Poésie de Cupidon.

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Moi 12 ans et mes doutes. (1)

Moi 12 ans et mes doutes. (2)

Moi 12 ans et mes doutes. (3)

Moi 12 ans et mes doutes (4)

16 ans de doutes et de larmes.

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1 / 12 ans, bafoués violés.

2 / 12 ans, bafoués violés.

3 /12 ans, bafoués violés

4 /12 ans, bafoués violés.

5 /12 ans, bafoués violés.

6 /12 ans, bafoués violés.

7 /12 ans, bafoués violés.

8 /12 ans, bafoués violés.

9 /12 ans, bafoués violés.

10 /12 ans, bafoués violés.

11 /12 ans, bafoués violés.

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13 /12 ans, bafoués violés.

14 /12 ans, bafoués violés.

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2e livre/ 1 Une enfance aux conséquences dévastatrices.

2e livre/ 2 Une enfance aux conséquences dévastatrices.

2e livre/ 3 une enfance aux conséquences dévastatrices.

2e livre/ 4 une enfance aux conséquences dévastatrices.

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| 5 /12 ans, bafoués violés.

**Il a passé sa main sous la table et recommence à me caresser, le ventre puis descend jusqu'à l’aine, le pénis et les testicules. Je suis devenu un hyper tactile, sujet à la trique chaque fois que l’on me touche maintenant. Alors, je lui souffle dans l'oreille de cesser ces jeux durant les repas, sinon, on allait se faire repérer, tant par les surveillants que les pensionnaires. Mais, c'est comme parlé à un mur, autant qu'il le peut, il descend me chopper la queue. Durant le repas et ce jusqu'à la fin, je me suis fait la remarque que plusieurs fois la pionne de la plage n’arrête pas de me mater durant le dîner. Elle en est même venue à me balancer un sourire suivi d’un petit clin d’œil furtif. Je fais de même en lui souriant aussi par politesse, mais je n’ose pas d’instinct pour le clin d’œil. Je pense ne pas devoir le faire. Je l’aime bien, elle me fait souvent un bisou sur les lèvres. À la fin, du dîner, tout le monde sort en même temps, on nous laisse quelques heures de détente, pouvant faire ce que l’on veut. La plupart d’entre eux en profitent pour réviser, les autres, cherchent plutôt à se distraire. P121

 

**Je fais partie de ceux qui ne sont plus bercés par l’envie d’étudier, préférant la salle de jeux ou la promenade dans les endroits de verdure du parc, surtout depuis qu’Olivier m’a pris sous son aile. Mais ce soir Olivier à un problème il est en train de s’expliquer avec ces potes de chambrée, à cause du ménage qu’il n’a pas bien fait avec son coéquipier, sa gueule un peu. Je suis planté là, à les écouté, ne cherchant pas à me mêler de leurs histoires. Un peu plus tard, j’ai le désagréable pressentiment que l'on m’espionne, comme dans les dunes. Je pense et crois que je suis en train de me faire des idées ou à devenir parano. Hé bien non ! C’est affirmatif, je ne suis pas devenu un barjot. J’aperçois François le fameux con, celui des douches avec deux autres garçons. Ils sont dans le fond de la salle, nous reluquant discutant entre eux, faisant de grands gestes me montrant du doigt, j'essaie de faire semblant de ne pas les voir. Olivier continue de parler avec ces potes, je n'ose pas le déranger à ce qui fait mon inquiétude, j’en profite donc, pour me tirer dans salle de détente, afin d’échappé à leurs regards. P122

 

**À peine suis-je entré dans la salle qu’un garçon m’invite à passer un petit moment avec lui, pour jouer au tennis de table. Il me dit s’appeler Cédric, il a un très beau sourire, ces yeux bleus pétillent quand il me regarde, puis il me propose le choix d’une raquette. Il semble être le garçon du car, mais je n’en suis pas sur ne l’ayant pas revu depuis, j’aimerais lui demander, mais je bloque à cause de cette timidité. Il désire absolument m’apprendre à jouer, je trouve que le jeu est intéressant. J’apprends ce qui m’était inconnu il y à encore quelques minutes, durant nos échanges de balles, et pour la troisième fois Cédric se colle à moi. Ça lui arrive à chaque fois, qu’il cherche absolument me démontrer comment tenir ma raquette, pour m’apprendre à faire lifter ou couper la balle. Il est très gentil et plein de patience avec moi ! Mais, a priori, je lui travaille pas mal le mental, je ressens son sexe durcir contre mes fesses. Je suis déconfit, c’est la deuxième fois que je fais zéro point. Ça m'agace alors pour se faire pardonner, Cédric vient vers moi et m'embrasse sur les joues. P123

 

**Mais il finit toujours son parcours sur mes lèvres pendant que personne ne nous regarde, il pose sa main sur mon bas-ventre ou mes fesses quand il passe devant moi en s'excusant de sa maladresse. Dix minutes plus tard, Olivier entre en trombe, me prenant par la main, me proposant de réviser avant d’aller nous coucher. Je suis plutôt étonné, en général, il n’est pas du genre à abuser des devoirs, j’ai l’impression qu’il est un peu jaloux. Il n’aime pas la concurrence, mon Olivier enfin bref ! Je pose la raquette en m’excusant auprès de ce beau mec, ce coup-ci c’est moi qui lui fais la bise, mais il a tourné sa tête au même moment, et mon baiser se pose sur la totalité de ces lèvres. Content de son fait, il m’enveloppe de son plus beau sourire ! Ensuite, j’accompagne mon Olivier plus qu’empressé dans la salle du fond ! Dans la pièce quand nous entrons, nous sommes seuls et Olivier referme la porte en la claquant derrière nous, et comme un fou, il commence par m’embrasser sur la bouche, et ni tenant plus, il me roule une superbe galoche, et pour moi c’est une première de ce style. P124

 

**Sa langue a forcé l'entrée de ma bouche, elle fait des balades dans mon palais, ce qui me tire des haut-le-cœur. J’ai fini par lui dire d’arrêter en le repoussant, je ne me sentais pas trop bien ! Après, effectivement il me fait réviser, mais toujours avec ses mains baladeuses. Il glisse sa main dans mon slip pour ressentir mon sexe durcir par ses caresses, il aime ça. Mais il n'a pas besoin de faire d'effort pour le sentir gonfler, quand il pose sa main sur mon ventre, je suis au taquet. Mais ça ne lui suffit pas, alors cinq minutes plus tard, il va sous la table déboutonner mon fute, il sort mon objet désiré et me fait un amusement des plus vifs en tripotant les deux sœurs. Je suis tellement à fleur de peau que ça ne dure pas plus de trois minutes. Je lui remplis la bouche de mon sperme qu’il avale avec plaisir, et au moment où je finis de me réajuster. Brutalement, la porte s’ouvre, mais personne ne fait irruption dans la pièce. Cela nous semble bizarre à tous les deux, la seule chose que l’on entend, ce sont des bruits de cavalcade et des rires dans le couloir. P125

 

**On va jusqu'à celle-ci et on mate à l'extérieur et rien de rien, Olivier ferme la porte, m'appuie contre elle, ça l'a hyper excité d'être surpris et moi aussi je dois dire. Ses mains sont déjà à retirer ce qui l'empêche d'aboutir, et il descend mon short et mon slip et refait ce qu’il aime, me sucer le matos qui est resté en érection. Alors il l’aspire et me refait une fellation mémorable tout en pelotant mes fesses, et ce jusqu'à ce que, je déverse ce qui pourrait encore ressembler à du sperme. Vers huit heures c’est le couvre-feu, tout le monde doit aller ce coucher, il est accro à ma personne en me roulant encore un patin, en me triturant le sexe et les fesses, ensuite chacun part vers sa chambre respective. En arrivant à l’étage, la pionne au sourire qui est parvenue derrière moi, pose sa main sur mon épaule, ce qui me fit sursauter. Elle me demanda si la journée ne m'avait pas trop fatigué. Elle trouve que je suis un peu blanc, moi, je me demande bien pourquoi, peut-être à cause de tout à l’heure, le coup de la porte cela ma turlupinée, ou peut-être aussi à cause de ces trois voyeurs sur la plage. P126

 

**Je lui répondais d’une voix tremblotante ! Heu non, non, m’dam, je vais bien, un peu fatiguer de la plage sûrement, je n'ai pas encore l'habitude. C’est bien la première fois qu’elle fait attention à moi très ouvertement, sa main a glissé de mon dos jusque sur mes fesses, elle me les caresse puis me souhaite bonne nuit. Pour finir, elle dépose une bise appuyée sur chaque commissure de mes lèvres et mon front pour donner le change.

*wouah ! Je trouve que les siennes de lèvres sont vachement douces, une fausse idée peut être, j’ai trouvé cela super agréable ainsi que l’odeur de sa peau. Un parfum de savon, mêlé à celui du muguet, comme parfois maman sans aspergée. Mais son odeur à elle me donne des frissons dans le dos, et des démangeaisons dans le slip, cet affleurement sur ma bouche et ces petites caresses, font que j'ai la saucisse qui remonte le long de mon pubis. Pourquoi ? Je n’en sais rien, mais j’ai bien aimé, cette sensation nouvelle, J’ai encore une fois envie de me masturber. Je me demande si tout ça et bien normal, j'ai la queue toujours raide suivie d'envie non contrôlable. P127

 

**Tout ça me turlupine bordel, il faut que je demande ce que cela veut bien dire à Olivier, il doit bien le savoir lui qui connaît déjà beaucoup de trucs sur les choses sentimentales. Il y a quand même un truc que je trouve étrange, c'est que l’on n’en parle jamais des filles. Il n’en connaît peut-être pas non plus, mis à part sa sœur de toute évidence. Bref, je me suis couché ! Mais j’ai envie de me faire un plaisir alors je me masturbe sous mes draps. Le seul petit avantage d'être assez éloignés d'autres pensionnaires afin qu'il n'entende mes soupirs. Pour moi cette journée fait partie de l’extraordinaire, elle a été pleine de nouveautés, et mouvementée. Je me sens très fatigué et bâille comme une carpe, qui se trouve dans une rivière à moitié asséchée, en plein soleil. À peine mon affaire de sexe terminé, je repense à toute cette journée et mes rencontres. Je ne suis pas très sûr d’avoir compris tout ce qui m’est arrivé. Depuis ce matin, je n’ai pas une seule fois eu le temps de me poser les vraies questions, et il y a Olivier qui ne me lâchait plus d’une semelle si l’on peut dire. P128

 

**Le truc que je regrette, c’est de ne pas avoir avoué à Cédric que je me souvenais de lui très précisément. Je l'aime bien, il est super beau avec ces yeux bleu foncé, cheveux noirs, pas mal faits pour le peu que l'on est à deviner de ses contours. Le fait de penser à lui me réveille mes envies, putain, je ne pense plus qu'as ça, c'est dingue. Je baille de nouveau à me décrocher la mâchoire, je n’attends pas très longtemps, voilà que j’en écrase comme un bien heureux, salut Morphée me voilà en tes bras. Je suis déjà dans un sommeil profond quand une peur panique me saisit ? Pensant encore faire un de mes vilains cauchemars, je me force à reprendre mon éveille rapidement, mais j’ai cette trop forte impression de manquer d’air ! Me trouvant encore à demi ensommeillé, j’essaie de me redresser afin de pouvoir reprendre ma respiration, mais en vain, quelque chose m’en empêche. Me hasardant à ouvrir en grand les yeux, du fait de vouloir enfin arrêter ce mauvais rêve, quant au-dessus de moi, mon regard se fixait sur trois têtes enfouies dans la pénombre. P129

 

**Je ne comprenais rien quant l’un d'eux me bâillonner de sa main, je tentais de me débattre, mais un violent coup de poing dans le plexus m’en empêcha, me coupant net la respiration ! Ouvrant en grand la bouche afin d'obtenir de l'air, l'une des silhouettes en profita pour y enfoncer un chiffon. J’avais la bouche obstruée, et je tentais une nouvelle fois de reprendre ma respiration, à me dire que ce ne fut qu’un cauchemar malgré la douleur ! Mon cerveau commençait à s’affoler, ils m’avaient déjà ligoté les mains avec une ceinture, quand les deux autres me saisirent aussitôt les bras et les jambes pour me sortir de la chambrée. Malheureusement mon lit ce trouvait trop éloigné de mes compagnons de chambre pour qu'ils puissent entendre quoi que ce soit, la pionne est encore plus loin, et moi j'ai tellement peur que j'ai du mal à me débattre correctement. L'enfer vient de s'ouvrir sous moi, et je n'en connaissais pas encore l'existence sur cette terre. P130

 

Les lâches.

 

**Sitôt sortis de la chambrée, ils descendirent les marches en me portant rapidement jusque dans les douches qui se trouvent au sous-sol. Je suis complètement vaseux, la peur m’est aussi soudainement apparue que cette sueur qui couvre mon corps, j’ai les intestins tenaillés me donnant mal au ventre comme si j’avais une colique plus  une envie de vomir. Mon corps est trempé, mon palpitant à sans doute dépasser avec certitude, toutes les normes autorisées par les centres de cardiologie. J’essaie malgré tout de me débattre, en gigotant mes jambes assez vivement, mais c’est sans aucun effet. Sauf évidemment de leur redonner un peu plus de nervosité puisqu'ils me donnent des coups de poing pour que j'arrête de gigoter. Arrivé dans les douches, j’ai mal partout quand il me lâche, j’atterris assez durement sur le carrelage froid. Je fais la tentative de me lever, mais ils me donnent sans aucun ménagement des coups de pied dans les reins pour que j’arrête de gesticuler et me lever.  P131

 

**Je suis aussitôt pris d’une envie de vomir, et je régurgite tout ce que j’ai mangé au repas du soir, tripe et boyau, toussant à cause d’une remontée de bile ! J’ai la bouche amère et portée à encore plus de tremblement. L’un d’eux m’ordonna de me lever, tout en me donnant un gobelet d’eau, qui servit à me rincer la bouche. Sur le coup j’ai bien failli lui en faire le remerciement, mais je n’ai pas pu retenir un léger sourire. Je ne comprenais rien à ce merdier, et à cet instant précis, je n’osais même plus bouger. Il fait très sombre, mes yeux ne sont pas encore habitués à l’obscurité. *J'aperçois des silhouettes, mais ne distinguent pas les visages, la peur m’a saisi pour la seconde fois, je me suis pissé dessus, mais je n'ai qu'une petite envie, mon pyjama ne devrait être souillé que d'une auréole. Dans cette moitié d’ombre, je commence tout juste à m'habituer au noir, je suis maintenant certain de pouvoir reconnaître ces trois garçons. Ils viennent du dortoir dès 16 ans, François la grande-gueule, Gérald et Adrien ces comparses, et tous les trois doivent avoir entre 15 et 16 ans. P132

 

**Je suis tremblant face à eux, je bois le reste de flotte du gobelet, tant j'ai la gorge sèche âcre de cette peur qui s'accentue inexorablement. Je m’écarte le plus loin possible de mon vomi et de la petite flaque d’urine, je ne pensai pas avoir uriné autant. Je n’ai pas le loisir de leur demander ce qu’ils me veulent, les trois commencent à me bousculer avec force de l’un à l’autre comme un vulgaire paquet de linge sale. Il le font jusqu’à ce que je tombe au sol repu de fatigue et à moitié étourdi. C’est malin ! Avec leurs conneries en m’étalant, je me suis écorché un genou et un de mes coudes. Je n'arrive même plus à penser, mais il continue d’une autre méthode qu'ils enchaînent en m'assenant des coups avec une serviette imbibée d'eau. Il ne frappe pas très fort, mais c'est constant, sa claque sur mon corps comme des coups de fouet, et ça finit par me tirer des cris de douleur. Ils sont à me posait souvent la même phrase. Alors, tu fais ce que l’on veut, ou tu préfères que l’ont, continu à te frapper plus fort encore. <Putain, mais qu’es qui m’arrive bordel, que me veulent-ils> ?  P133

 

**Je me sens ivre, et ne parviens plus du tout à me remettre sur mes pieds, la douleur la fatigue deviennent extrêmes. Je finis par rester sur le sol en pleurs, me recroquevillant sur moi-même, je suis complètement trempé, j’ai froid et envie de dormir. J’essaie de contrôler ma peur, afin d’essayer de leurs parlés, mais je n’y arrive pas, je vomis encore sur le sol. Et cette peur qui recommence à faire accélérer mes battements, bloque mon cerveau. je reste sur le fait que je ne comprends toujours pas le pourquoi de cette violence, Je leur demande à cesser ces brutalités tout en promettant de ne pas gueuler et d'obéir à leurs exigences, autour de moi plane l’odeur âpre du vomi et d'urine, et ça me donne de fortes nausées. En levant les yeux je vois l'aîné avec un large sourire, il me fait vite comprendre que je ne dois surtout pas crier et de faire tout ce qu'ils veulent ! En échange de quoi, ils seront plus doux, sinon dans le cas contraire, ils feraient tout pour que cela soit plus méchant et brutal, sur ce il me pousse du pied et tous m’étalent sous le nez leurs crans d’arrêt. P134

 

**Moi comme un con, je les toise de mon regard narquois et provocateur en leur demandant pourquoi moi ! Pourquoi. Ils décident de m’en dire leurs raisons, sur ce qu’ils ont vu dans les dunes. Ma pomme avec Olivier dans des positions très sexe, c'est ce qui les a excités le plus. Voyant que nos ébats de garçons prenaient une tournure de plus en plus intéressante. Ils se voyaient très bien faire partie de notre jeu. Sauf que pour l’aîné, il a trouvé mon physique mignon et avancé pour mon âge, avec un beau petit cul rond, ce qu’il avait déjà repéré dans les douches. C’est de là que lui est venu l’idée de me violer, plus par envie que vengeance. Quoique ça, je n’en parierais pas un iota. Je les écoute en silence, j’attends leur directive tout en leur souriant pensant qu’ils vont en rester là. Je suis à espérer que tout cela ne soit qu’une leçon d’autorité, mais à voir la gueule qu’ils ont, je déchante rapidement. L’aîné me regarde avec des yeux redevenus plus méchants, ma tentative du sourire a péniblement échoué, j’attends donc leur exigence avec une grande crainte, ce qui ne tarda pas. P135

 

**Dans mon cerveau, c'est à nouveau le retour à la panique, car je ne sais pas ce qu’il me veulent vraiment, pour moi le mot viol n’existe pas. François me demande à retirer mon pyjama, ce que je fais avec plaisir, il est souillé, mais aussi par crainte de représailles ! Il fait plutôt frisquet dans ce sous-sol, je trouve le carrelage encore plus glacial, j’ai maintenant de plus en plus peur, mais j’obtempère du mieux que je peux ! Mes jambes tremblent sur elles-mêmes, ce qui est probablement dû à la trouille et la fatigue. Ils sont tous les trois face à moi à me mater, ils se sont mis complètements nus et me détaille en souriant. Ils sont assez poilus, je regarde leurs sexes raides et gonflés, qui sautillent dans leurs mains. Il se caresse le membre et le ventre en me regardant avec un sourire pour le moins moqueur. Je ne vois toujours pas ou il veulent en venir, mais je constate que sexuellement je suis presque aussi bien fourni que deux d’entre eux, même pour mes douze ans. Sur ce coup-là , je ne savais pas que ça ne me rendait pas vraiment service, mais plutôt l'inverse, vu leurs intentions. P136

 

**Puis très durement ils m’obligent à caresser leurs sexes, pendant qu’eux-mêmes me tripotent tout le corps dans des mouvements fiévreux. Le plus grand m’ordonne de sucer Adrien, je me retournais refusant cet ordre par pure fierté. Et puis je ne piger pas encore ce qu’ils allaient me faire, alors d'une volte-face, je tentais un acte de défense illusoire, espérant de ce même temps que mes crises de nerfs d'avants seraient à réapparaître. Je lui envoyais donc un coup de poing en direction du ventre, qu’il esquiva très facilement. Merde, merde et merde, les trois semaines déjà passer dans le centre sont une réussite, je n'ai pas de crise même pas un petit début, et cette vacherie de froid qui me donne des tremblements. Gérald, l’aîné ou l’instigateur puisque les autres lui obéissent, me regarda de ces yeux noirs plein de colère. Me saisissant par les cheveux, il m’envoya un direct dans l’estomac qui me plia en deux, j’ai senti aussitôt venir un retour de boyaux. Dans le même élan un autre mets parvenu en pleine gueule, j'ai le souffle coupé et le nez qui saigne abondement. P137

 

**Il m’en envoya un troisième qui fendit ma lèvre, et voulut aussitôt m’en ajuster un petit dernier, pour bien que je comprenne, qu’il est le chef de cette folie furieuse. Ces comparses l’arrêtèrent tout net en lui disant, qu’ils voulaient avant tout s’amuser non pas me défigurer. Alors ! Il essuya mes larmes et le sang avec le fameux chiffon qui n'était autre qu'un mouchoir crade. Et ensuite, il m’embrassa de force en prenant ma lèvre entre ses dents, pendant qu’agenouillé sur un banc, un de ses amis me tenait les bras pliés en arrière. L'autre très excité avait posé son sexe devant ma bouche en tentant de forcer l'entrée. Gérald posant ces genoux au sol commença par me lécher la poitrine puis me caressait la poitrine tout en me mordillant mes tétons, puis il descendit au nombril pour finir entre mes cuisses, me léchant chaque côté de l'aine, de sa main, il saisit mes couilles en les serrant très fortement afin de m'obliger à sucer celui qui force ma bouche ! Pendant que lui aussi me suce avec soin, je ne sais pas pourquoi, mais malgré cette peur l’attente, je bande très fortement. P138

 

**Le dernier me tient toujours les bras dans le dos, il frotte son sexe sur mes mains liées et mon dos en descendant jusqu'à la raie de mes fesses. Ils se mirent à étaler toutes les serviettes sur le sol, comme un tapis de mousse humide, et je m’y retrouvais agenouillé dans la position du chien. Ce fut alors que l’aînée me caressa les bonbons plus qu’il ne les écrase tout en me suçant, et le dernier me titilla l'anus en y glissant sauvagement un doigt. Cela me fit mal, alors je me retournais en criant ! Il me regarda en souriant, je pensais en moi-même qu’il ne va pas insister eh bien non c’est raté, il recommença en m’introduisant son pouce dans le cul d’un coup sec. Il n'attendit pas que je dise quoique se soi, saisissant sa ceinture de cuir, qu’il passa autour de mon cou, et me garrotta à la limite de l'étouffement. Puis il me dit en serrant un peu plus fort ! Tu fermes ta gueule et tu suces mon pote, tu as compris. Sitôt dit, il m’embrassa sur la bouche, puis recommença à m’enfoncer son doigt dans le cul, et cette fois il le rentra plus doucement, grâce à un peu de savon oublié sur un des lavabos. P139

 

**Il me rentra un doigt puis en glissa un deuxième et força le troisième a prendre place sans succès, puis il masturba mon trou plusieurs fois, allant de plus en plus vite, il est à m’évaser l’entrée. Il m’écarta les fesses en me caressant l’anus un petit moment, puis je ressentis d’un coup quelque chose de gros me pénétrer, cela me provoqua une douleur aiguë. C’était son sexe qu’il venait de m’enfoncer très brutalement dans l’anus, poussant jusqu’à ce que nos deux corps se touchent. J'avais l’impression douloureuse d’une brûlure, comme s'il venait de me déchirer mes intestins, mais j'avais trop peur pour essayer de protester, la ceinture m'étranglait fortement. j'avais beaucoup de mal à respirer quand des larmes de douleur de rage et de dégoût envers moi-même de ne pas savoir me battre coulèrent. Cette pénétration plus la jouissance de ses aller-retour me fit éjaculer dans la bouche de celui qui me suçait, il avala le tout en me souriant et continua de me sucer et à me l'écher les couilles. Dans le même temps, le deuxième en fit autant, lâchant son fluide dans ma bouche, m'obligeant à déglutir. P140

 

**Tout en relâchant le serrage de sa ceinture, le troisième venait juste d'éjaculer dans mon anus après une masturbation lente et violente. Les trois se relèvent et j'osais garder l'espoir que tout cela fut fini. Mais voilà ! Ce ne fut pas terminé pour autant, c'est ce que je craignais le plus, les deux, autres voulaient aussi accéder à la pénétration de mon fourreau. Ce qu’ils firent chacun leur tour, mais ils désiraient aussi que je pénètre Adrien, qui en avait fait la demande. Gérald me tint les mains et tenter à me rouler une galoche sans succès, tout en me caressant le pubis et mon sexe, puis Adrien s'essaya sur mon phallus brutalement. François me glissa sa verge dans la bouche, en me tenant la tête dont il fit le va et viens. J’en avais marre de subir leurs envies je me sentais partir dans les vapes, ce qui arriva et aussitôt ils arrêtèrent de me triturer. Je me suis réveillé par de l’eau sur le visage tout en espérant être sorti d’un mauvais rêve. Mais non ils étaient auprès de moi a tenté de me mette debout avec peine, j’allais un peu mieux et pour mon malheur ils allaient continué. P141

 

**Les trois se sont collés à moi m'embrassant tout le corps, devant derrière, ils n’en finissaient pas, et François me fit ce qu’il m’avait promis dans les douches, en me disant ces mots. Souviens-toi ! Tu vois c'est moi qui vais te mettre, te défoncer ta rondelle, t'empapaouter si tu préfères ! Haha. Il me dit cela en m’enfonçant son phallus d’un coup sec dans mon passage, il fit le va-et-vient très lentement, il savourait ce moment attendu. Ensuite, il ressortit son sexe et me le  renfila brutalement, en le faisant plusieurs fois, jusqu'à éjaculation. Ca me brûler de plus en plus, mais je n'avais jamais triqué avec autant de duretés et de jouissance, si bien que mes râles les émoustilla plus encore, alors ils recommencèrent tous les trois à me sodomiser. Quand enfin ils parvinrent à se calmer, j’avais l’anus douloureux et en feu, il me vint une douleur manifeste et déchirante à l’estomac, l’aîné me laissa aller dans les toilettes, d’où je pus avec bonheur me vider les intestins. Après que je fus sorti des WC et lavé les fesses, les trois recommencèrent à me défoncer l’anus sous l’eau chaude des douches P142

 

**Les uns derrière les autres ils me remplissaient l’intérieur de sperme, et cela faisait deux heures qu’il  me torturaient le corps en me frappant avec la ceinture pour m’obliger à triquer. Puis ils décidèrent d’un commun accord de m’expliquer la raison précipitée à ce viol collectif. Ils me font savoir que pour eux, l'occasion était trop belle, vu que l'ensemble des Monos et professeurs avait organisé une soirée spéciale à l'extérieur, pour fêter l'arrivée d'un nouveau directeur adjoint. Il y aurait donc une réduction très importante de surveillant et peut-être même pas du tout. De toute manière pour eux le risque était moindre, sachant que les douches se trouvent au sous-sol d’où les bruits étaient étouffés par la porte en acier. Alors, d’un commun accord, ils ont décidé d’en profiter, car une occasion pareille ne se reproduirait surement pas. J'avais bien entendu cette rumeur de couloir, mais je n'y avais pas trop cru, en pensant que tout ça n'était que des bobards pour faire peur aux plus petits, et plus principalement dès qu'ils se trouveraient seuls, et moi j’en avais ri. P143

 

**Gérald s’approcha de moi et me dit tout bas, nous avons bien aimé te baiser, ton petit trou était serré, tu es tout à fait à notre goût, grâce à ta belle petite gueule. Surtout n’oublis pas que la vengeance reste, mon plat préféré, tu le sais hein maintenant que le centre n’est pas assez grand. Et ces prochains jours, on se retrouvera crois moi, alors surveillent tes arrières, et la prochaine fois, tu fermeras ta gueule devant nous ! Puis ensemble il me conseillait de garder tout ça en silence, sinon ! L'aîné me promit si je parlais, de venir me châtrer, joignant le geste à la parole, il appuya légèrement son cran d'arrêt sous mes testicules en les piquants, puis il promena sa lame autour de mon sexe, la remonta sur mon ventre et s'arrêta sur ma poitrine en y faisant une petite incision,  d’où une perle de sang fit son apparition. Puis en rajoutant qu’ensuite, ils s’amuseront à défoncer la gueule d’Olivier et son cul avec un manche de pelle. Tous trois m’embrassèrent sur la bouche, pour le coup avec délicatesse, puis ils partirent  dans la direction de leur dortoir, et François me dit, alors soit silencieux. P144

 

**Moi, et bien je reste pantois là comme un con, je suis éreinté, je me sens sale avec une grande douleur aux bas-ventres et à l’anus, je reste figé comme une statue et du sperme coule le long de mes cuisses. Sans réponse de n’avoir rien sus faire de plus convaincant pour me défendre. Je me mis à pleurer, ma peur venait de se relâcher, je suis vivant, et j’avais sommeil. Je suis retourné dans les toilettes, afin de vider mes intestins une seconde fois, vomir ma détresse, et décider de prendre une douche afin de retirer toutes ces odeurs, les souillures de cette nuit. Au bout d’une heure à avoir pleuré dans ces putains douches, je suis retourné me coucher, je faisais attention à ne pas faire de bruit, ce serait le bouquet si en plus la prof me repérait. Je suis tellement fatigué que, je me déteste de savoir que ma belle gueule, et mon physique peuvent attirer les autres. Je me suis endormi difficilement, et je me réveille en sursaut toutes les demi-heures, mon sommeil est plus qu’agité, parsemé de cauchemars. Et quand finalement, je suis parvenu à m'endormir, je me suis réveillé apeuré. P145

 

**J’avais cette nouvelle et affreuse impression d'étouffement, je me suis senti de nouveau oppressé. Je tournais dans mon lit comme pour me débattre d’une agression faite d’un rêve horrible et douloureux. Sans m'en rendre compte, je suis à crier et à pleurer dans mon lit, étant de nouveau trempé de sueur. Tout ce vacarme fit râler les pensionnaires du dortoir et la pionne est venue voir ce que j’avais et par la même d’essayer de calmer mes angoisses. Elle me caressa le visage en me disant des mots doux, et elle épongea mon corps avec une serviette de haut en bas, ce fut la deuxième fois qu’elle fit détail complet de ma nudité, mais je n’en avais rien à foutre, la peur m’habitait. J’étais bien content qu’elle soit là, pour calmer mes épouvantes. Mais, ce coup-ci en plus, elle tripote les endroits intimes de ma personne qui ont souffert sans qu’elle le sache. Certains enfants ont immergé de leur sommeil et demande, ce qui se passe. La pionne leur demanda à se rendormir. En se tournant de nouveau vers moi, elle remarqua que ma lèvre fut fendue, elle y déposa un baiser. P146

 

**Puis me dit ! Il ne me semble pas avoir vu ta lèvre dans cet état à ton coucher, tu n’as rien à me dire ! Silence de moi-même. Tu seras peut-être plus éloquent demain matin, bon aller maintenant, il faut que tu dormes ! Il est quatre heures, allé Sergio essaie de passer une bonne nuit. Le lendemain à sept heures en faisant ma toilette matinale, j’ai une vilaine impression, une chose très désagréable à définir. Celle qui fait penser que les autres te matent différemment, qu’ils savent ce qui m’est arrivé dans la nuit. Je me suis senti d’un seul coup coupable de quelque chose, mais je ne peux pas vraiment en faire la précision, une espèce de malaise envers les autres. Je n’osais plus regarder personne dans le blanc des yeux, de peur qu’il lise en moi comme dans un livre. Pour mes trois lascars, cela n’était pas terminé pour autant, j’ai dû subir leurs assauts sexuels durant les derniers jours, avant leur départ définitif du centre. J’essaie tant bien que mal de les éviter, mais c’est peine perdue, ils me suivent de près ! Ils arrivent toujours à savoir ou je suis et je ne sais pas comment. P147

 

**Il m’arrivait parfois d’être sodomisé, deux fois dans une même journée, de cette peur qui me tenaillait, je ne parvenais pas à la canaliser, pas plus que de me rebiffer, et ce fut jusqu’au départ de ces trois fumiers. Mon dernier viole, je l'ai attendu presque avec plaisir les apercevant venir à moi et quant ils se sont approchés, je me suis mis à bander comme un âne, me posant la question à moi-même, quant à savoir si je ne devenais pas complètement taré. Après tout ça ! Il m’était devenu impossible de raconter cette histoire à Olivier, j’avais peur de ce que serait sa réaction et de ce qu’il penserait de moi. J’avais la crainte qu’Olivier ne comprenne pas mon silence de cette nuit, quand j’étais en prise avec ces trois garçons et les jours suivants. Alors bêtement, je faisais mon possible, pour éviter que l’on se retrouve l’un à côté de l’autre. Même au repas du midi et soir, j'avais demandé à Xavier de changer de place, mon cœur se fendait de ne pouvoir lui expliquer. Je n’avais toujours pas accepté ma défaite de ne pas avoir réussi à me défendre d’une manière plus convaincante, quitte a en mourir. P148

 

**Je suppose que dans ce cas de figure nous avons autant de peur que de honte de ne pas avoir su quoi faire ni quoi dire. C'était sans compter la belle promesse qu'il mon faite à son égard et au mien, si jamais je divulguais quoique se soit. Pour moi, c’est plutôt un dilemme compliqué. La pionne ma plusieurs fois demandée pourquoi j’étais devenu du jour au lendemain taciturne et distant envers Olivier, alors que l’on était devenu pour ainsi dire inséparable. En aucun cas je ne pouvais lui divulguer cette embrouille, alors j’essaie de faire croire que j’ai le cafard. Que l’on s’est fâché, ou que ma famille, mes amis me manquent. Ce qui n'était pas vraiment un mensonge, depuis ce fameux soir surtout. Tout comme pour ma lèvre fendue, dont je lui avais dit mettre mordu dans mon sommeil. Ce qui fait que durant les jours qui passent je me sens extrêmement seul, écœuré et horriblement fragile. Comme tous les après-midi, nous sommes au bord de mer et sur la plage, je me suis mis à pleurer sans raison apparente mise à part celle d'être pris au piège. P149

 

**Ma pionne s’en est inquiétée de me voir dans cet état, elle est donc venue pour me consoler en me caressant le visage, tout en me couvrant des bises placées de plus en plus près de mes lèvres. Et moi, je dis de gros mensonges, que cela va me passer que j’ai juste une petite crise de retour d’avant. Au bout de dix minutes ne pouvant me calmer, elle m’envoya à l’infirmerie me dispensant de sport. Quand l'infirmière prit ma tension qui fut 12.3, elle ne dit rien, ma température 36.3 lui parut un peu faible, ma taille 1.54m pour un poids de 31 kg lui semblait juste. Je suis resté allongé sur le lit de camp de l’infirmerie en pleurs et tout à mes rêveries, j’essayais de comprendre ce qui venait de m’arriver, mais je n’avais rien qui m’en fut une correspondance avec ce que j’ai vécu ces jours-ci. Je me suis endormi, à cause du stress occasionné par les trois fumiers. À mon réveil, c’était l’heure du dîner, j’avais échappé à mes tortionnaires pour la journée sans vraiment le chercher, j’avais gagné un peu de répit. La vie parfois vous donne un petit peu, histoire de vous en mettre plein la gueule par la suite. P150

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