peine ma lecture faite qu’aussitôt une grande solitude me submergea, je n'avais pas pensé une seule fois à ce moment qui deviendrait dans la logique des choses plus qu'inévitable. Il m'apparaît aussitôt que je vais être à nouveau un garçon seul ! Mais plus je réfléchissais à l’idée et plus je me disais que de toute façon, quelque part j'aimerais cette solitude, surtout depuis cette atroce nuit de cauchemar les yeux ouverts. Déjà ma peine montre son nez, et mes larmes, qui se font de plus en plus précises, et les images de certains jours pointent à l'horizon me donnant encore d'autres souvenirs, poursuivi de pleurs plus abondants. J’ai le cœur si serré que j’ai envie de mourir, c'est depuis ce jour que mes mots sur des feuilles de papier quadrillé dansent, mon premier poème se mit à naître, et au fur et à mesure que j'écris, les larmes recommencent et perlent sur mon visage. P163
Désarrois.
**J'essaie de me contrôler, mais ma peine et forte et perdure, il s'ensuit une belle crise de détresse. Quand soudain, plongé dans ma pensée négative, j’entends une voix très douce ! Je me retourne et mes yeux embrumés de larme ne le distinguent pas bien, il me semble l’avoir aperçu plusieurs fois durant nos promenades avec Olivier. Je finis par voir le visage d’un jeune et beau garçon très brun. Celui dont Olivier et moi on s’est souvent demandé si parfois, il ne nous suivait pas, il me parle tous doucement, me disant ces mots. Salut Sergio ! *Je crois savoir ce que tu ressens, si tu veux, on peut devenir des amis et plus peut être. Je suis vraiment désolé que ton copain Olivier soit parti. *Je tiens à ce que tu saches que, je te trouve mignon. Moi aussi tu sais ! J’ai eu mes 15 ans comme Olivier, il y a de cela quelques jours. *Moi, méchamment et toujours a ma peine, je lui dis ! Que veux-tu que ça me foute. P164
**Un silence grave s’ensuit, puis il continua son discours sans se sentir vexé. Je m’appelle Cédric, je suis attiré par les garçons, depuis longtemps déjà. J’aimerais t’embrasser encore, comme dans le car et au tennis de table. Tu ne t’en souviens sûrement pas. Mais je t'ai aimé exactement le jour de notre rencontre et désiré tout aussi fort. *Le silence devint pesant, il reprit d’une voix tremblotante. Tu ne le sais pas, mais chaque fois que je te croise, mon corps brûle, si tu veux y réfléchir, dis-moi quand on peut se voir, je t'aime et j'attendrais ta réponse. Je ne le regarde pas plus, je ne sais pas quoi lui dire, j’ai le cerveau totalement embrouillé par ma tristesse. Je lui réponds quand même par un regain de politesse. Après qu’il met déposé un baissé dans le cou et sur l’épaule. *Laisse-moi s’il te plaît, je n’ai vraiment envie de voir personne pour le moment, alors laisse- moi tranquille. *Il ne me répond pas, mais il déposa un second baisé, sur le bas de mes reins et ce coup-ci, il repartit d’où il est venu. P165
**Le lendemain dans la dune, c'est mon deuxième gros coup de cafard, celui-ci, est encore plus monstrueux, que la veille, je me suis allongé toujours nu sur ma serviette, le regard tourné vers le ciel. Mes pensées vont à Olivier comme si j’étais épris de lui, je me suis remis à pleurer de ce manque a ma vie, quand finalement à bout d’arguments moraux très doucement je me suis endormi ! Je me suis réveillé subitement à cause de frissons tout en ressentant des caresses sur le corps. J’ouvris les yeux, puis me retournais pour récupérer mon tricot, et aperçus Cédric à côté de moi, il est à me caresser le dos, les fesses et lui aussi est nu. Je suis ébahi par sa grande certitude quand, il osa m’embrasser sur la bouche, je suis surpris aussi par sa plastique d’une belle perfection. Il se pencha vers moi, posa sa main sur mon ventre, me susurrant ces mots à l'oreille en me la mordillant subitement. *Je t’aime, faisons l’amour, laisse-moi te faire l’amour, s’il te plaît, je te jure que, jamais tu n’oublieras notre rencontre. P166
**Il se le frottait contre ma cuisse, je constatais que son bâton fut raide, sitôt je matais le mien en visualisant mon bas-ventre et vis que je me tapais une superbe érection. Évidemment Cédric, l'ayant vue et provoqué, il saisit mon sexe dans sa main, l'absorba aussitôt à pleine bouche et fit tourner mon gland dans sa bouche comme un bonbon. Puis, il attrapa ma bourse entre ses lèvres et il tira dessus comme un élastique, ça me fila une trique d’enfer. Tout cela en quelques secondes, et moi je ne bouge pas, comme figé d’une peur intérieur, je ne supposais pas pouvoir trouver encore du plaisir, ce malgré les ennuis et la tristesse d’une séparation. Ne me brutalisant pas, je me décidais donc à oser lui rendre la pareille, commençant à jouer avec ces bijoux, il est vraiment bien fait et très sensuel. Il se tortille, et se frotte contre moi langoureusement, il se mit à m'embrasser longtemps en me roulant une super pelle. Ma peur venait de s’évaporer, je le sentais fragile tant il me caressait avec douceur. Puis il me glissa un doigt dans l'anus, tout en me léchant l'entre cuisses, et là j’ai eu de nouveau peur. P167
**Il me regarda en souriant et je n’eux plus peur, il continua en remontant sur mon ventre de sa langue, ce qui endurcit mon érection de plus belle. Il se tortillait, et comme Olivier il s’asseyait sur mon ventre. De sa main il glissa mon sexe vers l’entrée de son anus, et se laissa pénétrer tout en poussant un cri de jouissance. Ouah c’est trop bon ! Oh oui, merci mon petit chéri. *Ces mouvements sur mon corps me donnaient l’impression qu’il fit du cheval, lui aussi avait ces petits halètements de plaisir tout en continuant à m’embrasser le visage la poitrine. Machinalement je commençais à avoir moi aussi des mouvements rapides de bassin. J’avais le sirop qui remonter, et Cédric l’avait déjà compris, se désolidarisant de mon bâton, il plongea sur mon sexe en l’avalant et continuant la masturbation jusqu’au moment où je déchargeais dans sa bouche. Je l’entendais déglutir et de sa langue, il léchait le tour de mon gland comme pour ne pas en perdre une goutte. Puis il continua son jeu en me donnant plein de petits baisés sur tout le corps, jusqu'à atteindre ma bouche haletante. P168
**Continuant dans ça lancé, il redescendait pour me biser la verge, l’entre cuisse sans oublier les pompons. Ce mec me fit super jouir, je ne suis pas son premier garçon de toute évidence, car je commençais a comprendre l’engrenage d’un corps pris de frénésie. Après que nous nous soyons bien amusés, on a commencé à discuter sur les faits qui se sont passés dans le centre. Je restais silencieux sur ma déconvenue avec les 3 lascars. Il a fini par me demander si je me souvenais de lui ! Moi sur le coup, je ne sais pas trop quoi lui dire ! Puis, je fis comme ci cela me revenait en mémoire comme une éclaire. *Oui ! Tu es le garçon qui m’a appris à jouer au tennis de table. Au début, je ne t’ai pas calqué, maintenant oui je me rappelle de toi. Ouais c'est bien toi qui m'as collé quand on était joué à ce jeu et ça na pas du tout plus à Olivier, tu te souviens. Il a fait son mec jaloux comme tu l'aurais fait, je suppose, bon et bien c'est plus la peine d'en parler hein, tu sais qu'il est parti hier. Aussitôt, il me dit ! Tu ne te rappelles pas dans le car, tu déconnes là hein dis moi. P169
**Le garçon qui t’a réveillé en arrivant ici, tu avais la tête sur mes cuisses, et bien c'était moi. *Désolé, mais je ne m'en souviens pas. *Je viens de lui mentir, pourquoi je n’en sais rien ! Enfin si, je l’aime bien, mais c’est pour qu’il ne se sente pas irrésistible. Cédric continua à me prodiguer des caresses sur l'ensemble de mon corps, posant ces lèvres constamment sur les miennes, et j’adore que l’on me fasse cela. Je trouve le baiser motivant, agréable et bandant. Tant et bien que j'essaie de l'introduire une seconde fois, il me regarda en fronçant les sourcils, puis en me souriant, il écarte ces cuisses, relevant ces jambes, les posa sur mes épaules. J'en profitais pour me glisser entre, et lui enfiler ma queue à l'intérieur de se corps que je ramonais de plaisir, pendant que je le lime, il se caressait le sexe, et ce jusqu'à ce que je me déverse en lui pour la seconde fois et lui sur mon ventre. *Ensuite, nous nous sommes rhabillés vite fait, on avait aperçu la pionne, qui venait vers nous, suivie de gamins, il était inutile que l'on nous repère, comme cela failli se faire avec Olivier. P170
**Et aussitôt on est partis chacun de notre côté rejoindre notre groupe respectif, mais à peine sorti des dunes, je suis hélé par la pionne ! Que peut-elle me vouloir ? Elle me demanda avec un sourire, à bien vouloir remplacer un des joueurs de volley-ball. Il valait mieux que je ne me fasse pas repérer, je la soupçonne d’avoir un doute sur mes faits et gestes. Cela ne me plaît pas ces jeux en groupe, mais, là je n'ai pas vraiment le choix. Me voilà embrigadé dans une partie de volley, et contrairement aux autres sports, celui-ci ne me paraît pas violent du tout. J’ai au moins gagné le fait de savoir joué à ce sport, le côté agréable c’est que sur le sable quand je tombe, je ne me blesse pas. Un des nôtres s’est mis plein de sable dans les yeux, Cédric a rejoint notre équipe, il se trouve juste derrière moi, et il est constamment à me dire de petits mots très, très subjectifs. Jusqu’à ce qu’il se retrouve sur moi en voulant frapper une balle rase de sol, au passage en se relevant, il posa et glissa sa main dans mon short, ni vu ni connu. P171
**C'est malin me voilà avec une belle trique, elle ne passe pas inaperçue, la prof me demanda à venir la voir, et elle me fit asseoir le temps que cela se calme. En n’oubliant pas de me faire un sourire des plus enjôleurs, suivi d'un clin d'œil. Cédric qui me mate se fend la gueule en me montrant qu'il se caresse son matos, tout en faisant tourner sa langue autour de ces lèvres. Moi évidemment en le regardant, je suis obligé de sourire de ce sous-entendu. Sur la fin du jeu, le fameux garçon qui avait du sable dans les yeux vint me voir et me dit qu’il à trouvé que je bandais un peu vite au contact d’un garçon. Je me suis mis aussitôt à rougir, et en me souriant me demanda d’amblé si mes soirées sont toutes prises pour un corps à corps. *Je ne sais pas quoi lui répondre et rougis encore, il est du groupe des 16 ans puis il me donna son prénom. Je me nome Silvio, je suis d’origine italienne et toi tu es d’où. Moi en bafouillant ! Heu ! Moi je suis sur Blanc-Mesnil, tu habites en Italie, que je lui demandais bêtement ? il se mit à rire, et me dit, elle est bonne celle-là ! P172
*Non belle petite gueule, je suis de pantin et je fais partie de l’équipe de natation, je suis sûr de t’avoir déjà vu dans cette piscine ! On n’oublie pas, un visage comme le tien mon pote. *Il me drague ouvertement devant Cédric qui vient de se joindre à nous, celui-ci lui demanda à aller voir ailleurs. Ce qu'il fit en m'envoyant un clin d'œil avant de partir, mon défenseur me prit par la main me tirant vers le centre. En arrivant aux douches, avant de nous séparer, je lui demandais s’il serait d’accord pour me venir en aide rapport à mes devoirs de classe. Il accepta, en me donnant rendez-vous devant la cantine pour le lendemain matin. Je venais de m'apercevoir qu'il est bien facile d'oublier une douleur ou même une personne pour le peu que tu sois avec des sentiments trop près du cœur et d'une autre façon attirer ailleurs. J’aime Olivier et du même coup, j’aime aussi Cédric ! Alors je me demandais comment cela peut être possible d’avoir plusieurs attirances. Mes neurones fonctionnaient à fond, sans pour autant me donner la réponse, ce qui me provoqua aussitôt de la tristesse. P173
**J’aimerais que l’on me dise ce qui ne tourner peut être pas rond chez moi ! je me sentais changer et chaque fois que je regardais un garçon et qu’il me plaisait, je me voyais déjà lui faire la fameuse chose, et en pensant à ce mot qui me venait d’olivier, je me suis mis a rire aux éclats. J’avais constamment envie de le faire, suis-je un monstre pour autant ? J’arrivais à la fin de cette journée qui me fut, pour le moins tout ce qu’il y à de plus bizarre. P174
Fin du séjour.
**J’arrive à la fin de mon séjour après ces deux mois et quinze jours en ces lieux. Les trois mecs qui m’ont violé sont partis, il y a maintenant cinq semaines et depuis, je suis très rassuré de même que je l’étais pour Olivier avant son départ. La pionne est de plus en plus gentille avec moi, elle est prévenante et douce. Je me méfie, elle est souvent derrière moi ou pas très loin. Cédric ne me lâche pas d’une semelle, jusqu’à notre dernier jour. Nous avons fait l’amour presque tous les jours, dans les dunes ou le soir dans les douches et même dans les taillis derrière la cuisine. Il me plaît plutôt bien, j’aime me glisser en lui, toutes ces caresses qu’il me prodigue sont de plus en plus attendues par moi ! Je ne connais rien d’autre, pour le moment, de me savoir aimer, me rassure sur moi-même, il m’a déjà refilé son adresse, pour le cas où on déciderait de ce revoir. Silvio est parti du centre le lendemain de m’avoir dragué, il devait surement savoir ce qu’il se passait entre moi et Cédric. P175
**Je tentais en vain de me rappeler ou je l’aurais aperçu auparavant comme il me le fit sous-entendre. Mais, que dalle, je fais partie aussi du club de natation de Blanc-Mesnil et nous aussi on s'entraîne à pantin. Bref ! Rien de rien ne me vint en rappel ! Je n’ai reçu aucune nouvelle d’olivier depuis son départ, il y a maintenant 15 jours et ça me déçois un peu de sa part, lui qui ne me lâcher pas d’un regard à l’extrême ni d’une semelle, un tant soit peu jalouse. La jalousie que je n’apprécie pas du tout, même si c’est par amitié ou autre chose de plus fort. Toutes ces semaines de convalescence, avec ces jeux et découvertes non programmés, m'ont semblé presque comme des vacances. Sauf évidemment ce vil souvenir des trois violeurs qui met resté, comme une plaie qui ne cicatrise pas. Les deux derniers jours sont tristes, je me retrouve seul, jusqu’à mon départ. Cédric est parti plus tôt que prévu, ses parents sont venus le chercher un après-midi, il n'a pas pu me faire ces adieux. Derrière les vitres d’une 203 Peugeot, je l'ai aperçu me faisant au revoir de la main, j'avais remarqué sa tristesse. P176
**Devant le porche j’avais vu ces larmes qu'il ne pouvait contenir, tout comme moi qui n'avais plus personne à qui me confier. Dans le dortoir, je vais passer ma dernière nuit avec soulagement, me disant que j’allais enfin revoir ma famille. Mais cette ultime nuit fut tout à fait surprenante ! Caché sous les draps, je suis à me faire un plaisir solitaire ! Quand après que le drap fut soulevé, un qu’un faisceau de lumière vive m’éblouissait le visage, en me faisant cligner des yeux et me soutirer un petit cri de frayeur. Ma surveillante ce soir-là, c’est justement ma fameuse pionne qui se trouve devant moi en nuisette transparente. Elle vient de me gauler en pleine masturbation, et je me sens fautif d’être pris avec mon jouet favori, elle me met tout de suite à l’aise avec un grand sourire. Saisissant mon matériel entre ses mains, elle le caressa et me fit le signe du silence sur ces lèvres, me demandant ensuite de la suivre dans son espace. À l’évidence elle ne me demande pas non plus de me rhabiller, je reste donc nu, et quand nous arrivons dans sa piaule, elle me fait asseoir au milieu de son lit. P177
**Et là elle m'explique le petit jeu, qu'elle avait repéré venant d'Olivier et Cédric envers moi, je pensais en moi-même ! Que ce fût bien dommage qu’elle n’eût pas repéré les trois autres fumiers aussi, cela m’aurait évité le désagrément d’un viol collectif. Puis elle continua sa litanie. *Tu ne le sais peut-être pas, mais tu es bien membré pour ton âge, je t’ai trouvé vraiment très mignon. Tu es grand pour ton âge et ça me plaît ! Je vais te faire découvrir la vraie sexualité, celle qui se fait avec une femme. Tu n’as aucunement besoin d’avoir peur, je n’ai rien divulgué sur tes jeux de garçons à quiconque, il me semble que tu ne corresponds pas à ce que tu crois être. *Laisse-toi faire et apprend, ce que veulent les femmes, elle caressa mon service trois-pièces, et aussitôt que mon sexe fut au taquet, ce qui soit dit en passant, ne me prie qu’une seconde ? Pour commencer, elle me suça en prenant la directive, elle dirigea mes mains sûres son corps. Caresser ces seins pour moi fut une première, puis elle me demanda aussi de lécher sa poitrine et aspirer le bout de ces tétons. P178
**Ce ne fut pas tout, il fallait que je lui caresse les fesses, le ventre et l’entrejambe, mes doigts terminaient sur les lèvres de son vagin, chaud et humide ! Elle me roulait des patins savants, en y mettant sa langue, m’incitant à faire tourner la mienne dans un sens précis, visitant mon palais. Je n'avais pas appris ça aussi bien, par moments, j'avais l'impression d’un manque d'air, mais je l'appréciais vu que mon sexe était devenu très dur à ce petit jeu. À un moment elle bougea son corps de telle façon que je me suis retrouvé placé entre ces cuisses. Saisissant mon sexe qu’elle plaça à son entrée vaginale, poussant sur mes fesses avec ses deux mains afin que je glisse en elle. Mon gland et mon sexe la pénétrèrent, je me trouvais en elle, et ce fut doux brûlant et humide. Elle m’incita à lui faire l’amour, tout en repoussant mes hanches puis les rapprochant vers elle comme je le ferais sur un mec, mais au dos. Je faisais donc les mouvements d’un va-et-vient de plus en plus rapide, jusqu’à ce que je ressente cette décharge de bien-être et mon sperme se déversa dans son antre du plaisir. P179
**Je savais que mes jets de spermes étaient plus longs et plus épais, de ce qu’elle m’avait dit de cette première sucette de mon sexe. Quand mes effluves l’imprégnèrent, ses ongles s’incrustèrent dans ma peau. De ma bouche sortie un petit cri de surprise, et je la fixais ébahi, alors elle susurra à mon oreille, d'une voix complaisante et des plus douces une phrase qui m’apaisa. *C’est bien mon chéri, tu as tout compris, tu as fait tout cela avec perfection tout était bien, je dirais même parfait pour ton âge. *Sa phrase à peine terminée, elle reprit mon sexe dans sa bouche puis mes billes et mordilla le tout, sur le moment j’eux un recule, ayant eu très peur et cru qu’elle aller me les bouffer tellement elle s’acharnait dessus. Presque aussitôt elle demanda à que je l’introduise de nouveau, mais cette fois-ci dans l'anus ! Ca, je connaissais l'ayant déjà fait, avec deux garçons et ce fut bien plus serré. Je ne disais absolument rien, par contre j’accomplissais avec fièvre et comme un automate toutes ces demandes incroyables à mes yeux. P180 |