| 10 /12 ans, bafoués violés.**Il me dit alors que c’était pour cela qu’il m’avait abordé trois jours après mon arrivée, et moi je restais interloqué devant cette bien troublante révélation ! Arrivé à la porte de mon immeuble prêt à repartir chez lui, mais avant de me quitter, furtivement il m’embrassa sur la commissure de mes lèvres, tout en s’excusant de son absence. Je détaillais ce mec avec une putain d’envie de lui faire l'amour à mon consentement, et cela faisait longtemps que je n'avais pas pris une telle décision pour moi-même. J'osais malgré cette timidité lui demander de rester un peu avec moi et d'aller nous promener dans le champ qui se trouver derrière les immeubles du 212. Tout en marchant, je lui demandais ! Si c’était la première fois qu’il draguait un garçon, et pourquoi moi. Il me regarda un peu étonné de ma question, puis se mit à rougir légèrement en me disait qu’il avait déjà fait cela avec un homme de 25 ans. Depuis à peu près un an, il revoyait souvent ce mec, mais qu’il lui arrivait aussi de le faire avec des copains de son âge ou des rencontres de garçons plus vieux que lui. P271
**Je me retournais vers lui, et l’embrasser sur sa bouche rose en lui introduisant ma langue entre ses lèvres. Il fut très étonné de cette réaction, mais il ne pouvait pas savoir à quel point je me surprenais aussi. Il se prit à mon jeu, et caressa mon corps avec finesse et empressement. À force de nous peloter, nous avions retiré nos habits, tout en continuant nos offrandes de caresses de plus en plus précises. Mes mains se promenaient sur sa poitrine son bas-ventre j’en attrapais son sexe, tout à fait près de sa virilité. Comme le mien qui était déjà entre ces mains expertes, je lui léchais son corps qui sentait si bon et chaque fois que je lui frôle l’anus de mes doigts, il me demandait une pénétration agressive. Ce qui bien sûr, je finissais par faire avec grand plaisir, et durant ces deux heures passées ensemble, il a fallu que je le pénètre plusieurs fois. Il me trouvait beau et il avait à mon égard comme une adoration due à ma sexualité inversée précoce. Subitement, je lui ai demandé à me faire l'amour, mais ne sachant pas trop pourquoi, une envie incontrôlable. P272
**je voulais peut-être savoir si après mon second viol, je serais encore capable d’aimer les garçons, de cette façon. Il fut très doux en réussissant à me faire jouir sans aucune appréhension ? Par la suite, nous avons discuté assez longtemps sur nos vies respectives, nous avons recommencé à nous aimer, chaudement nous tripoter. Les heures passèrent tellement vite, que quand il me quitta la nuit venait à tomber. En partant, Grégory me donna son adresse, en me confiant qu’il voudrait me faire connaître ses amis. Nous nous reverrons plusieurs fois, durant ma dernière année d’école. Mais, cela se fera chez lui, ses parents étant divorcés, c’est sa mère qui avait sa garde, elle travaille de nuit. Je pense que c'est le premier garçon avec qui j'ai eu le cœur qui s'enflamme rien qu'en y pensant, il est super gentil et très prévenant. Pour le moment, ma sexualité est bousculée, basée uniquement sur des rencontres de mec à mec, mis à part Josette évidemment ! Cette question, je ne me la pose pas vraiment, je suis à subir la vie que l'on m'a offerte, sans rien y comprendre. P273
**Je suis de plus en plus solitaire, je n’osais même plus regarder les hommes et femmes sans me dire qu’ils en voulaient uniquement à mon cul ou mon sexe ! Je me disais que j'aimerais bien redevenir un bébé, quand bien même je devrais reprendre tout à zéro, mais tout bien considérer je ne suis pas vraiment loin de ce zéro. Je suis reparti vers l'immeuble auquel j’avais cette cache, dans la cave que nous avions aménagée ! J’étais à me dire que je voudrais surtout que l’on m’aime pour moi, pour ce que je suis ! Et me voici à écrire mes premiers poèmes sur ce qu’était ma vie d’enfant durant ces derniers mois ! Mon tout premier cahier d'écolier de 50 pages fut vite rempli, j'en étais maintenant au deuxième et les mots s'étalaient si facilement que je ne vis pas le temps passé, si bien que, quand je m'arrêtais, il faisait nuit noire. La peur me saisissait de me faire houspiller, je cachais mes cahiers sous ma chemise et retourner à la maison. Quand j'arrivais, ma sœur m'engueula et me demandait si j'avais fait mes devoirs ! Eh bien oui, je les avais faits dans la cave sans m'en rendre compte, et je n'avais pas faim. P274
**Le temps que j’avais passé à ce que j'écrivais en réveilla mes douleurs d'esprit, et je pleurais en m'endormant. Cette nuit se fut comme les autres, habitées de songes doucereux et de cauchemars sombres. Je me réveillais souvent dans ce noir, là où chacun devrait y reprendre un souffle, mais moi et mes pensées nous étions à quémander à la nuit de me prendre dans ses limbes, le temps d'un sommeil éternel. Mais, qui pourrait comprendre qu’un enfant de douze ans et demi veuille mourir d’un mal à vivre sa propre vie, elle qui lui échapper de façon inexorable. P275
Préfailles.
**Cette année-là, j’ai 13 ans passés ! Beau-père à décider de nous emmener en vacances ailleurs que chez Nana. Étant natif de Nantes, région de son enfance, il avait choisi en Bretagne, la ville de Préfailles, nous sommes arrivés, au petit matin sur le camping des pins, il y avait déjà plein de juilletistes, à prendre leur petit déjeuner. Mes narines en captaient déjà les délicieuses odeurs du réveil, le café et des petits pains et croissants chauds. Toute la petite famille, c’est donc mis à l’œuvre, pour monter notre tente-marabout de 12 places, sous de grands cyprès. Elle fut vite en place ainsi que l’aménagement intérieur, nous y avions mis les valises et cartons et les ustensiles divers. Ensuite toute la famille est allée vers la plage, afin de profiter du premier rayon de soleil de nos vacances. Maman et Josiane furent, je pense, comme toutes les filles de cette époque sacrifiées à la routine des repas pour son petit monde, elle échappait heureusement à la corvée de ménage, sous une tente, c’était inutile. P276
**Pour les plus grands, nous étions de corvée de vaisselle, et chacun se devait de laver son linge, sauf pour les petits derniers, c’est ma sœur aînée qui en avait la charge comme à la maison. Nous nous sommes arrangeaient à ne porter que le strict minimum, pour ne pas avoir à passer notre temps au bac à linge, se taper la vaisselle, nous suffisait largement. Les journées, nous les passions, à la plage, ou à courir dans le camping, le voisin râlait, il avait une fille, et je n'arrêtais pas de la mater, je ne suis pas très discret, cela les agaçait un tant soit peu, mais je n'en faisais qu'à ma tête. Elle non plus n'arrêtait pas de me mater d’ailleurs, à croire qu’il ne voyait que ce qu’il voulait voir. Pour le moment, je ne pensais qu’aux filles, et tenter de trouver plein de nouveaux copains. Cet été-là, je n'avais pas beaucoup de chance, et durant les dix premiers jours il mettait à croire que j'avais la peste. Pour mes frères c’étaient différent, ils suivaient JC, mon frère ainé comme des petits moutons, moi j’étais habitué à vivre solitaire, je préférais plus ma liberté, qu’aux choix des autres. P277
**Puis un soir ? Mon séjour va complètement changer, je sortais tardivement, sans que mes parents le sachent. Cette nuit-là, profitant de ce que tout le monde fut endormi sous la tente ! Vers minuit je me suis donc faufilé à l’extérieur du camping, hé hop là salut, je me cassais pour essayer de trouver un intérêt à ma vie. Ce fameux soir donc, sur le chemin qui menait à la ville, je croisais un petit groupe de jeunes garçons et filles en balade. Je pensais avec certitude que nous avions les mêmes âges, alors je les abordais malgré ma timidité afin de me renseigner. D’une question des plus banales. Salut ! Comment peut-on se distraire ici ? Tous en cœur répondaient à ma demande, sans me jeter. Tu n'as qu'à venir avec nous belle gueule, on va à une soirée oilpuch chez un pote. Super ! Je vous suis, que je leur dis sans savoir en quoi cette soirée consiste. Je ne pensais toujours pas que les gens puissent être que mauvais, et ce malgré se qui mettait arrivé assez récemment. J'accompagnais donc le groupe et 10 minutes plus tard je me trouvais dans la maison d'un des garçons. P278
**En entrant dans l’immense salon, je voyais des garçons et filles pratiquement nues, je baissais les yeux comme pris en faute. Ils attendaient l’ouverture des festivités, et quand je suis entré en chœur ils nous disent (à oilp, à oilp, et que soit fait le mélange). De ce que j’ai compris c’était le thème de tous les soirs cette année pour ce groupe. J’ai eu le droit aux sifflets d’admiration des filles, sans mentir je suis pas mal fait et je suis assez craquant ! Et les filles me demandaient aussitôt mon âge. Je leur mentais pour ma bonne cause, heu ! 15 ans ? Elles font un peu la moue sur mon affirmation, vu que je n’en fais pas plus de 12 ! Mais elles ne cherchent quand même pas à savoir si je dis la vérité. Et sitôt les trois filles m'entraînaient dans la pièce voisine, je n'avais pas bien compris en quoi consister leur soirée. Elles sont à moitié nues et se mirent toutes ensemble à me dévêtir, l’une d’elles me léchait déjà partout en me dispensant ses caresses. La seconde me roula un patin tout en me caressant aussi, jusqu'à ce que la dernière ôte mon slip et poussait un wouah ça alors. P279
**Et moi bêtement je lui disais, quoi ! qu’es qui ne va pas ! Les nanas me matèrent en chœur, et d’un coup leurs mains firent le voyage sur ma queue raide, j’étais à leurs goûts et j’apprenais la fusion de plusieurs corps féminins et de ces jouissances. Nos ébats se terminaient à des pénétrations en tous genres, super pied pour moi, cela faisait longtemps que je me trouvais à jeun du côté de ces demoiselles. Le côté génial de la soirée fut que les garçons ne s’intéressaient pas à moi, le contraire de ce qui m’était arrivé jusqu’à présent, il me félicitait même de mon ardeur à faire jouir les filles. Ces partouzes sûres non-invitation allaient se répéter plusieurs jours d’affilés. Jusqu'à se qu’un matin, où Maman me trouva fatiguer et un peu blanc et qu’elle me dit. C’est un comble me dit-elle, toi qui passe une bonne partie de ta journée à bronzer, ou te balader sur la plage, comment ce fait-il que tu sois si blême. Elle craignait que je ne sois anémié, et m’en fit la réflexion. Je décidais d’essayer de freiner mes sorties nocturnes, afin de ne pas éveiller plus de soupçons que de raison. P280
Mais je trouvais tellement bon de me mélanger avec des filles que ma résolution ne tint pas bien longtemps sur les bases que je mettais fixées. Il m’arrivait de me faire plaisir trois fois par jour, et ce malgré ces partouzes. Il met dur de me contrôler tant j’aime le sexe, je ne me rendais compte de rien, tant cela me paraissait normal. J’étais devenu un accro au sexe, et n’arrêter pas de mater les filles, même les mecs quand ils étaient à mon goût. Je ne faisais même pas gaffe que cela put paraître des plus suspects à l'oreille et à la vue des autres. Je leur lançais des phases du style (tu as vu la meuf, quel canon, ou putain ce mec est mignon et bien bâti). Ce qui fit que mes frères parfois me regardaient avec un drôle de regard, me scrutant, a la limite inquisitrice, et ils me demandaient si j’allais bien. Et moi pour leur donner le change ! Je leur faisais croire que je ne pigeais rien à ce qu’ils pensaient, tout en disant ! Quoi ces pas vrais ! Vous n’êtes pas aveugles quand même, elle est superbe ? Non ! Ce qui couper court à toutes autres questions. P281
**Sur le camping, à chaque fois que je croisais une fille, fut elle mignonne, et quel que soit son âge, je lui balance un clin d'œil suivi d'un salut, on se revoit aux douches à 20 h. Mais à force d’être un peu provocateur, quand on cherche on trouve l’embrouille. Ce jour-là en fin de soirée, j’étais à prendre ma douche et à mon habitude, j’oubliais de fermer la porte. Je devais inconsciemment le faire exprès, l’envie d’être vu nu surement, quand la porte fut soudainement poussée par un jeune couple. Adrien et Solange 16 ans et 18 ans, je me rappelais que très vaguement les avoir croisés, et probablement les hélés aussi. Et certainement à faire louange de leurs plastiques attirantes, ce qu'ils ne tardèrent pas à me rappeler, en me plaquant au mur. Tous deux me dirent aussitôt ! Tu nous as trouvés mignon, sa tombe bien tu nous plais bien aussi tu vois, on a passé la journée à chercher comment on pourrait te gauler. Et moi en mon for intérieur, je me disais ! Cette fois-ci, tu l’as bien cherché avec tes attaques sur tout ce qui te plaît, j’étais à espérer qu’ils ne désiraient tout de même pas, me casser la gueule. P282
**Tout ça pour les avoir trouvés à mon goût, ce serait une mauvaise idée de leur part et une cata pour mon physique. J'avais cette chance que ce ne fut pas leurs deals, ils étaient oncle et nièce et voulaient juste que l'on fasse l'amour. Bille en tête, ils commençaient par me coincer sous la douche. Je me trouvais nu avec ma devanture à l’étalage, et j’avais déjà la trique quand, ils m’y ont poussé. Solange me suçait déjà avec ferveur me bisant et me caressant. Adrien me lavait le dos et les fesses puis les embrassa, il allait jusqu’à me glisser sa langue dans l’anus, ils étaient encore habillés tous les deux et s’en foutait. Quant au bout de dix minutes de frottement, nous avons décidé d’un rendez-vous sur la plage, derrière les baraques à frites sur les coups de onze heures. Je n’avais aucunement l’intention de louper cette rencontre, mon envie de faire l’amour l’emportait haut la main. À l'heure dite en arrivant sur la plage, ma surprise fut d'y trouver seulement la belle Solange. Je me trouvais pataud quand elle s’approcha de moi, je la sentais si sure d’elle et je ne savais pas par où commencer. P283
**Elle arrivait à ma hauteur furieuse de ses envies et je restais bloqué, elle descendit mon short, me saisit le sexe dans sa main, commença par me masturber tout en me roulant une pelle d’enfer. Évidemment, je la tripotais sur tous les partis de son corps avec sa bénédiction. Puis elle écarte ses jambes pour que je lui lèche le minou, j’avais fait cela avec Josette, avec toujours de la répulsion, elles aiment ça, et moi le goût que sa me laisse m’écœure. Pour finir, elle me poussa sur le sol et se planta mon sexe dans sa fente, ce fut elle qui fit les mouvements de bassin de plus en plus rapidement, puis elle se retira et s’empala l’anus en continuant les mouvements. J'éjaculais dans tous les trous où elle laissait entrer mon sexe. Au bout d'une heure, j’étais crevé avec, la poche à sirop vide. Elle m'accorda donc une pause bien méritée, et ça ne faisait pas plus de cinq minutes que l'on se refaisait une santé, elle qui n'avait pas arrêté de me caresser le sexe resté raide. Que soudain surgissait Adrien avec ces mots. Putain quelle fougue, j’ai, tout vu, à mon tour maintenant ! P284
**Moi, je lui répondais ! Oh hé doucement quoi, je suis mort moi, tu parles ! Il n’en a rien à foutre, il retira son maillot de bain, béat, je regardais un sexe super gros et long. Il s’était rasé une partie du bas-ventre, ce qui former un triangle au pubis, et se terminé d’un filet jusqu’au nombril. Adrien à un à beau corps, peu poilu, et des petites fesses rebondies vraiment attirantes. Je n'ai pas eu le temps de me lever, qu’il s'aplatissait sur moi, et couché sur mon ventre, il écarta mes jambes avec les siennes et l’on se retrouva sexe contre sexe. Il se mit à me rouler une pelle, me léchant la poitrine et les tétons qu'il mordilla, il descendit sa bouche sur mon ventre. Puis avala mon matériel et l'amusa avec avidité, il me demanda d’en faire de même avec le sien, j'essayais en vain de le faire entrer dans ma bouche, il était vraiment trop gros. Je déclinais son offre vu l’importance de l’objet ! Alors, j'attendis le verdict, mais il ne se vexa pas, me demandant à lui faire jouir son œillet de jardin interdit. Je ne pouvais en aucun cas refuser cette seconde offre, vu sur le ton de sa demande pressante. P285
**À mon avis, cela n'accuser nullement le négatif et puis j'aimais bien ça, glisser dans un anus, il se mit à me chauffer le corps d’attouchements bien divers, me léchant et enfournant sa langue pointue dans mon abîme et me lécher le sexe comme si c'était un esquimau. Puis saisissant mon bâton, il le présenta devant son orifice sombre et l’enfonça d’un coup sec, cela m’a fait mal sur le coup. Ces fesses touchaient mon pubis à chaque descente, son gros sexe frappé mon bas-ventre (ça m’agacer !). Je le saisissais et le masturbé jusqu’à ce qu’il se repende sur mon ventre et ma poitrine. Empaler sur mon sexe, il continuait à descendre et à remonter, moi je fatiguais jusqu'à ce qu'il se mît à crier une phase qui me fut très bizarre sur le coup. (Bordelle, je jouis de mon intérieur, c'est bon défonce-moi encore), et il éjacula une seconde fois, il en sortait autant que la première fois. Ouf ! Il se retirait enfin ! Mais, pour finir il m’embrassa en introduisant sa langue, pas rassasiée du tout, il ressaisissait l’objet de se délire et lui fit une fellation, en me caressant le corps avec fièvre. P286
**Alors que je ne m’y attendais pas, il m’écarta les cuisses, mouilla son pouce et me l’introduisit dans l’anus, j’éjaculais dans sa bouche, il continua à me sucer pour ne pas en perdre une goutte. Fatigué on s'est allongé sur le ventre, Adrien me caressait le dos, les fesses, sa main frottait ma pétoire, ce qui me fit triqué. Il se coucha sur mon dos et commença à entrer son gland, je le laissais faire. Il me faisait envie et pour le moment cela n’était pas douloureux et seulement la moitié de sa queue me pénétrer. Mais quand il força pour entrer le haut de sa hampe, j'ai eu l'impression qu'il allait me déchirer en deux, je lui fis savoir ! Et Adrien se retira en s'excusant. Sans se fâcher pour autant d'avoir un jouet si gros, moi j’étais désolé pour lui, mais j’avais aimé ressentir cet écartement avec un certain plaisir. Solange de son côté ne rata rien de nos ébats, elle se caressait en silence, en laissant parfois échapper un petit cri de plaisir. Vers 1 h 30 du matin, on décidait de se baigner dans l’océan puis gentiment on se sépara, je rentrais me coucher, je ne les revis plus sur le terrain de camping. P287
**Les vacances, hélas, prenaient fin pour nous aussi avec son lot de belles et extraordinaires surprises. Notre beau-père était revenu pour charger la tente et le reste de bagages, JC ayant chargé sa voiture avec l’aide de nous adolescents, nous sommes rentrés avec lui sur Paris. Pour la rentrée ! Mon frère aîné me faisait savoir qu’il m’avait trouvé une place d’apprenti, chez un artisan-plombier à Aulnay-sous-Bois M Treille. Chez qui déjà, il avait été embauché depuis plus d'un an. Il me demanda si cela m'ennuyer de partir de la maison afin de lui éviter des trajets inutiles le matin et le soir, je ne voyais rien à dire à cette cohérence. Moi, je trouvais ça plutôt logique et puis j’étais déjà à me faire tout un film sur ce que serait ma vie en tant que petit homme libre enfin, je dirais presque. Je dois embaucher chez l’artisan en septembre, donc JC m'a emmené sur Montdidier dans la somme pour revoir notre arrière-grand-mère. Ce furent mes dernières vacances en tant qu’ancien écolier et j’allais les passés à faire divers travaux de consolidation chez Nana. P288
**Je dormais dans le même lit qu'elle sur un matelas de plume et sous une couette de plume, mais quand on entre dans sa chambre, il faut faire attention de ne pas passer près du lit, car le plancher est pourri. Dessous sa chambre se trouve la cave, avec des planches sur tréteaux ou Nana y étale ces pommes d'hiver. Nous sommes en août, et quelques jours plus tard je revenais de mes vacances chez Nana. En arrivant mon frère aîné me fit savoir qu’il avait discuté avec maman, comme quoi je devais aménager avec lui sur Drancy. Ceci afin de lui éviter un trajet trop long, Maman avait pleuré au début, elle ne voulait pas me laisser partir, je n’avais que 14 ans. Je suis allé lui parlé afin de la rassurer que je n’étais pas très loin, et que je viendrais là voir aussi souvent que possible. Elle avait donc cédé à contrecœur, et moi j’allais devenir un petit garçon presque indépendant, sous la tutelle de mon frère ainé. Entre temps j’allais voir mes amis Alberti et Fiorini et je me promenais souvent avec leurs fils sur Paris, j’avais aussi rencontré mon sauveur et premier grand amour. P289
Mon entré en apprentissage.
**Mais tout n'est pas nécessairement rose ni bleu dans la vie, ça, je le savais déjà à mes dépens, le gris avait une grande place et je devais souvent me débrouiller seul, mon ainé avait autre chose à faire qu'être constamment à materner son frère. . Il lui arrivait de ne pas rentrer à la maison durant plusieurs jour, entre son boulot, celui au noir et les filles. Le soir de retour de mon boulot, je me promenais dans les rues de la ville, et je retournais de temps à autre sur le 212 retrouver Josette, elle ne m'avait pas oublié. Elle avait beaucoup changé, plus mûre et sûre d’elle pour une fille de 16 ans ½, par apport à moi. Moi qui étais toujours aussi nul à parler aux humains, en n’étant malgré tout pas assez méfiant avec les gens qui m’entourent. Par chance avec ma belle gueule, Josi me trouvait encore bandant, j’étais un chaud lapin et comme je m’arrangeais pour la revoir souvent, nous faisions l'amour dans une des chambres de l'appartement qu'elle occupait, avec une copine au 214, route de Flandre. P290
**Puis un jour j’ai rencontré par hasard Olivier et Cédric, ils baisaient de mieux en mieux, et moi je n’avais pas réussi à me passer de leurs caresses, me confirmant aussi ce que je supposai d’eux, ils préféraient à l’évidence ce faire sodomisé, et cela m’arrangeais bien. Pour en revenir à mon frère, pendant 11 mois, nous avons travaillé ensemble chez cet artisan, ça ne se passer pas trop mal malgré le second compagnon qui ne m'aimait pas du tout. Je n’en connaissais pas la raison, mais heureusement que le patron était sympa, mais je ne pouvais pas me tirer comme ça de la boîte. J’en avais parlé à JC, il me disait de ne pas faire trop attention, et si pour le moment, il ne m’appréciait que peu, il me fallait de la patience. Puis un jour, mon frère me fit savoir qu’il avait trouvé une autre place, dans une entreprise située sur Le Raincy, la Société BELMIRA. Mon frère ne serait plus là pour me protéger, je devais donc faire face à ce qui se passer autour de moi sur les chantiers, on se retrouvait le soir, et je lui expliquais que le compagnon continué a me faire chier et me bousculer. P291
**Alors évidemment ma première journée de boulot sans lui va se voir compliquer un peu, et quelques problèmes vont s'engager dans ma vie, comme le fait que chaque jour pour aller et revenir de mon boulot, je dois me taper 40 km à vélo. Et tôt le matin la première personne que je rencontrais était ce fumier de Daniel, il continua à me chercher des noises, il m’engueulait tout le temps et moi je commençais à bouillir. Malgré ma timidité, j'en avais parlé à mon patron, qui en concluait de me placer avec un autre compagnon, Jean-François qui est sur un chantier à Senlis. Tous les matins, il me récupérait sur la moitié de mon trajet, avec la Peugeot 403 bâchée (c’était super génial, je faisais moins de trajets à vélo, donc moins crevé le soir). J’allais sur mes 15 ans et durant la deuxième et semaines suivantes, tout se passé sans aucune animosité. Avec JF j'apprenais mon boulot sans cri, ni brutalités, il était gentil et prévenant, et voilà qu’un matin, je devais partir sur Senlis avec Daniel, Jean-François avait eu une crise d'appendicite, et il serait absent au moins une semaine. P192
**j’allais devoir prendre patience avec l'autre con, mais, le patron avait dû lui faire la leçon, car les premiers jours avec lui ce fut le calme plat. Jusqu’à ce qu’avant les quatre jours de congé de la Toussaint, il recommença ces conneries en gueulant et il devint d'une grande brutalité pour n'importe quoi. Le dernier jour Daniel n'avait pas arrêté de me foutre la merde moralement, allant jusqu'à des brutalités physiques. Si bien que le soir avant de partir sur un coup de ras-le-bol, je lui avais dit d’aller se faire foutre, et qu’il était le dernier des cons, un fumier et un lâche. Monsieur fut vexé, il me colla contre le mur et m’envoya un direct en pleine gueule de toutes ses forces. Je me suis retrouvais ko, et sur ce fait, il est parti en me laissant sur place, dans les vapes avec les lèvres fendues. Quand enfin je me suis réveillé, il faisait nuit ! La seule chose qui mettait venu à l'esprit, était que je devais absolument rentrer, sinon mon frère allait surement s'inquiéter. Alors je suis sorti de la ville à pied, en prenant la direction de Blanc-Mesnil, tout en m'essayant à faire de l'auto-stop. P293
Mauvaise rencontre.
**Le long du bois de Senlis, il faisait vraiment très sombre, moi qui n’avais que 14 ans ¾ pas bien balaise ni très aventureux, je ne me sentais pas trop fier. Je levais mon pouce pour la énième fois sans trop de conviction, jusqu’à présent aucune voiture ne s’était arrêtée. Un moment plus tard, des phares m’éclairèrent, un véhicule se déporta, puis s’arrêta à ma hauteur, se stationnant devant moi tout feu allumé ! Super ! Enfin quelqu'un qui me porter secours, je commençais à désespérer. En regardant l’intérieur du véhicule, j’aperçus trois garçons et trois filles, qui me paraissaient jeunes et avez l’air de bien se marrer. Je n'avais vraiment pas lieu de m'inquiéter et leur demander s'ils pouvaient me déposer sur Blanc-Mesnil. Les filles ouvrirent la portière, me disant de monter, j’étais bien content, surtout de ne pas avoir encore fait des kilomètres à pied. J’avais enfin un peu de bol, deux filles et deux garçons étaient à l’arrière. Et je n’avais que peu de place pour m’asseoir à l’arrière. P294
**Ce fut alors une des filles qui me proposa de se mettre sur mes genoux, je faisais donc ce qu’elle me préconisa, m’installant. **Et la voiture redémarra en m’emmenant, mais au bout d'un petit moment, celle, qui était sûre mes cuisses, bougea et posait ces fesses sur mon bas-ventre, j'avais la trique depuis qu’elle était assise sur mes genoux. Et chaque contraction de mon sexe, elle le ressentait forcément, finissant par balancer cette petite phase vers ses amis (dite voir, il bande dure le petit chéri, on pourrait s’amuser tous ensemble). Ils se mirent tous à rire, et moi je me trouvais plutôt bête, leur demandant de bien vouloir me laisser au prochain carrefour. Tous en cœur répondirent (pas question, on va te faire voir un endroit super génial), et aussitôt les mains commencèrent à se délier. Le mec qui était à côté de moi avait posé sa main sur ma cuisse, et il me caressait jusqu’à l’aine, il faisait cela tout en roulant une galoche à sa copine. L’autre garçon, qui était à gauche avait glissé sa main dans mon slip, et tripoter mon matériel, du même temps il roulait un patin à la fille sur mes genoux. P295
**Mes mains étaient sur la taille de celle qui se trouve sur mes genoux, et je n’osais rien faire, je commençais à regretter d’être là. Je les trouvais bizarres, ma peur prenait petit à petit sa place, surtout depuis que j’avais repéré les tatouages quatre points sur le dessus de main, portés par les garçons. Cela signifiait qu’ils avaient fait de la prison, en plus de celui d’une croix gammée, tête de mort, sur les bras, c’étaient des têtes brûlées. Au carrefour suivant il tournait à droite prenant la direction de Vineuil St-Firmin. Deux ou trois kilomètres plus loin sur la gauche, il pénétrèrent sur un chemin de terre. Et j'aperçus cachée dans l'ombre au fond de l'allée une petite maison en pierres couverte de mousse. La maison en rester invisible de la route, et devant le seuil une auto était en stationnement. Les jeunes garèrent la voiture à côté de l’autre véhicule, une Versailles, puis ils m’ordonnaient de descendre. Les filles sortirent du véhicule et un des garçons me poussa à l’extérieur d’un violent coup dans le dos, dès cet instant tout me parut moins amical, je pensais me voilà pris dans une panade sans nom. P296
**Le moins que je puisse penser fut que j’attirais les emmerdes, et j’avais de plus en plus une très mauvaise appréhension, sérieusement la trouille. Mes jambes flageolaient, tout en m’avançant vers la maison doucement, j’avais des sueurs froides qui me coulés dans le dos, et aussi la gorge sèche avec cette envie de vomir. Mon cerveau devint de plus en plus embrouillé, je repensais au centre, et de nouveau un des mecs me poussa pour que je marche plus vite. Les filles ouvrirent la porte en souriant, les garçons me jetèrent méchamment à l’intérieur, mon pied s’accrocha dans le seuil et je m’étalais sur le sol comme une merde. Ce qui fit éclater de rire les garçons suivis par les filles, et devant moi, une forte voix autoritaire, dit à l’ensemble de se taire très sèchement et de me relever, ce que l’un d’eu fit en me prenant le bras. Dans la maison le silence s’était installé, et quant je levais les yeux, j’aperçus un couple d’environ la quarantaine ! L'un des adultes demanda alors aux jeunes, (alors c'est lui le dessert, il n'est pas mal du tout on va sûrement bien s'amuser), le second rétorqua ouais, beau cul, belle gueule. P297
**Il faudra essayer de ne pas trop l'amocher durant nos jeux, à moins que l'on y soit vraiment obligé, tu comprends ce que cela veut dire BCBG. Et moi je les regardais avec des yeux qui tenter très péniblement de cacher cette peur qui me tenaille de plus en plus. L'adulte était à jouer à se décrotter les ongles avec son couteau de chasse, puis il leur dit à ce moment ! Bon et bien, si on regardait, comment il est foutu à poil ce petit homme. La phrase ce fut elle à peine évaporée dans l'air, que brutalement les quatre jeunes garçons me saisissaient et m'arracher toutes mes fringues sans ménagement sauf le slip, l'adulte mâle s'approcha avec sa lame qu'il passa sur ma cuisse en remontant et découpa mon dessous d'un coup sec, puis de l'autre côté en fit de même. Il promena la lame sur mon ventre en faisant le tour de mon matos, redescendit sur mes cuisses pour finir à remonter sur ma poitrine et finir sur ma joue. Après cela il me dit, tu restes passif et il ne t’arrivera rien de grave, tu as un joli cul de minet, puis il s’écarta de moi, et ce faisant me renversa sur la petite table. P298
**Pendant cet instant de face à face, les jeunes s’étaient mis dans leur plus simple appareil, tout comme le firent les deux adultes. Je fus plié en deux sur la largeur de ladite table par l’adulte, il m’écartela l'entrejambe. Les six jeunes vinrent, m’attacher les mains et les jambes a chacun des pieds de table. Sur le coup, j'eus tellement peur, que je m’étais évanoui, un jeune me réveilla avec des claques et de l’eau sur le visage. Quand j’ouvris les yeux, la meuf adulte était sous la table en train de me sucer, pendant que son homme me ramonait le trou avec rage. Les jeunes faisaient l’amour entre eux, les mecs changèrent de place, en venant tour à tour me passer dessus. Comme pour peaufiner leurs vices les jeunes me couchèrent sur le sol, en me tenant chacun un membre. Quand le mâle leur dit attendaient mes loulous, je vais le stimuler), et il me frappa avec des lanières de cuir. Les faisant claquer sur mon ventre, la poitrine et les cuisses, pendant que les lanières claquées, la femme glissa un petit nœud coulant, à la base de mon sexe, qu'elle resserra comme pour étrangler ma queue. P299
**Ensuite elle me dit à l’oreille ! tu vas avoir la bite en béton le temps que l’on s’amuse avec chéri, Les filles se sont toutes mises à rigoler, puis elles empalèrent sur mon sexe les unes après les autres. Les mecs me tripotaient partout, je les masturbais de mes mains où leur faisait une fellation. L’un des jeunes garçons vint s’assoir sur mon ventre, plaça ma bite sur son trou et s’empala doucement, comme un moment d’extrême plaisir. Ce qui alluma les envies de ces copains, qui eu aussi en vinrent à faire la même chose, mais ce fut mon trou qui servit à leur délire. Puis d’un coup plus personne ne me toucha, je pensais pouvoir dormir, mais une meuf s’agenouilla au-dessus de moi en posant sa chatte sur ma bouche pour que je puisse la lécher. Une autre vint faire une fellation à celui qui était assis sur moi. Et moi je n’arrivais plus à bander ni à penser, alors les filles décidèrent de me fouetter, ce fut si fort que de nouveau, je me suis évanoui. Avant de partir dans les ombres j’entendis le mâle dire, tu es trop conne toi, aller dégage de là, laisser le maintenant je n’ai pas envie de le tuer. P300 |